I like Chopin
Frédéric aimait faire plaisir à ses papilles... Et ses yeux auraient adoré ! Une décoration esprit baroque inspirée de l’univers du théâtre, des meubles tapissés de toile de jouy aux motifs d’anges et trouvés ex-abrupto à Basta, des miroirs et cadres d’époque et une série de lustres qui illuminaient à giorno la somptueuse magnanerie de Sedd el-Bauchrieh et faisaient scintiller les gilets brodés de passementeries des barmaids : l’ambiance fastueuse voulue et imaginée par les Imagic, Caroline Abdelnour et Nathalie Harb, était un hommage à Chopin, le génie musical du XIXe siècle, qui prête son nom à l’essence spiritueuse de sa Pologne natale, la vodka. Et pas n’importe laquelle, puisque le Beverage Testing Institute a mis tous les cépages de cette vodka au sommet de ses classements, avec des scores de plus de 90 points.
Le lancement du nouveau branding par le groupe G. Vincenti & sons a été un grand événement mené tambour battant par un show de jongleurs et batteurs de feu, une prestation violonistique, un live mapping performance créé par Beirut Visuals sur une bouteille Chopin Mathusalem de 4 m de long et au son d’un remix des Nocturnes et des Polonaises, suivis d’un dîner concocté par Cat & Mouth à base de vodka et des décibels très inspirés de Câline Chidiac. Et personne n’a résisté (qui aurait pu ? ...) à la spectaculaire flying barmaid suspendue à un lustre qui shootait les invités à l’essence du virtuose. Le lendemain, avec l’inévitable gueule de bois, on a rêvé d’un jour férié pour récupérer ! Parmi les centaines de présents : l’ambassadeur Tom Fletcher ; Khaled et Nadine Mouzannar; Janane Mallat et Joy Khoury ; Adib Basbous et la truculente Géraldine ; Saïd Francis ; Jad Khoury ; Nagi Irani; Siham Tuéni ; Nathalie Fadlallah ; Souraya de Freige; Albert Ariss ; Médéa Azouri; Ziyad Makhoul; Sabine Kassouf ; Siso et Sabine Abi Farah ; Jad Choueiri ; Gabriel et Chantal Fernainé ; Yves Accaoui ; Jean et Imane Gebran, et, naturellement, la sémillante maîtresse de maison, Michèle Ghanem...
César or noir pour Randa
Qui a dit que les Arabes étaient des misogynes ? À l’instar de trois personnalités qui ont contribué au progrès du secteur pétrolier dans la région, à savoir les ministres Nahyane Mobarak al-Nahyane des Émirats arabes unis, Mohammad Sada du Qatar, et Abdallah el-Badri, secrétaire général de l’OPEP, Randa Takieddine, la chef du bureau parisien du quotidien al-Hayat et journaliste spécialisée dans l’actualité pétrolière, a reçu « The Abdallah ben Hamad al-Attiya lifetime achievement award », du nom du vice-Premier ministre et ministre du Pétrole du Qatar. Celui-là même qui a bâti le secteur gazier du richissime émirat devenu le plus grand exportateur du monde.
Créé à l’initiative du Qatar, du Gulf Intelligence et Exxon Mobil, ce prix, dont c’était la première édition, a été remis par al-Attiya himself lors d’un dîner qui a réuni le Tout-Doha du pétrole et du gaz ; les présidents des compagnies pétrolières internationales ; l’ex-PM libanais Fouad Siniora ; l’Américain William Welds, gouverneur du Massachussetts ; Kate Dourian représentant Platts, un des principaux fournisseurs mondiaux d’informations sur l’énergie, les produits pétrochimiques et les métaux, sans oublier les amis de toujours de la Takieddine, Jamil Mroueh et Fady Amatoury à la tête de la banque Audi à Qatar. Dans son mot de remerciements, Randa a raconté comment Abdallah al-Attiya, à la demande de Rafic Hariri, avait convaincu les ministres de l’OPEP de se réunir au Liban alors que celui-ci n’était pas membre de l’organisation, et que tout au bonheur de découvrir un nouveau pays, les journalistes venus des différents coins du monde ont été rattrapés par
le virus de la fête made in Lebanon ! N’ayant pas trop envie de s’enfermer dans les salles de conférences, ils ont alors délaissé la couverture médiatique des débats pour aller parcourir le pays et s’éclater ! C’est ce qu’on appelle la contagion...
