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Nos Lecteurs ont la Parole

Les lecteurs ont voix au chapitre

Je vous ferai un chèque...

La question qui se pose ces derniers jours est celle-ci : comment l'État va-t-il faire face aux dépenses occasionnées par les lois que le Parlement se voit acculé à voter s'il veut éviter l'escalade dans les grèves, à la veille de l'élection d un nouveau président ? Et cela me fait penser à l'anecdote de la blonde, convoquée par son banquier inquiet de voir ses comptes passer au rouge et qui répond, désinvolte : « Je vais vous faire un chèque. »

Dolly TALHAMÉ

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Donner plus de pouvoir à l'ONU

Les gouvernements donnent dans le court terme au chapitre environnemental parce qu'ils veulent se faire réélire, estime l'écologiste canadien David Suzuki. Voilà pourquoi certains écologistes ont tristement conclu que les démocraties occidentales devraient se métamorphoser en dictatures, elles seules à même d'imposer les durs choix nécessaires à la population pour sauver la planète. Sérieusement, les dictatures, ce n'est pas ce qui manque dans le monde...
Non, l'avenir est du côté de l'Organisation des Nations unies. Les pays de cette fragile planète devraient avoir le courage de lui déléguer des pouvoirs en matière environnementale. Si on lui en donnait les moyens, avec une vision d'ensemble, elle serait bien placée pour nous montrer la voie à suivre. Les intérêts égoïstes de chacun des pays seraient exposés et combattus.
Mais ce n'est pas demain la veille que des pays comme les États-Unis accepteront, pour le bien de l'humanité tout entière, de se plier aux exigences et aux décisions de l'ONU. J'ai lu que des milliards de planètes comparables à la Terre seraient potentiellement habitables. Encore faut-il pouvoir s'y rendre, la plus proche se trouvant à douze années-lumière, soit... 113 532 milliards de kilomètres. Vaut mieux miser sur la Terre ; c'est le plus sûr moyen de s'en sortir comme espèce.

Sylvio Le BLANC
Montréal – Québec, Canada

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Réagissons

Dans le contexte actuel difficile que traverse le pays, notre avenir demeure incertain. Notre vie balance entre le chaud et le froid. Le gouvernement risque de se perdre face à deux camps adverses. Malgré les bouleversements dans le monde arabe, ne nous soumettons pas aux ordres externes. Déjà affaibli par des années de guerre, le Liban est entraîné dans le cycle de la violence arabe au lieu de se relever des ruines du passé.
Tous les partis doivent adopter les décisions historiques prises par le président, qui décide et agit dans l'intérêt du peuple. Préparons ensemble l'échéance présidentielle dans le respect des normes de la Constitution. Depuis l'indépendance le Liban est admiré pour ses valeurs qui font notre fierté à travers le brassage intercommunautaire que nous devons préserver pour évoluer dans le bon sens. Réagissons à temps pour concrétiser le retour à la normale.

Hilda DADOURIAN

Je vous ferai un chèque...
La question qui se pose ces derniers jours est celle-ci : comment l'État va-t-il faire face aux dépenses occasionnées par les lois que le Parlement se voit acculé à voter s'il veut éviter l'escalade dans les grèves, à la veille de l'élection d un nouveau président ? Et cela me fait penser à l'anecdote de la blonde, convoquée par son banquier inquiet de...

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