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Liban

Ils ont dit... sur la présidentielle

Nawaf Moussaoui, député du Hezbollah, au cours d'une cérémonie funéraire à Jibchite : « Ce que l'allié du régime saoudien despotique sioniste a échoué à imposer à nos proches par le fer et le feu, ce régime ne pourra nous l'imposer ni par l'argent ni autre chose. L'échec et la défaite seront au rendez-vous pour lui. Nous sommes certains de sa défaite, comme nous l'étions, avant, de la défaite de l'ennemi sioniste. Mieux encore, nous voyons en vous un ennemi plus faible encore que l'ennemi sioniste, et vous le savez (...). Le Hezbollah ne reculera pas en Syrie. Il avance vers une victoire qui pointe déjà à l'horizon (...). Le général Michel Aoun sera président de la République parce qu'il détient la majorité nécessaire à son élection, à condition que le bloc parlementaire du Futur libère l'échéance du régime saoudien. »


Wi'am Wahhab, ancien ministre, à l'issue d'un entretien avec le député Michel Aoun à Rabieh : « Il est requis d'immuniser notre scène locale. Nous espérons qu'avec l'approche du mois d'août, Saad Hariri libérera l'échéance présidentielle, maintenant que l'ensemble du camp adverse est devenu plus mûr, et se rende à la Chambre pour y élire le général Michel Aoun à la présidence de la République. Par contre, si les positions restent les mêmes, nous avons le choix entre plusieurs options. (...) Je l'ai déjà dit, les clefs de la présidence du Conseil et de la présidence de la République sont aux mains du général Aoun, avec l'aval de ses alliés. Il a reçu ce feu vert. »


Fadi el-Aawar, député (bloc du Changement et de la Réforme), dans le cadre d'un entretien à La Voix du Liban 93.3 : « Il faut gérer la crise dans la mesure où la situation va rester telle quelle jusqu'aux prochaines élections législatives en mai 2017, sauf si l'Arabie saoudite libère l'échéance présidentielle. Le général Michel Aoun est le passage obligé vers la présidence de la République. »


Simon Abi Ramia, député (bloc du Changement et de la Réforme) : « Le général Michel Aoun est notre seul et unique candidat en raison de l'influence populaire dont il dispose et de son histoire de lutte au niveau national. »


Mohammad Hajjar, député (bloc du Futur), dans un entretien à La Voix du Liban, 93.3 : « Les pays étrangers veulent qu'un président de la République soit élu au Liban, sauf l'Iran, qui refuse jusqu'à l'heure de libérer l'échéance présidentielle. L'Arabie saoudite n'oppose aucun veto au nom du général Michel Aoun comme le prétendent les médias du Hezbollah pour justifier le blocage par l'Iran de ce dossier. »

Nawaf Moussaoui, député du Hezbollah, au cours d'une cérémonie funéraire à Jibchite : « Ce que l'allié du régime saoudien despotique sioniste a échoué à imposer à nos proches par le fer et le feu, ce régime ne pourra nous l'imposer ni par l'argent ni autre chose. L'échec et la défaite seront au rendez-vous pour lui. Nous sommes certains de sa défaite, comme nous l'étions,...

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