Signalons que le cheikh al-Attiya a été lui aussi récompensé par un « Abdallah ben Hamad al-Attiya lifetime achievement award », et c’est Fouad Siniora qui le lui a remis avant de prononcer un discours faisant référence aux liens étroits qui lient le Liban à ce petit État du Golfe et souhaiter que le secteur de l’énergie au Liban bénéficie de la même transparence que le bon cheikh a su imposer au Qatar.
La Kazakhe, Vionnet et le BO18
Sophie Salamé, Lara Debs, Jessy Hanna, Rana Moussallem et Dina Azar (à ne pas confondre avec l’ex-miss Liban), les heureuses propriétaires de Sophie’s Choice, étaient aux anges. Goga Ashkenazi, la glamourissime milliardaire kazakhe qui a un jour défrayé la chronique en déclarant qu’elle a « un prince à un bras et un milliardaire à l’autre », se référant à ses amitiés étroites avec le prince Andrew et le magnat du pétrole Timur Kulib, était là en chair et en os pour le défilé du prêt-à-porter de luxe Madeleine Vionnet. Une griffe centenaire qu’elle détient désormais à 100 % et dont elle assure la direction artistique.
La jeune Kazakhe de 36 ans, qui siège au conseil d’un grand nombre de sociétés pétrolières et autres multinationales, a débarqué à Beyrouth à bord de son jet privé accompagnée d’amis italiens qui, selon les on-dit, sont plus beaux qu’Apollon lui-même, et en plus super généreux : au dîner annuel de la LAU où ils ont été parachutés, ils se sont battus pour remporter toutes les peintures (ou presque) mises aux enchères... avant d’aller danser au BO18 jusqu’au petit matin. Dimanche, c’est Élie Saab qu’il leur a fait découvrir son home à Faqra.
Monégasque = généreux
Sous ses paillettes, Monaco a un grand cœur. Le gouvernement princier, la Croix-Rouge, l’association Children & Future et les résidents du Rocher l’ont montré en répondant à l’appel lancé par les Amis du Liban à Monaco pour venir en aide aux réfugiés syriens. Mobilisée en faveur de cette action, l’association a organisé dans l’urgence un dîner de charité qui a permis de récolter 90 000 dollars. L’enveloppe sera investie pour soutenir 250 familles prises en charge par Tahaddi, une œuvre de bienfaisance basée à Beyrouth. L’accès aux soins pour les enfants, leur scolarisation et l’embauche d’une assistante sociale sont une priorité pour la présidente Bouran Bouery, fondatrice de l’association et ambassadrice de bonne volonté en Europe de l’Ouest pour Live Lebanon, un programme mis en place par le PNUD, et de son équipe, dont Cristina Borba, Lama Mattar, Frédéric Lefèvre et Andrea Pizzorni. Les Amis du Liban ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. D’autres démarches sont entreprises pour assurer, à travers l’Unrwa, le PNUD ou le UNHCR, des kits d’hygiène, des appareils de chauffage, des couvertures, l’équipement d’une école publique au Akkar, etc. Les Monégasques sont vraiment chics.
