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Culture - Festival de Baalbeck

Ce soir, Phèdre et Médée magnifiées à Bacchus...

« Il y a en nous tous quelque chose d'Oriental. » C'est ainsi que s'est exprimée la comédienne française Fanny Ardant lors d'une conférence de presse donnée hier à l'hôtel Phoenicia. « Grecques, romaines ou égyptiennes, les grandes tragédies ainsi que les grandes passions amoureuses sont issues de ce berceau de civilisations qu'est l'Orient », a-t-elle poursuivi.
Si la performance interprétée par Fanny Ardant et la violoncelliste Sonia Wieder-Atherton ce soir dans le temple de Bacchus s'intitule Monologues de Médée d'Euripide et de Phèdre de Racine, c'est surtout un dialogue auquel assistera le public de Baalbeck. Un dialogue entre les mots et la musique, entre la parole et le son, ou viendront se glisser toutes les émotions. « Une conversation avec le ciel », dira Ardant, entre le dit et le non-dit, que tisseront le tactile et le sensoriel.
Dans le temple de Bacchus, qui accueille ces deux grands personnages tragiques de l'histoire, la musique de Sonia Wieder-Atherton donnera aux mots « cette dynamique, cette mouvance qui manquent parfois au théâtre » , a confié la comédienne. Un rendez-vous magique ce soir, une célébration à la passion où les Phèdre et Médée, magnifiées et immortalisées au son du violoncelle de Wieder-Atherton et de la voix de l' « Ardente », seront demultipliées à l'infini.
« Il y a en nous tous quelque chose d'Oriental. » C'est ainsi que s'est exprimée la comédienne française Fanny Ardant lors d'une conférence de presse donnée hier à l'hôtel Phoenicia. « Grecques, romaines ou égyptiennes, les grandes tragédies ainsi que les grandes passions amoureuses sont issues de ce...

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