Le patriarche était accompagné de Mgr François Eid, vicaire patriarcal à Rome, de son adjoint, le P. Tony Gibran, et du responsable du service de presse à Bkerké, Walid Ghayad.
Dans son homélie, le pape a parlé des vertus de sainte Rita, patronne des cas impossibles, dont c’était la fête liturgique hier, réclamant son intercession pour « tout ce qui paraît impossible à changer dans nos vies ».
Après la messe, une réunion en tête à tête a eu lieu entre le pape et le patriarche Raï. Ce dernier a rapidement brossé un tableau de la situation au Liban et dans la région, et abordé avec lui aussi bien le sujet de la présence chrétienne dans cette partie du monde que sa dernière visite en Amérique latine.
Le chef de l’Eglise maronite a demandé au pape d’accorder sa bénédiction au Liban.
Plus tard dans la journée, le patriarche a participé aux travaux du congrès du Conseil pontifical pour la pastorale des migrants et des personnes en déplacement, qui portera, durant trois jours, sur l’affaire « des migrations forcées ».
Il en a profité pour attirer l’attention des présents sur « la situation au Moyen-Orient et sur les réfugiés palestiniens, irakiens et syriens au Liban ».
En soirée, le patriarche a rencontré le cardinal Lenoardo Sandri, président du Conseil pontifical pour les Églises orientales, pour une séance de travail au Collège maronite de Rome.
Le chef de l’Église maronite est attendu au Liban demain.
commentaires (3)
Et il espère encore que ce sera suffisant !? Yâ Harâm !
Antoine-Serge KARAMAOUN
09 h 54, le 24 mai 2013