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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Le feuilleton Trierweiler n'a pas fini de rebondir

Pauvre Hani. Il ne demandait pas tant de publicité. Or depuis que France Dimanche a révélé que l'ex-compagne de François Hollande est « amoureuse » de Hani, l'homme d'affaires américano-libanais prétendument rencontré chez Walid Joumblatt lors de son séjour au Liban en novembre dernier, la nouvelle a été relayée comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. Très surpris, le leader druze déclare ne connaître ni Valérie Trierweiler ni Hani... Yakan. Ce dernier grince aussi des dents ! D'un, il n'est pas un businessman, mais un informaticien bien en vue à New York et fier de l'être. De deux, le séduisant quinquagénaire, divorcé, papillonnant de fleur en fleur, est ultrasecret et n'aime pas étaler sa vie privée. De trois, le premier rendez-vous avec Valérie a eu lieu à Paname, dans la plus belle ville du monde. Et de quatre, face aux médias passionnément gourmands d'informations croustillantes ... il risque la bruxomanie ! L'amour mérite bien des sacrifices...

 

Nicolas couronné, Kamal primé

Temps fort du calendrier culinaire, le Grand Prix exceptionnel de l'Académie internationale de la gastronomie (AIG) qui salue chaque année l'excellence et la passion d'un artiste de la cuisine a été décerné à Nicolas Audi. C'est la première fois, depuis sa création en 1990, que ce prix récompense un chef libanais. À l'évidence, les membres de l'AIG en visite il y a deux ans au Liban n'avaient pas oublié le menu d'exception concocté par le lauréat lors du dîner offert par Gilbert Yared en leur honneur. C'est certainement ce soir-là qu'ils avaient consigné le nom du chef qui porte la gastronomie et le geste au sommet de son art.
Kamal Mouzawak n'est pas en reste. Le fondateur de Tawlet et de Souk el-Tayeb, association des marchés fermiers du Liban, défenseur du patrimoine culinaire, s'est vu attribuer le Prix de la littérature gastronomique. Cette distinction octroyée également par l'AIG vient plébisciter son ouvrage Délices des Mille et Une Nuits qui, s'inspirant de la magnificence des banquets décrits par Shéhérazade, propose plus de cinquante recettes.
Le double événement a été célébré à l'hôtel al-Bustan où un dîner préparé par Audi himself a réuni 75 personnes autour de bouchées aussi spéciales que la chevauchée de légumes aux herbes et chèvre, et les tartes d'asperges, les coquelets sur pomme de terre au thym, le gigot de porc caramélisé, le gigot Chandichok avec son riz Bahwan, les galettes safranées aux fruits de mer, le tout suivi d'une variété de fromages et de desserts, et généreusement arrosé de vins Kefraya. Parmi les présents, des membres de l'Académie libanaise de gastronomie, présidée par Fouad el-Khazen, le président d'honneur de l'AIG Georges Husni, représentant le président Jacques Mallard, qui compte tenu de la situation actuelle dans le pays n'a pas fait le déplacement, Raymond et May Audi, Derek et Nadia Plumbly, Antoine et Janine Maamari, Madeleine Hélou, Henri et Marianne Hélou, Robert Debbas, Ali et Anbra Dabbous, Rolla el-Saïd, Salwa Salman, Myrna Boustany, Samir et Laura Lahoud, Nabil et Amira Abillama, Régina Kantara, Arlette Jabre, Antony Ariss, Walid et Leila Mouzannar, sans oublier la famille de Nicolas, Simone son épouse, et leurs enfants Béchara, Nayla et Karim...
PS : Dans son discours, Nicolas Audi a tenu à associer à son succès tous les chefs cuisiniers du Liban.

 

 

Jolie combat

Angelina Jolie, ambassadrice de bonne volonté du Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR), a quitté Beyrouth hier soir, clôturant sa visite au Liban par un déjeuner au restaurant Sydney, hôtel Vendôme, qui a réuni autour d'elle une quinzaine de responsables, notamment Derek Plumbly, coordonnateur spécial des Nations unies au Liban, Fadi Yarak, directeur du ministère de l'Éducation, Makram Molaeb ( Affaires sociales), Ninette Kelly et Roth Mountain (HCR), Anna Maria Laurini, représentante de l'Unicef, et des délégués de Well Food Program.
On croit savoir que la visite de l'actrice américaine avait pour objectif de tourner dans les camps de la Békaa un clip informatif, pour sensibiliser le monde entier à la situation désastreuse des réfugiés syriens et aider l'organisation à récolter des dons. La célébrité au service d'une belle action !

 

Nabil, Aref et Abou el-Abed

Joseph et Nicole Araiji ont marqué la nomination de leur fils Rony au ministère de la Culture d'une véritable pierre de fête. Ils ont réuni à dîner une quarantaine d'amis, dont des nouveaux et anciens ministres portant les couleurs du 8, 14, ou du centre, mais qui ce soir-là ont vécu une débauche de bonne humeur, entraînée par Nabil de Freige et Aref Yafi qui ont rivalisé d'imagination en racontant les meilleurs blagues sur Abou el-Abed. Entre les fous rires et le brouhaha des conversations, le ministre des Affaires sociales Rachid Derbas a dédicacé son livre de poèmes à ses collègues de l'Information et du Travail Ramzi Joreige et Sejaan Azzi, mais aussi à Yassine Jaber, et au juge Nada Abdelsater Abou Samra. Pendant ce temps, Nicolas et Antoinette Nahas, Khalil et Nada Hraoui, Ibrahim et Marie-Rose Najjar, Leila Solh Hamadé, Wafa Saab, Micheline Abi Samara, Chafic et Janine Tabet, Rami et Rasha Hourieh, Maysam Noueiri, les journalistes Paula Yaacoubian et Maged Abou Hadir, Anwar Jammal, et d'autres encore, devisaient sur un nombre de sujets d'intérêt commun du moment. Finalement, c'est la fourchette qui a pris le dessus. Comment, en effet, résister au volet gourmand, et à la force de gravité de savoureuses nourritures terrestres préparée par l'hôtesse, comme la kebbé zghortiote ?

 

Yasmine et Alexandre furieusement tendance

Il n'y a pas que Hani dans la presse française. Un article intitulé « Les danseuses n'ont pas le monopole du ventre », publié dans Le Monde du 20 février, révèle que le divin Alexandre Paulikevitch est à l'affiche de Dansfabrik, à Brest. Torse nu, enroulé dans une jupe rouge à gros ceinturon en argent, le Libanais de 32 ans roule des hanches et esquisse ses pas lascifs... de diva du baladi.
« L'éblouissement Yasmine Hamdan... La chanteuse libanaise illumine le dernier Jarmusch », titre Le Point. Dans son dernier film Only Lovers left alive, le réalisateur de Broken Flowers a concocté une séquence sur mesure pour amplifier la magie émanant de Yasmine Hamdan. « Sa scène devant la caméra résonnera longtemps. Une fille à voir, et à écouter. » Furieusement tendance !

ditavonbliss@hotmail.com

Le feuilleton Trierweiler n'a pas fini de rebondir
Pauvre Hani. Il ne demandait pas tant de publicité. Or depuis que France Dimanche a révélé que l'ex-compagne de François Hollande est « amoureuse » de Hani, l'homme d'affaires américano-libanais prétendument rencontré chez Walid Joumblatt lors de son séjour au Liban en novembre dernier, la nouvelle a été relayée comme...

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