ditavonbliss@hotmail.com
Frédéric aimait faire plaisir à ses papilles... Et ses yeux auraient adoré ! Une décoration esprit baroque inspirée de l’univers du théâtre, des meubles tapissés de toile de jouy aux motifs d’anges et trouvés ex-abrupto à Basta, des miroirs et cadres d’époque et une série de lustres qui illuminaient à giorno la somptueuse magnanerie de Sedd el-Bauchrieh et faisaient scintiller les gilets brodés de passementeries des barmaids : l’ambiance fastueuse voulue et imaginée par les Imagic, Caroline Abdelnour et Nathalie Harb, était un hommage à Chopin, le génie musical du XIXe siècle, qui prête son nom à l’essence spiritueuse de sa Pologne natale, la vodka. Et pas n’importe laquelle, puisque le Beverage Testing Institute a mis tous les cépages de cette vodka au sommet de ses classements, avec des scores de plus de 90 points.
Le lancement du nouveau branding par le groupe G. Vincenti & sons a été un grand événement mené tambour battant par un show de jongleurs et batteurs de feu, une prestation violonistique, un live mapping performance créé par Beirut Visuals sur une bouteille Chopin Mathusalem de 4 m de long et au son d’un remix des Nocturnes et des Polonaises, suivis d’un dîner concocté par Cat & Mouth à base de vodka et des décibels très inspirés de Câline Chidiac. Et personne n’a résisté (qui aurait pu ? ...) à la spectaculaire flying barmaid suspendue à un lustre qui shootait les invités à l’essence du virtuose. Le lendemain, avec l’inévitable gueule de bois, on a rêvé d’un jour férié pour récupérer ! Parmi les centaines de présents : l’ambassadeur Tom Fletcher ; Khaled et Nadine Mouzannar; Janane Mallat et Joy Khoury ; Adib Basbous et la truculente Géraldine ; Saïd Francis ; Jad Khoury ; Nagi Irani; Siham Tuéni ; Nathalie Fadlallah ; Souraya de Freige; Albert Ariss ; Médéa Azouri; Ziyad Makhoul; Sabine Kassouf ; Siso et Sabine Abi Farah ; Jad Choueiri ; Gabriel et Chantal Fernainé ; Yves Accaoui ; Jean et Imane Gebran, et, naturellement, la sémillante maîtresse de maison, Michèle Ghanem...
César or noir pour Randa
Qui a dit que les Arabes étaient des misogynes ? À l’instar de trois personnalités qui ont contribué au progrès du secteur pétrolier dans la région, à savoir les ministres Nahyane Mobarak al-Nahyane des Émirats arabes unis, Mohammad Sada du Qatar, et Abdallah el-Badri, secrétaire général de l’OPEP, Randa Takieddine, la chef du bureau parisien du quotidien al-Hayat et journaliste spécialisée dans l’actualité pétrolière, a reçu « The Abdallah ben Hamad al-Attiya lifetime achievement award », du nom du vice-Premier ministre et ministre du Pétrole du Qatar. Celui-là même qui a bâti le secteur gazier du richissime émirat devenu le plus grand exportateur du monde.
Créé à l’initiative du Qatar, du Gulf Intelligence et Exxon Mobil, ce prix, dont c’était la première édition, a été remis par al-Attiya himself lors d’un dîner qui a réuni le Tout-Doha du pétrole et du gaz ; les présidents des compagnies pétrolières internationales ; l’ex-PM libanais Fouad Siniora ; l’Américain William Welds, gouverneur du Massachussetts ; Kate Dourian représentant Platts, un des principaux fournisseurs mondiaux d’informations sur l’énergie, les produits pétrochimiques et les métaux, sans oublier les amis de toujours de la Takieddine, Jamil Mroueh et Fady Amatoury à la tête de la banque Audi à Qatar. Dans son mot de remerciements, Randa a raconté comment Abdallah al-Attiya, à la demande de Rafic Hariri, avait convaincu les ministres de l’OPEP de se réunir au Liban alors que celui-ci n’était pas membre de l’organisation, et que tout au bonheur de découvrir un nouveau pays, les journalistes venus des différents coins du monde ont été rattrapés par
le virus de la fête made in Lebanon ! N’ayant pas trop envie de s’enfermer dans les salles de conférences, ils ont alors délaissé la couverture médiatique des débats pour aller parcourir le pays et s’éclater ! C’est ce qu’on appelle la contagion...
