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Liban

Aoun affirme être en faveur de l’échange à condition qu’il se fasse conformément à la loi

M. Aoun recevant une délégation des familles des otages.

Les parents des otages sont décidés à aller jusqu'au bout pour dévoiler les intentions réelles des différentes parties en présence, notamment pour ce qui est de leurs positions respectives concernant le principe de l'échange des otages contre les prisonniers islamistes détenus à Roumieh.
Hier, une délégation des familles s'est rendue auprès du chef du Courant patriotique libre, Michel Aoun, pour sonder son opinion à ce sujet.
Après l'entretien, M. Aoun a déclaré : « L'échange, ou une autre solution, est le prix à payer. L'important, s'il y a échange, est qu'il soit fait dans le respect des lois libanaises. »
Le chef du CPL a par ailleurs proposé qu'un officier de l'armée et un autre des FSI soient représentés au sein de la cellule ministérielle de crise, ainsi qu'un représentant des familles des otages, lesquelles, a-t-il dit, « ont le droit d'être informées ».
À la question de savoir si le CPL entravait effectivement les négociations, M. Aoun a répondu : « Comment voulez-vous qu'on puisse bloquer les négociations si nous ne sommes pas représentés au sein de la cellule de crise ?
Est-ce que nous nous sommes jamais prononcés contre l'échange ou contre une rançon ? » s'est encore demandé le chef du CPL.

Ahmad Hariri
Pour sa part, le secrétaire général du courant du Futur, Ahmad Hariri, a annoncé qu'il se réunira aujourd'hui avec une délégation des familles des militaires otages. La réunion aura lieu en présence des membres du bureau politique qui entendront leurs propositions et revendications.
« Nous avons pleine confiance dans la cellule de crise qui est, à notre avis, capable de résoudre ce dossier », a-t-il déclaré. M. Hariri a cependant estimé que le dossier est « difficile », soulignant que les membres de la cellule de crise œuvrent à la sauvegarde du prestige de l'État. À défaut, « une réédition de ces incidents serait à craindre », a-t-il dit.

Les parents des otages sont décidés à aller jusqu'au bout pour dévoiler les intentions réelles des différentes parties en présence, notamment pour ce qui est de leurs positions respectives concernant le principe de l'échange des otages contre les prisonniers islamistes détenus à Roumieh.Hier, une délégation des familles s'est rendue auprès du chef du Courant patriotique libre, Michel...

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Caporal, le "quidam" banal, ânonne sempiternellement que pour cesser d'être Sainement "perverti", il suffit de l’écouter déblatérer des "bêtises" : désopilant va ! Conseil superfétatoire. Il se fait qu’on l’entend sans l’écouter, avec jubilation tant il est drôle le caporal "cultureux" qui ne connaît presque Rien à la Sanité ! L'insubmersible boSSfaïr brille par sa "subtilité" en traitant ces Sains de montreurs d'ours. L’écoute du Bigaradier ne devrait pas être remboursée. 1 minute de silence s'impose Svp ! Car les braillards d’1 bruyant pareil terrorisent les Sains de + en +. Les plaintes pour sa nuisance sonore connaissent 1 progression exponentielle. En ville, ses "gueuleries" déchirantes et ses dérapages déferlants jaillissent tels des pneus crissants, polluant le mini Sain espace. Sans compter l'immodération des "mensonges" qui conduisent des myriades d’oranginés, bien sûr immatures, à gueuler qu'elles sont dans ce courant d’air et que, Waouh… c'est Super! Quant aux infortunés qui vivent aux abords de sa montagnarde Campagne, ils ne goûtent + le chant de gentils äassafîîîrs, tant ils ont les tympans vrillés par les niaiseries perceuses, tondeuses ou autres tapageuses banalités tronçonneuses toutes orangineuses des (h)Amèèèrs ! Il leur faudrait 1 parfait silence pour leurs rencontres dorénavant sûres mutiques. Ils en sortiraient maybe les nerfs dénoués ; qui sait ? Mais qui donc, svp, proclamera leur parfait silence aux oranginés enfin Patrimoine Mondial de la Sanité ?!

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

18 h 20, le 18 décembre 2014

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Commentaires (1)

  • Caporal, le "quidam" banal, ânonne sempiternellement que pour cesser d'être Sainement "perverti", il suffit de l’écouter déblatérer des "bêtises" : désopilant va ! Conseil superfétatoire. Il se fait qu’on l’entend sans l’écouter, avec jubilation tant il est drôle le caporal "cultureux" qui ne connaît presque Rien à la Sanité ! L'insubmersible boSSfaïr brille par sa "subtilité" en traitant ces Sains de montreurs d'ours. L’écoute du Bigaradier ne devrait pas être remboursée. 1 minute de silence s'impose Svp ! Car les braillards d’1 bruyant pareil terrorisent les Sains de + en +. Les plaintes pour sa nuisance sonore connaissent 1 progression exponentielle. En ville, ses "gueuleries" déchirantes et ses dérapages déferlants jaillissent tels des pneus crissants, polluant le mini Sain espace. Sans compter l'immodération des "mensonges" qui conduisent des myriades d’oranginés, bien sûr immatures, à gueuler qu'elles sont dans ce courant d’air et que, Waouh… c'est Super! Quant aux infortunés qui vivent aux abords de sa montagnarde Campagne, ils ne goûtent + le chant de gentils äassafîîîrs, tant ils ont les tympans vrillés par les niaiseries perceuses, tondeuses ou autres tapageuses banalités tronçonneuses toutes orangineuses des (h)Amèèèrs ! Il leur faudrait 1 parfait silence pour leurs rencontres dorénavant sûres mutiques. Ils en sortiraient maybe les nerfs dénoués ; qui sait ? Mais qui donc, svp, proclamera leur parfait silence aux oranginés enfin Patrimoine Mondial de la Sanité ?!

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    18 h 20, le 18 décembre 2014

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