Le ministre démissionnaire des Télécommunications, Nicolas Sehnaoui, a accusé hier le directeur général d’Ogero, Abdel Monhem Youssef, d’être à l’origine de la lenteur du débit Internet au Liban.
« Le Liban a accès à 50 gigabits par seconde (Gbps) et n’en utilise que 25 actuellement. Les citoyens qui se connectent le soir constatent une lenteur du débit parce qu’ils ne reçoivent en fait que 25 % de la vitesse à laquelle ils ont souscrit », a déclaré M. Sehnaoui lors d’une conférence de presse.
« De même, plus de 1 200 demandes de E1 (2,5 Gbps) sont bloquées par le directeur général. Elles font subir une perte mensuelle de 500 000 dollars au Trésor », a-t-il ajouté. La ligne E1 est une ligne d’accès interurbain au réseau téléphonique du ministère des Télécommunications/Ogero. C’est une connexion digitale rapide reliant le PABX, le commutateur du client, à celui du ministère, avec une vitesse de 2 Mo/s (megaoctets par seconde).
« Plus de 20 plaintes ont été déposées contre M. Youssef devant l’Inspection centrale et il est toujours à son poste », a souligné M. Sehnaoui. « Par la suite, nous comptons recourir au parquet financier pour mettre un terme à ce gaspillage. Il est inadmissible qu’un fonctionnaire du ministère des Télécommunications nuise aux intérêts des Libanais et à l’économie », a-t-il poursuivi.
Le ministre a également lancé une campagne sur Twitter réclamant le départ de Abdel Monhem Youssef et appelé ses adversaires politiques à oublier leurs prises de position « pour servir les intérêts des citoyens ».
« Le Liban a accès à 50 gigabits par seconde (Gbps) et n’en utilise que 25 actuellement. Les citoyens qui se connectent le soir constatent une lenteur du débit parce qu’ils ne reçoivent en fait que 25 % de la vitesse à laquelle ils ont souscrit », a déclaré M. Sehnaoui lors d’une conférence de presse.
« De même, plus de 1 200 demandes de E1 (2,5 Gbps) sont bloquées par le directeur général. Elles font subir une perte mensuelle de 500 000 dollars au Trésor », a-t-il ajouté. La ligne E1 est une ligne d’accès interurbain au réseau téléphonique du ministère des Télécommunications/Ogero. C’est une connexion digitale rapide reliant le PABX, le commutateur du client, à celui du ministère, avec une vitesse de 2 Mo/s (megaoctets par seconde).
« Plus de 20 plaintes ont été déposées contre M. Youssef devant l’Inspection centrale et il est toujours à son poste », a souligné M. Sehnaoui. « Par la suite, nous comptons recourir au parquet financier pour mettre un terme à ce gaspillage. Il est inadmissible qu’un fonctionnaire du ministère des Télécommunications nuise aux intérêts des Libanais et à l’économie », a-t-il poursuivi.
Le ministre a également lancé une campagne sur Twitter réclamant le départ de Abdel Monhem Youssef et appelé ses adversaires politiques à oublier leurs prises de position « pour servir les intérêts des citoyens ».
Le ministre démissionnaire des Télécommunications, Nicolas Sehnaoui, a accusé hier le directeur général d’Ogero, Abdel Monhem Youssef, d’être à l’origine de la lenteur du débit Internet au Liban.« Le Liban a accès à 50 gigabits par seconde (Gbps) et n’en utilise que 25 actuellement. Les citoyens qui se connectent le soir constatent une lenteur du débit parce qu’ils ne...
