Le procès de l’ancien ministre et député Michel Samaha s’est ouvert hier devant le tribunal militaire permanent présidé par le général Khalil Ibrahim, en l’absence des deux autres condamnés, le général syrien Ali Mamlouk et le colonel syrien Adnan (le reste du nom étant encore inconnu).
Cette première audience a duré quelques minutes avant d’être reportée au 3 décembre prochain, dans l’attente de la fin des procédures de notification aux deux accusés fugitifs. L’épouse de Samaha et ses deux filles, ainsi que sa sœur et son beau-frère ont assisté à l’audience. Des journalistes sur place ont indiqué que l’ancien ministre paraissait amaigri dans un complet verston bleu marine, les yeux cachés derrière des lunettes fumées.
Arrêté il y a dix mois par les services de renseignements des Forces de sécurité intérieure, Michel Samaha est accusé d’avoir transporté des explosifs de Syrie vers le Liban, par voie terrestre, en vue de mener des attentats contre des personnalités religieuses et politiques au Akkar, dans la perspective de provoquer une discorde confessionnelle sur fond de crise syrienne. Cette affaire a pu être révélée aux services de renseignements grâce à un informateur et agent double, Milad Kfouri, que Michel Samaha avait chargé d’exécuter les attentats au Liban-Nord, lui remettant par ailleurs les explosifs amenés de Syrie à cette fin.
Cette première audience a duré quelques minutes avant d’être reportée au 3 décembre prochain, dans l’attente de la fin des procédures de notification aux deux accusés fugitifs. L’épouse de Samaha et ses deux filles, ainsi que sa sœur et son beau-frère ont assisté à l’audience. Des journalistes sur place ont indiqué que l’ancien ministre paraissait amaigri dans un complet verston bleu marine, les yeux cachés derrière des lunettes fumées.
Arrêté il y a dix mois par les services de renseignements des Forces de sécurité intérieure, Michel Samaha est accusé d’avoir transporté des explosifs de Syrie vers le Liban, par voie terrestre, en vue de mener des attentats contre des personnalités religieuses et politiques au Akkar, dans la perspective de provoquer une discorde confessionnelle sur fond de crise syrienne. Cette affaire a pu être révélée aux services de renseignements grâce à un informateur et agent double, Milad Kfouri, que Michel Samaha avait chargé d’exécuter les attentats au Liban-Nord, lui remettant par ailleurs les explosifs amenés de Syrie à cette fin.
Le procès de l’ancien ministre et député Michel Samaha s’est ouvert hier devant le tribunal militaire permanent présidé par le général Khalil Ibrahim, en l’absence des deux autres condamnés, le général syrien Ali Mamlouk et le colonel syrien Adnan (le reste du nom étant encore inconnu).Cette première audience a duré quelques minutes avant d’être reportée au 3...
commentaires (6)
BON, ça ne tourne pas rond dans le landerneau et qu’on le prenne comme on veut ! En effet un fâcheux Malsain voulait, le Mouffssid puiné, suggérer que cette Démocratie serait "malade" et même serait "l’homme malade" dans le croissant Fertile ; et qu’elle devrait avoir un pied dans le Despotisme. D’où il conclut, le Niais, que sentir Bon le Cèdre en lieu et place du savon d’Alep peut apparaître comme + ou - sinistre ; ou enrôler les Sains libanais dans la troupe de ceux qui croient encore en un "dieu" bääSSyriaNique ! Faut donc faire un vœu contre cette provocation, sorte de fitna programmée, vœu qui s’inspire du souhait exprimé par le Sain Libanais à l’encontre de toute 5ème Colonne, et du fossé qu’elle tente de creuser avec ses dents cariées entre les 2 chrétiennes et musulmanes communautés : on formule ardemment donc le vœu qu’il ne parviennent plus les Collabos à franchir le précipice Anti-libanais d’au-delà la Sainte Bekaa! L’ennui avec ces souhaits qui fusent suite à ce Complot, est qu’ils sont incompatibles. Les mauvais des Malsains cherchant à contredire ceux des Sains. Et ceux des Sains anéantissant aisément ceux des Collabos. C’est particulièrement vrai des dossiers nauséabonds secrets du Système Sécuritaire Syro-libanais ante en suspens qui, tout au long de ces années, ont nourris les embrigadements du genre Malsain et les agacements des Sains éhhh Libanais.
Antoine-Serge KARAMAOUN
18 h 55, le 22 juin 2013