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Liban

Le Futur, unanime, réclame l’élargissement du champ d’action de la 1701

Le député du Futur Samir el-Jisr a estimé hier que « la détention par les hommes armés de 36 membres de l'armée et des FSI avait pour but d'assurer leur sortie de Ersal ». « Les rumeurs selon lesquelles le Futur empêche l'armée d'entrer à Ersal sont fausses. Notre bloc a totalement soutenu l'armée », a-t-il déclaré, indiquant que « nul ne peut garantir que les hommes armés ne reviendront pas dans les régions libanaises ». « L'armée et les forces de l'ordre ne peuvent contrôler la frontière avec leurs capacités. L'idée consiste dans l'élargissement de la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'Onu jusqu'à la frontière libano-syrienne », a-t-il expliqué.
Des affirmations reprises par le député Assem Araji, son collègue du même mouvement, qui a assuré que « le gouvernement libanais doit protéger la frontière avec la Syrie par le déploiement de l'armée. Toutefois, il s'agit alors d'élargir la zone d'opération de la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'Onu », a-t-il affirmé.
Pour sa part, le député Ammar Houri a souligné l'importance de diagnostiquer la source du problème à Ersal et d'y remédier, insistant sur la nécessité de respecter la politique de distanciation. « Il est urgent de libérer les otages et le Hezbollah doit se retirer de Syrie. Le gouvernement doit également déployer la Finul pour soutenir l'armée dans sa mission », a-t-il ajouté.
Le député Mohammad Kabbara, également « futuriste », a de son côté appelé les Libanais à se porter volontaires pour rejoindre les rangs de l'armée, estimant que « c'est le seul moyen de soutenir l'armée, au lieu de diriger des milices et groupuscules terroristes à caractère confessionnel ». M. Kabbara a également appelé le cabinet à appliquer la résolution 1701 aux frontières libano-syriennes de façon à ce que la communauté internationale assume le poids de cette guerre contre le terrorisme.
Quant au député Ahmad Fatfat, du même bloc, il a refusé toute forme de coopération avec la Syrie dans cette lutte, indiquant que « ce n'est pas l'armée libanaise qui a fait un compromis à Ersal, mais bien une autorité politique responsable qui a chargé le comité des ulémas musulmans de cette affaire aidé par le député Jamal el-Jarrah ». « Nous devons œuvrer pour la libération du restant des forces de l'ordre des mains des individus armés qui ne se sont retirés qu'à cause de la perte qu'ils ont subie. La majorité des soldats tombés à Ersal et à Nahr el-Bared sont des partisans du courant du Futur », a-t-il dit, appelant à l'application de la 1701 aux frontières libano-syriennes, « revendication que nous avons émise bien avant l'intervention du Hezbollah en Syrie ».

Le député du Futur Samir el-Jisr a estimé hier que « la détention par les hommes armés de 36 membres de l'armée et des FSI avait pour but d'assurer leur sortie de Ersal ». « Les rumeurs selon lesquelles le Futur empêche l'armée d'entrer à Ersal sont fausses. Notre bloc a totalement soutenu l'armée », a-t-il déclaré, indiquant que « nul ne peut garantir que les hommes armés...

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