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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Ciao les amis

L'ancien rédacteur en chef de L'Orient-Le Jour Nagib Aoun adooooooorait Pinter, notre caricaturiste. Il défendait bec et ongles l'espace qui lui était réservé dans cette même page. Un article pouvait sauter, mais le dessin de Pinter, ça jamais, au grand jamais ! Patrick Pinter a pleuré samedi en annonçant le départ de Nagib, mais avec son talent et la verve de son crayon, il lui a offert un dessin illustrant avec humour cette retraite : outrant les traits du personnage, il l'a représenté joufflu, échevelé, les orteils en l'air, flemmardant dans son lit aux côtés de son épouse Joséphine. Il ne manquait plus que les bulles « vive les vacances », « vive la retraite » et quelques notes de samba. Un humour qui a été salué par des oh et des ah tonitruants de toute la bande du journal réunie autour du PDG Michel Eddé à déjeuner au Talleyrand en l'honneur de Nagib, de Christian (Merville), de Maria (Chakhtoura) et de Josette (Nahas). Tous partis avec ce sentiment d'un grand travail accompli, mais aussi une petite nostalgie dans les yeux. Eh oui, c'est ainsi, il y a un moment dans la vie où le départ devient inéluctable. Où après quatre à cinq décennies de boulot, on aspire au repos, à une bonne cure de farniente, à d'autres aventures, à d'autres plaisirs qui nourrissent l'âme. Ce déjeuner était un très beau moment de convivialité et s'est terminé par des chaleureuses embrassades, une longue séance de photos-souvenirs, et, incontestablement, beaucoup d'émotion. Parce que ce départ marque la fin d'une époque et le début d'une autre : celle des plus jeunes...

 

Jaloux, Oscar ?

Bassam Daher a un problème métaphysique : il ne sait plus quel terme utiliser pour désigner Nora Joumblatt : présidente (du festival de Beiteddine) ou Commandatore, insigne della Legion d'Onore, qui lui a été remis par l'ambassadeur d'Italie lors d'un déjeuner à Moukhtara. Qu'il se débrouille, il a l'embarras du choix !
Présentes à la cérémonie : une vingtaine de personnes dont Sheba Morabito et un groupe de responsables de l'ambassade, ainsi que Nagib et Bachir Joumblatt, Bandar Shawaf, Amal Makarem, Wajdi Abou Hamza, et quelques membres du comité du festival dont Andrée Daouk, Hala Chahine, Wafa Saab, Thérèse Tohmé, Lina Fawaz, Magda Rizkallah, Yakout Sadek, Bassam... mais aussi un photographe dont les réflecteurs et autres flashs ont indisposé Oscar. Le chien des Joumblatt. Grognements, aboiements, retroussement de babines, la bête (toute gentille au demeurant) était prête à l'attaque. Volant au secours du paparazzi qui, très vite, a immortalisé quelques scènes, Walid bey a maîtrisé très fermement son sharpeï... Après tout, c'est lui le chef.

 

Les Palumbo ont leur princesse

Vingt-cinq ans et jolie comme un cœur. Petra Palumbo, la fille de Hayat Mroueh et Lord Palumbo, se lance tout à la fois dans le mannequinat et le stylisme. Cheveux blonds, grands yeux bleus, elle fait le bonheur du Dailymail qui la compare à « une princesse de Disneyland » et publie plusieurs de ses photos. Diplômée du London College of Fashion, passionnée de broderie et de tapisserie (elle a de qui tenir !), la jeune fille a déjà fait la couverture du glamour magazine britannique Tatler. Affaire à suivre...

 

Le divan que je m'allonge ?

En débarquant au Biel à la sobhié de Ahlouna, association fondée en 2001 pour fournir des services éducatifs et sociaux aux enfants, aux femmes et aux personnes âgée dans la communauté de Saïda, le ministre de la Santé Waël Bou Faour est resté sans voix. Bouche bée. À la limite de la syncope, au milieu d'une marée de dames (on en comptait plus de 300) qui convergeaient vers lui pour le saluer. Monsieur était l'unique mâle (excepté Ahmad Kaour qui animait le brunch) présent à cette assemblée. Trac ou timidité? Habitué à faire le show national entre les cuisses de poulet et autres jarrets de veau, très à l'aise pour mener une conversation à bâtons rompus avec les médias, le voilà terrifié, affolé, prêt à se cacher, tout petit, derrière Nora Joumblatt. Mais l'infidèle l'a lâché dans la meute lorsque la forêt d'iPhones et de caméras l'ont littéralement noyé... Accablante, la notoriété ?

 

La femme et le tarbouch... à Londres

Auction on line de tarbouchs very glamourissimes, rouges, dorés, diamantés ou colorés. Ils ont été réalisés dans les ateliers de grands créateurs notamment Bucellati, Emilio Pucci, Élie Saab, Huishan Zghang avec Swarovski, Inès de la Fressange (pour Roger Vivier), Jean-Claude de Castelbajac, Giles, Nathalie Rykiel, Star Diamond private jewellery, Veronica Etro et d'autres... À l'origine de cette idée, l'artiste peintre Mouna Rebeiz, qui expose actuellement à la Saatchi gallery de Londres ses nus féminins bien en chair et réalistes. Placés sur le thème «Le Tarbouch», les tableaux et les couvre-chefs des stylistes seront vendus aux enchères par Sotheby's au profit de l'association Innocence en Danger, Suisse. Une belle formule à piquer ! Que pense Viviane Debbas, présidente de l'association libanaise Himaya pour l'innocence en danger ?
Signalons que Mouna Rebeiz, installée à Paris depuis 1975, s'était fait connaître lors d'une exposition à la galerie Pierre-Alain Challier en exposant des huiles sur toile confrontant l'icône sexy américaine des années trente, Betty Boop, à des nus féminins. Ses œuvres avaient été vendues entre 25 000 et 50 000 euros.

 

Ciao les amis
L'ancien rédacteur en chef de L'Orient-Le Jour Nagib Aoun adooooooorait Pinter, notre caricaturiste. Il défendait bec et ongles l'espace qui lui était réservé dans cette même page. Un article pouvait sauter, mais le dessin de Pinter, ça jamais, au grand jamais ! Patrick Pinter a pleuré samedi en annonçant le départ de Nagib, mais avec son talent et la verve de son crayon,...

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