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Liban - Dans les coulisses de la diplomatie

Accord de Lausanne : le Liban ne devrait pas espérer de grandes répercussions internes

Il n'y a jusque-là pas d'évaluation libanaise officielle de l'accord-cadre de Lausanne conclu entre l'Iran et les 5+1. Le ministère des Affaires étrangères, en effet, n'a pas encore reçu de rapports diplomatiques de la part des États qui ont participé à cet accord, en raison des jours fériés de Pâques. Un ministre a ainsi estimé hier que le Liban n'adoptera aucune position à l'égard de cet accord, avant la prochaine réunion du Conseil des ministres et avant que les rapports diplomatiques à ce sujet n'arrivent au palais Bustros. Le peu d'informations n'a toutefois pas empêché les experts et les responsables d'avoir une idée de la position que prendra le Liban à cet égard et des répercussions que pourrait avoir cet accord au niveau local. Sur ce plan, le professeur en sciences politiques Samy Baroudi assure que l'accord est limité et ne concerne que le programme nucléaire iranien. « L'Iran profite de cet accord car il lui permet enfin d'échapper aux sanctions économiques énormes qui lui sont imposées », a-t-il noté, écartant d'éventuelles répercussions directes sur le Liban.
Pour sa part, le chef des Forces libanaises Samir Geagea a estimé que l'accord de Lausanne ne permettra pas l'élection d'un président qui reste tributaire de la participation des députés aux séances parlementaires. Si le président de la Chambre Nabih Berry, par ailleurs, pariait sur un rapprochement entre Riyad et Téhéran pour accélérer la présidentielle, cela n'est plus possible après l'intervention arabe au Yémen.
Selon certaines informations, le guide suprême Ali Khameneï aurait informé le secrétaire d'État américain John Kerry, par le biais de son homologue iranien Mohammad Jawad Zarif, que son pays n'était prêt à négocier aucun sujet autre que le nucléaire, surtout le rôle que joue l'Iran au Yémen, au Liban, en Syrie et en Irak. Il lui aurait également assuré que la présidentielle libanaise ne concernait que les Libanais et que le secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah était celui qui décidait concernant cette échéance, et pour preuve. La France a déjà échoué à ce niveau, et aucun pays ne pourra rien faire tant que les députés de Michel Aoun et de ses alliés boycottent les séances parlementaires.

Il n'y a jusque-là pas d'évaluation libanaise officielle de l'accord-cadre de Lausanne conclu entre l'Iran et les 5+1. Le ministère des Affaires étrangères, en effet, n'a pas encore reçu de rapports diplomatiques de la part des États qui ont participé à cet accord, en raison des jours fériés de Pâques. Un ministre a ainsi estimé hier que le Liban n'adoptera aucune position à...

commentaires (1)

Cette guerre à multiples facettes menée par ce stupide walïyoulfakihisme contre le "fertile" est l'occasion d'un triple crime : militaire, médiatique et pseudo-diplomatique ; celui donc des roquettes déversées sur ce champ de bataille en "croissant", et celui des opinions martialement répandues à longueur de journées par leurs dépêches niaises sous forme pseudo-analyste Martienne bon teint, ou d'autres soft pseudo-analyses Per(s)cées plénipotentiaires : des crimes donc contre l'esprit fertile de ce "croissant", quoi ! Ce violent déversement belliciste de ces clercs noircis appelle à dire que ces mollâhs-là formant la "fière" cohorte des va-t-en-guerre Malsains et/ou fakîhàRiens de toutes obédiences, de toutes espèces et de tout poil, se distinguent d'emblée par un langage intoxiqué bourré de concepts infatueux, infects et boursouflés. Où il n'est question chez eux que de guerre anti-salafisme, de moumânaäâh à deux balles et de "résistance" triste ! Le mot remplaçant à présent le verbe ; des mots sans phrase, sans aucun sens sans aucune phrase ; perdant toute valeur à être ainsi galvaudés. Que restera-t-il pour s’exprimer le jour où tous ces vocables, par d'autres mais Sains, seraient surely justifiés ? D'où leur extrêêême conFusion : c'est Babel Per(s)cée qui revient dans les crânes de ces mandarins hyper stricts persépolissiens. D’où cette mesure drastique : 1 cure de silence sur eux imposée, qui ferait tant de bien pour ce "pauvre et fertile croissant" éhhh Sain.

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

12 h 57, le 04 avril 2015

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Commentaires (1)

  • Cette guerre à multiples facettes menée par ce stupide walïyoulfakihisme contre le "fertile" est l'occasion d'un triple crime : militaire, médiatique et pseudo-diplomatique ; celui donc des roquettes déversées sur ce champ de bataille en "croissant", et celui des opinions martialement répandues à longueur de journées par leurs dépêches niaises sous forme pseudo-analyste Martienne bon teint, ou d'autres soft pseudo-analyses Per(s)cées plénipotentiaires : des crimes donc contre l'esprit fertile de ce "croissant", quoi ! Ce violent déversement belliciste de ces clercs noircis appelle à dire que ces mollâhs-là formant la "fière" cohorte des va-t-en-guerre Malsains et/ou fakîhàRiens de toutes obédiences, de toutes espèces et de tout poil, se distinguent d'emblée par un langage intoxiqué bourré de concepts infatueux, infects et boursouflés. Où il n'est question chez eux que de guerre anti-salafisme, de moumânaäâh à deux balles et de "résistance" triste ! Le mot remplaçant à présent le verbe ; des mots sans phrase, sans aucun sens sans aucune phrase ; perdant toute valeur à être ainsi galvaudés. Que restera-t-il pour s’exprimer le jour où tous ces vocables, par d'autres mais Sains, seraient surely justifiés ? D'où leur extrêêême conFusion : c'est Babel Per(s)cée qui revient dans les crânes de ces mandarins hyper stricts persépolissiens. D’où cette mesure drastique : 1 cure de silence sur eux imposée, qui ferait tant de bien pour ce "pauvre et fertile croissant" éhhh Sain.

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    12 h 57, le 04 avril 2015

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