Selon le quotidien koweïtien as-Siassa, des députés égyptiens ont accusé le Hezbollah et l'Iran d'avoir fomenté l'attentat contre l'église à Alexandrie le soir du Nouvel An, et ce lors de la visite d'une délégation parlementaire des pays arabes, du Golfe au Caire. Ces élus citaient des sources sécuritaires et politiques égyptiennes haut placées.
Selon ces députés, le Hezbollah aurait commandité cette attaque pour attiser les tensions confessionnelles en Égypte en réaction au procès de ses membres dans l'affaire de la « cellule égyptienne » l'année dernière. Ces mêmes élus ont également mis en cause le régime iranien, accusant au passage Téhéran d'ingérence en Irak et au Yémen, en assurant que le guide suprême Ali Khamenei reproche à l'Égypte de soutenir les pays du Golfe pour contrer les ambitions régionales de l'Iran. Ils ont aussi assuré que les mises en garde du Caire à Téhéran contre toute ingérence en Irak, au Liban, en Palestine, au Yémen, dans les pays du Golfe, et les affaires internes arabes auraient ainsi importé en Égypte le terrorisme iranien. Les députés égyptiens ont en outre assuré que ce ne serait pas la première fois que l'Iran et le Hezbollah seraient impliqués dans des activités terroristes en Égypte, et dans d'autres pays arabes et occidentaux. Ils en veulent pour preuve l'aveu de Hassan Nasrallah dans son discours de l'an dernier, dans lequel il a pris la défense du chef de la « cellule égyptienne » et de certains de ses membres.
Les parlementaires égyptiens auraient enfin indiqué que les services de sécurité égyptiens sont convaincus de la présence de pas moins de 20 cellules relevant du Hezbollah et des gardiens de la révolution iraniens en Égypte. La tâche de ces cellules serait de faire parvenir des missiles, des armes et de l'argent au Hamas et au Jihad islamique à Gaza. Elles seraient également chargées de perpétrer des actes terroristes en Égypte chaque fois que Le Caire s'oppose à la politique iranienne controversée au Moyen-Orient.
Selon ces députés, le Hezbollah aurait commandité cette attaque pour attiser les tensions confessionnelles en Égypte en réaction au procès de ses membres dans l'affaire de la « cellule égyptienne » l'année dernière. Ces mêmes élus ont également mis en cause le régime iranien, accusant au passage Téhéran d'ingérence en Irak et au Yémen, en assurant que le guide suprême Ali Khamenei reproche à l'Égypte de soutenir les pays du Golfe pour contrer les ambitions régionales de l'Iran. Ils ont aussi assuré que les mises en garde du Caire à Téhéran contre toute ingérence en Irak, au Liban, en Palestine, au Yémen, dans les pays du Golfe, et les affaires internes arabes auraient ainsi importé en Égypte le terrorisme iranien. Les députés égyptiens ont en outre assuré que ce ne serait pas la première fois que l'Iran et le Hezbollah seraient impliqués dans des activités terroristes en Égypte, et dans d'autres pays arabes et occidentaux. Ils en veulent pour preuve l'aveu de Hassan Nasrallah dans son discours de l'an dernier, dans lequel il a pris la défense du chef de la « cellule égyptienne » et de certains de ses membres.
Les parlementaires égyptiens auraient enfin indiqué que les services de sécurité égyptiens sont convaincus de la présence de pas moins de 20 cellules relevant du Hezbollah et des gardiens de la révolution iraniens en Égypte. La tâche de ces cellules serait de faire parvenir des missiles, des armes et de l'argent au Hamas et au Jihad islamique à Gaza. Elles seraient également chargées de perpétrer des actes terroristes en Égypte chaque fois que Le Caire s'oppose à la politique iranienne controversée au Moyen-Orient.
Selon le quotidien koweïtien as-Siassa, des députés égyptiens ont accusé le Hezbollah et l'Iran d'avoir fomenté l'attentat contre l'église à Alexandrie le soir du Nouvel An, et ce lors de la visite d'une délégation parlementaire des pays arabes, du Golfe au Caire. Ces élus citaient des sources sécuritaires et politiques égyptiennes haut placées.Selon ces députés, le Hezbollah...
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