Le PM sortant au Salon du livre francophone au BIEL. Photos Dalati et Nohra
Le Premier ministre démissionnaire, Nagib Mikati, a pressé hier une fois de plus la communauté internationale d’aider le Liban à surmonter les retombées de la crise des réfugiés syriens, soulignant que ce pays assume « la part la plus lourde du fardeau ».
M. Mikati a fait cette demande lors d’un entretien au Grand Sérail avec Rajiv Shah, administrateur de l’Usaid, l’agence officielle américaine pour l’aide au développement dans le monde. M. Shah, reçu en compagnie de l’ambassadeur des États-Unis, David Hale, effectue actuellement une tournée au Proche-Orient.
« La communauté internationale doit assumer ses responsabilités à l’égard du Liban, a dit le chef du gouvernement. De tous les pays de la région, il est celui qui supporte la part la plus lourde du fardeau de la crise des réfugiés syriens. De ce fait, il est devenu le premier pays d’accueil du point de vue du rapport entre le nombre de réfugiés, d’une part, et l’exiguïté de son territoire, le nombre de ses habitants et la densité de sa population, de l’autre. »
Pour sa part, M. Shah a rappelé dans une déclaration à sa sortie que le président Barack Obama et le secrétaire d’État John Kerry avaient « donné des directives afin que les États-Unis déploient un maximum d’efforts pour venir en aide au peuple libanais et aux autres peuples de la région afin qu’ils puissent faire face aux besoins nés du conflit déplorable en Syrie ».
« Nous savons parfaitement que plus de 800 000 réfugiés syriens sont entrés au Liban, et que le peuple et le gouvernement libanais leur ont ouvert les portes des écoles, des cliniques médicales et de la société », a-t-il ajouté.
« Les États-Unis sont compréhensifs du fait que le peuple libanais assume des responsabilités accrues à cet égard. Le Liban ne peut pas et ne doit pas supporter ce fardeau tout seul », a-t-il dit, soulignant la nécessité de concentrer les efforts sur le règlement de la crise syrienne, mais aussi sur l’établissement d’« un partenariat à long terme visant à renforcer les institutions libanaises et à assurer une croissance économique au Liban ».
M. Mikati a fait cette demande lors d’un entretien au Grand Sérail avec Rajiv Shah, administrateur de l’Usaid, l’agence officielle américaine pour l’aide au développement dans le monde. M. Shah, reçu en compagnie de l’ambassadeur des États-Unis, David Hale, effectue actuellement une tournée au Proche-Orient.
« La communauté internationale doit assumer ses responsabilités à l’égard du Liban, a dit le chef du gouvernement. De tous les pays de la région, il est celui qui supporte la part la plus lourde du fardeau de la crise des réfugiés syriens. De ce fait, il est devenu le premier pays d’accueil du point de vue du rapport entre le nombre de réfugiés, d’une part, et l’exiguïté de son territoire, le nombre de ses habitants et la densité de sa population, de l’autre. »
Pour sa part, M. Shah a rappelé dans une déclaration à sa sortie que le président Barack Obama et le secrétaire d’État John Kerry avaient « donné des directives afin que les États-Unis déploient un maximum d’efforts pour venir en aide au peuple libanais et aux autres peuples de la région afin qu’ils puissent faire face aux besoins nés du conflit déplorable en Syrie ».
« Nous savons parfaitement que plus de 800 000 réfugiés syriens sont entrés au Liban, et que le peuple et le gouvernement libanais leur ont ouvert les portes des écoles, des cliniques médicales et de la société », a-t-il ajouté.
« Les États-Unis sont compréhensifs du fait que le peuple libanais assume des responsabilités accrues à cet égard. Le Liban ne peut pas et ne doit pas supporter ce fardeau tout seul », a-t-il dit, soulignant la nécessité de concentrer les efforts sur le règlement de la crise syrienne, mais aussi sur l’établissement d’« un partenariat à long terme visant à renforcer les institutions libanaises et à assurer une croissance économique au Liban ».
Le Premier ministre démissionnaire, Nagib Mikati, a pressé hier une fois de plus la communauté internationale d’aider le Liban à surmonter les retombées de la crise des réfugiés syriens, soulignant que ce pays assume « la part la plus lourde du fardeau ».M. Mikati a fait cette demande lors d’un entretien au Grand Sérail avec Rajiv Shah, administrateur de l’Usaid, l’agence...
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