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Liban

L’islam libanais à Bkerké pour les vœux de Noël

Le patriarche maronite s’entretenant avec l’ambassadeur d’Iran.

Le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, continue de recevoir de nombreuses personnalités venues lui présenter leurs vœux pour la fête de Noël.
Il a ainsi reçu l’ambassadeur d’Iran, Ghadanfar Abadi, une délégation des ulémas libanais, présidée par cheikh Abbas Jahouri, le président de la Cour de cassation Antoine Issa el-Khoury, Mme Rabab Sadr, une délégation du Courant du citoyen libanais à Nabatiyé et Baalbeck, Imad Falha, le Dr Hareth Boustany, le directeur général de la Fondation Issam Farès, William Majli, ainsi que les membres du Conseil de tutelle de la Ligue de Qannoubine pour le patrimoine, présidé par Nawfal Chédraoui.
Le patriarche maronite s’est aussi entretenu avec l’ancien ministre Michel Eddé, ainsi qu’avec les députés de Beyrouth Nabil de Freige, Serge Ter Sarkissian et Atef Majadalani.
Mgr Raï s’est également réuni avec l’uléma Ali Fadlallah qui était à la tête d’une délégation constituée notamment du président du centre de dialogue interreligieux au sein de la Fondation Mohammad Hussein Fadlallah, Hussein Chéhadé, du conseiller politique Hani Abdallah et du responsable du prêche au sein de la fondation, Hassan Halal.
Prenant la parole à l’issue de la visite, l’uléma Fadlallah a mis l’accent sur « l’importance de la Nativité aussi bien pour les communautés chrétienne que musulmane ». « Cela prouve, a-t-il poursuivi, que la religion est au service de l’être humain. Cette visite a également constitué une occasion pour réaffirmer notre soutien au message du patriarche qui appelle au partenariat et à l’amour. Le partenariat et l’amour relèvent de la responsabilité de tous au Liban et le devoir de chacun est de protéger la convivialité. Nous œuvrerons tous pour la stabilité du Liban afin qu’il soit épargné des crises qui touchent le Moyen-Orient », a-t-il déclaré. Il a également souhaité que « toutes les parties se retrouvent autour de la table de dialogue et cela pour servir les intérêts nationaux ».
Le patriarche maronite s’est aussi entretenu avec une délégation de la Fédération des ligues des familles beyrouthines, présidée par Mohammad Khaled Sinno, qui a souligné que « la visite était une occasion pour rendre hommage au rôle joué par le maître de Bkerké, qui est ouvert à tous pour préserver les intérêts du pays ».
M. Sinno a noté que « les Beyrouthins tiennent à ce que les élections législatives ne soient pas ajournées et cela pour préserver la démocratie dans le pays ».
Mgr Raï a également reçu une délégation du Mouvement Amal, présidée par le ministre de la Santé, Ali Hassan Khalil, et regroupant notamment les députés Ghazi Zeaïter et Hani Kobeissi.
Prenant la parole, M. Khalil a souligné que « cette visite a constitué une occasion pour écouter l’avis du patriarche maronite concernant divers dossiers, notamment la poursuite du dialogue entre Libanais afin de parvenir à un consensus portant sur une nouvelle loi électorale qui nous permettrait de sortir le pays de la crise ».
Le patriarche maronite s’est aussi entretenu avec le ministre de l’Agriculture, Hussein Hajj Hassan.
Il a également reçu la visite d’une délégation de la montagne druze.
Le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, continue de recevoir de nombreuses personnalités venues lui présenter leurs vœux pour la fête de Noël.Il a ainsi reçu l’ambassadeur d’Iran, Ghadanfar Abadi, une délégation des ulémas libanais, présidée par cheikh Abbas Jahouri, le président de la Cour de cassation Antoine Issa el-Khoury, Mme Rabab Sadr, une délégation du Courant...

commentaires (2)

De la forme, c'est tout !

SAKR LEBNAN

06 h 31, le 29 décembre 2012

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Commentaires (2)

  • De la forme, c'est tout !

    SAKR LEBNAN

    06 h 31, le 29 décembre 2012

  • L'HABIT ne fait pas le MOINE ! Ainsi, n'espérez trouver aucune différence entre un curé, un mollah ou un imam…. Ils sont issus tous du même moule ; de même pour leurs "ouailles ?!". Il ne faut donc pas chercher à discutailler avec ces gens-là ; "des phénomènes" pareils yâ hassértéhhh. Rien à faiiire ! Et la Seule bonne chose à faiiire, est de leur Interdire de se mêler des Publiques et Civiles Affaiiires. D’où, une Totale Séparation de tous les "bastringues" de l’État et de ses Affaiiires....

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    05 h 37, le 28 décembre 2012

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