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Culture - Festival de Baalbeck

La Traviata de Verdi : et mourir d’amour…

Mourir d'amour et de musique, en des accents éminemment lyriques, avec la Traviata de Verdi qui clôture en beauté absolue le Festival de Baalbeck, cru 2009. Présenté par les chorégies d'Orange avec une distribution haut de gamme, l'opus de Verdi entre amour qui rachète tout et mordante critique de mœurs intimistes, offre de somptueux et exaltants moments d'art lyrique où chants, musique et habileté scénique font un étincelant mariage d'émotion et de beauté.
Mourir d'amour et de musique, en des accents éminemment lyriques, avec la Traviata de Verdi qui clôture en beauté absolue le Festival de Baalbeck, cru 2009. Présenté par les chorégies d'Orange avec une distribution haut de gamme, l'opus de Verdi entre amour qui rachète tout et mordante critique de mœurs intimistes, offre de...

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