Voilà maintenant près de 10 ans que le projet de création d’un héliport sur la terrasse de l’Hôpital Saint-Georges des grecs-orthodoxes à Beyrouth attend d’être concrétisé. Hier, à 11 heures, ce centre hospitalier universitaire a pu inaugurer avec fierté la plate-forme aérienne. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la deuxième phase d’expansion et de développement de l’hôpital.
Grâce à son programme d’« Aide hellénique », le gouvernement grec a contribué au financement de l’héliport. La cérémonie a eu lieu en présence notamment du métropolite Élias Audi ainsi que de l’ambassadrice de Grèce, Catherine Boura.
Plusieurs manœuvres d’atterrissage et de décollage conduites par les forces aériennes de l’armée et de la Finul ont été réalisées, accompagnées par l’équipe de traumatologie et d’experts médicaux de l’hôpital. Le premier corps militaire avait choisi, en début d’année 2012, l’Hôpital Saint-Georges de Beyrouth comme lieu d’évacuation, 24 heures sur 24, par voie aérienne. Peu de temps après, la Finul a signé un accord avec le centre hospitalier pour initier une coopération médicale permettant de garantir les soins de ses troupes et de son personnel. En outre, l’hôpital offrira aux forces de la Finul la possibilité de disposer de son héliport en cas d’évacuations rapides par hélicoptère, liées à des traumatismes et des cas d’urgence, selon le protocole signé avec l’armée libanaise.
Le mot « rapidité » qualifie certainement l’esprit et le but de ce projet. En effet, la voie aérienne facilite les évacuations rapides, en évitant l’encombrement auquel sont sujettes les ambulances sur la route, permettant ainsi de sauver des vies. De plus, l’héliport est relié au centre de traumatologie, assurant de surcroît la rapidité du service. Pour Lina S. Moukheiber, directrice du développement, à l’initiative du projet et de la collecte des fonds, « le Liban a connu et pourrait connaître des guerres. Grâce à cet héliport, des vies vont pouvoir être sauvées. Nous serons mieux équipés pour les recevoir et les soigner. Beaucoup de personnes sont mortes pendant la guerre du Liban à cause de la lenteur des évacuations, qui s’effectuaient par la route. Désormais, l’hôpital est à même de mieux réaliser sa mission ».
Grâce à son programme d’« Aide hellénique », le gouvernement grec a contribué au financement de l’héliport. La cérémonie a eu lieu en présence notamment du métropolite Élias Audi ainsi que de l’ambassadrice de Grèce, Catherine Boura.
Plusieurs manœuvres d’atterrissage et de décollage conduites par les forces aériennes de l’armée et de la Finul ont été réalisées, accompagnées par l’équipe de traumatologie et d’experts médicaux de l’hôpital. Le premier corps militaire avait choisi, en début d’année 2012, l’Hôpital Saint-Georges de Beyrouth comme lieu d’évacuation, 24 heures sur 24, par voie aérienne. Peu de temps après, la Finul a signé un accord avec le centre hospitalier pour initier une coopération médicale permettant de garantir les soins de ses troupes et de son personnel. En outre, l’hôpital offrira aux forces de la Finul la possibilité de disposer de son héliport en cas d’évacuations rapides par hélicoptère, liées à des traumatismes et des cas d’urgence, selon le protocole signé avec l’armée libanaise.
Le mot « rapidité » qualifie certainement l’esprit et le but de ce projet. En effet, la voie aérienne facilite les évacuations rapides, en évitant l’encombrement auquel sont sujettes les ambulances sur la route, permettant ainsi de sauver des vies. De plus, l’héliport est relié au centre de traumatologie, assurant de surcroît la rapidité du service. Pour Lina S. Moukheiber, directrice du développement, à l’initiative du projet et de la collecte des fonds, « le Liban a connu et pourrait connaître des guerres. Grâce à cet héliport, des vies vont pouvoir être sauvées. Nous serons mieux équipés pour les recevoir et les soigner. Beaucoup de personnes sont mortes pendant la guerre du Liban à cause de la lenteur des évacuations, qui s’effectuaient par la route. Désormais, l’hôpital est à même de mieux réaliser sa mission ».
Voilà maintenant près de 10 ans que le projet de création d’un héliport sur la terrasse de l’Hôpital Saint-Georges des grecs-orthodoxes à Beyrouth attend d’être concrétisé. Hier, à 11 heures, ce centre hospitalier universitaire a pu inaugurer avec fierté la plate-forme aérienne. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la deuxième phase d’expansion et de développement...
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