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Culture - Musique

Une lady new-yorkaise du jazz au Blue Note

Marianne Solivan, prisonnière de l’amour et du jazz. Photo Shervin Lainez

Une sensibilité à fleur de peau, une présence émouvante et une voix envoutante, Marianne Solivan, l'une des artistes phares de la stratosphère bleue new-yorkaise, débarque à Beyrouth, et plus spécialement au Blue Note, bastion du jazz, rue Makhoul, pour une série de concerts, du 7 au 10 décembre, puis du 14 au 17 décembre, où elle sera accompagnée par Nidal Abou Samra au piano, Faraj Fakhoury à la batterie et Élie Shmali à la guitare.
Marianne Solivan est née à New York et a grandi dans le Massachusetts où elle a poursuivi ses études scolaires. C'est durant son adolescence qu'elle fait sa première rencontre sérieuse avec la musique, plus particulièrement le chant. Elle se détache ensuite du monde de la musique avant de retrouver sa vocation grâce à une voix qui deviendra sa plus grande influence artistique, celle de la grande Ella Fitzgerald. Cette voix l'a guidée et suivie durant sa découverte d'elle-même, de son style, une voix qui, selon elle, garde une lueur d'espoir, même en évoquant les sujets les plus tristes et délicats.
Le jazz se présentait donc comme une évidence, et elle poursuit ses études jusqu'à obtenir un master en études de jazz. Retour au bercail en 2007 où elle enchaîne les séances de jam ainsi que des collaborations musicales avec des artistes comme Peter Bernstein, Steve Wilson ou encore Lewis Nash. En 2012, elle enregistre une série de duos et trios qui constitueront son premier album : Prisoner of love.
La musique de Marianne Solivan est un mélange d'histoires honnêtes, avec une vision moderne de soi et une détermination surprenante qui laissent deviner une performance prometteuse, riche en vie, en émotions et en humilité.

Une sensibilité à fleur de peau, une présence émouvante et une voix envoutante, Marianne Solivan, l'une des artistes phares de la stratosphère bleue new-yorkaise, débarque à Beyrouth, et plus spécialement au Blue Note, bastion du jazz, rue Makhoul, pour une série de concerts, du 7 au 10 décembre, puis du 14 au 17 décembre, où elle sera accompagnée par Nidal Abou Samra au piano, Faraj...

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