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Liban

Le gouvernement... en bref...

Berry : L'entrave ne se situe pas à mon niveau

Le président de la Chambre, Nabih Berry, a réitéré son appel à une formation rapide du cabinet. S'exprimant dans le cadre des audiences du mercredi, M. Berry a affirmé qu'« il a présenté toutes les facilités pour aider à former le nouveau gouvernement ». « L'entrave ne se situe pas à mon niveau, elle est ailleurs », a-t-il indiqué.
« Depuis le début du processus de formation du cabinet, nous avons veillé à faciliter tout ce qui pourrait mener à une nouvelle équipe ministérielle », a souligné le président de la Chambre avant de poursuivre : « Nous sommes passés de la formule de 30 ministres à celle axée sur 24, et nous avons accepté d'abandonner un portefeuille pour un ministère d'État afin de faciliter le processus. Ainsi, l'entrave n'est pas chez nous, elle est ailleurs, et nous sommes dans une phase d'attente. »
Les audiences du mercredi se sont déroulées en présence des députés Kassem Hachem, Walid Succarié, Émile Rahmé, Ali Ammar, Bilal Farhat, Hani Kobeissi, Abdel Majid Saleh, Stéphan Doueihy, Ali Khreiss, Ali Mokdad, Hassan Fadlallah, Abdellatif Zein, Yassine Jaber et Ali Bazzi.

Bassil : Le gouvernement est un passage obligé vers la loi électorale

Le ministre sortant des Affaires étrangères, Gebran Bassil, a assuré que la formation du gouvernement est un passage obligé vers le vote d'une loi électorale et la tenue des législatives dans les délais (l'été 2017).
« Il est vrai que nous avons tenu une élection présidentielle "produite au Liban", mais cela ne suffit pas. Nous allons la compléter par la formation du gouvernement », a assuré M. Bassil qui s'exprimait lors d'une rencontre avec la diaspora libanaise au Panama, qu'il visite dans le cadre de sa tournée aux Amériques.
Selon lui, « le gouvernement est le passage obligé vers une nouvelle loi électorale, et vers la tenue des législatives dans les délais, ce qui renforcerait la stabilité politique ». « Cet objectif ne pourrait être atteint qu'à travers des législatives tenues conformément à une loi électorale juste », a-t-il encore dit.
M. Bassil a, par ailleurs, exhorté les émigrés établis au Panama à visiter le Liban, à y investir et œuvrer pour le recouvrement de la nationalité.

Derbas : La lenteur gouvernementale retarde le lancement du nouveau mandat

Le ministre sortant des Affaires sociales, Rachid Derbas, a estimé que « le pays ne peut plus supporter le retard dans la mise sur pied d'une nouvelle équipe ministérielle, ni sur le plan politique ni sur le plan économique ».
À l'issue d'une rencontre avec le Premier ministre sortant, Tammam Salam, à Mousseitbé, M. Derbas a souligné que « la lenteur à former le nouveau gouvernement retarde le lancement du nouveau mandat, alors que les Libanais ont beaucoup d'espoirs en ce dernier ». « Elle porte également atteinte au poste de Premier ministre », a-t-il ajouté, estimant qu'« il est intolérable que la formation du gouvernement dure des mois, en raison des tiraillements politiques ».

Berry : L'entrave ne se situe pas à mon niveau
Le président de la Chambre, Nabih Berry, a réitéré son appel à une formation rapide du cabinet. S'exprimant dans le cadre des audiences du mercredi, M. Berry a affirmé qu'« il a présenté toutes les facilités pour aider à former le nouveau gouvernement ». « L'entrave ne se situe pas à mon niveau, elle est ailleurs », a-t-il...

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