Signalons que le cheikh al-Attiya a été lui aussi récompensé par un « Abdallah ben Hamad al-Attiya lifetime achievement award », et c’est Fouad Siniora qui le lui a remis avant de prononcer un discours faisant référence aux liens étroits qui lient le Liban à ce petit État du Golfe et souhaiter que le secteur de l’énergie au Liban bénéficie de la même transparence que le bon cheikh a su imposer au Qatar.
La Kazakhe, Vionnet et le BO18
Sophie Salamé, Lara Debs, Jessy Hanna, Rana Moussallem et Dina Azar (à ne pas confondre avec l’ex-miss Liban), les heureuses propriétaires de Sophie’s Choice, étaient aux anges. Goga Ashkenazi, la glamourissime milliardaire kazakhe qui a un jour défrayé la chronique en déclarant qu’elle a « un prince à un bras et un milliardaire à l’autre », se référant à ses amitiés étroites avec le prince Andrew et le magnat du pétrole Timur Kulib, était là en chair et en os pour le défilé du prêt-à-porter de luxe Madeleine Vionnet. Une griffe centenaire qu’elle détient désormais à 100 % et dont elle assure la direction artistique.
La jeune Kazakhe de 36 ans, qui siège au conseil d’un grand nombre de sociétés pétrolières et autres multinationales, a débarqué à Beyrouth à bord de son jet privé accompagnée d’amis italiens qui, selon les on-dit, sont plus beaux qu’Apollon lui-même, et en plus super généreux : au dîner annuel de la LAU où ils ont été parachutés, ils se sont battus pour remporter toutes les peintures (ou presque) mises aux enchères... avant d’aller danser au BO18 jusqu’au petit matin. Dimanche, c’est Élie Saab qu’il leur a fait découvrir son home à Faqra.
Monégasque = généreux
Sous ses paillettes, Monaco a un grand cœur. Le gouvernement princier, la Croix-Rouge, l’association Children & Future et les résidents du Rocher l’ont montré en répondant à l’appel lancé par les Amis du Liban à Monaco pour venir en aide aux réfugiés syriens. Mobilisée en faveur de cette action, l’association a organisé dans l’urgence un dîner de charité qui a permis de récolter 90 000 dollars. L’enveloppe sera investie pour soutenir 250 familles prises en charge par Tahaddi, une œuvre de bienfaisance basée à Beyrouth. L’accès aux soins pour les enfants, leur scolarisation et l’embauche d’une assistante sociale sont une priorité pour la présidente Bouran Bouery, fondatrice de l’association et ambassadrice de bonne volonté en Europe de l’Ouest pour Live Lebanon, un programme mis en place par le PNUD, et de son équipe, dont Cristina Borba, Lama Mattar, Frédéric Lefèvre et Andrea Pizzorni. Les Amis du Liban ne comptent pas s’arrêter en si bon chemin. D’autres démarches sont entreprises pour assurer, à travers l’Unrwa, le PNUD ou le UNHCR, des kits d’hygiène, des appareils de chauffage, des couvertures, l’équipement d’une école publique au Akkar, etc. Les Monégasques sont vraiment chics.
ditavonbliss@hotmail.com
I like Chopin Frédéric aimait faire plaisir à ses papilles... Et ses yeux auraient adoré ! Une décoration esprit baroque inspirée de l’univers du théâtre, des meubles tapissés de toile de jouy aux motifs d’anges et trouvés ex-abrupto à Basta, des miroirs et cadres d’époque et une série de lustres qui illuminaient à giorno la somptueuse magnanerie de Sedd el-Bauchrieh et...
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