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Lifestyle - Hot(on)line

Maya Diab, futile Célimène pyromane...

Elle prétend être une « chatte aux sept esprits ». Elle minaude, se dandine, fait sa moue « bardotienne » avec des lèvres (botoxées) vermillonnées, cligne des yeux telle une poupée de porcelaine, bat des (faux) cils larges comme des hydravions, joue du popotin dans une robe poisson ultramoulante avec escarpins lustrés sur des talons aiguilles à faire du tricot et de la guipure... C'est Maya Diab dans son dernier clip Sabaa Terwah, sur petits écrans et YouTube.
Pour une ritournelle insipide à la voix douteuse et au verbe rabougri. Cela s'appelle donc chanter ? Elle vampe le public en jouant une Célimène moderne, insatiable coquette qui collectionne les amants en les mettant au placard, sous l'évier, dans l'armoire, sous les tables, derrière rideaux et paravents. C'est le rôle caricatural imparti à ceux qui briguent un peu de son cœur...
Et la brochette est bien garnie, du « hipster » barbu à l'intellectuel gentillet en passant par le vieux barbon au torse encore velu mais de blanc, le gaulé à la dure, le « body-buildé » à la coupe en brosse, le malandrin à prétention de salonnard et le voyou en costard... Tout ce petit monde bien tassé sous son toit, la star qui ne se prend pas pour un courant d'air, se maquille devant son miroir, se décoiffe de sa perruque brune pour révéler sa blondeur suédoise peroxydée. Et d'un nonchalant et ravageur coup de briquet met le feu à la maisonnée. En prenant bien soin d'en sortir avant une explosion spectaculaire.
Que les autres grillent et aillent donc en enfer. Pour cette incorrigible allumeuse, les mecs c'est tout juste bon à flamber en bûcher. Comme les sorcières autrefois ! Propos et images bling-bling, kitsch et sexistes pour une caméra qui vole au ras des pâquerettes.
Curieuse (a)moralité féminine, atteinte de misogynie au masculin, pour une anecdote et une paraphrase de flagrant mauvais goût ! Une insulte au respect de la parité de l'autre. Si cela s'appelle faire de l'art, alors l'art dans les pays arabes, tout comme la politique d'ailleurs, et on le sait depuis belle lurette, déjà en décadence, est bien mort...

Elle prétend être une « chatte aux sept esprits ». Elle minaude, se dandine, fait sa moue « bardotienne » avec des lèvres (botoxées) vermillonnées, cligne des yeux telle une poupée de porcelaine, bat des (faux) cils larges comme des hydravions, joue du popotin dans une robe poisson ultramoulante avec escarpins lustrés sur des talons aiguilles à faire du tricot et de la guipure......

commentaires (2)

LA DECADENCE NE SE LIMITE PAS A LA POLITIQUE ET AU SUIVISME MAIS AUSSI... ET HELAS... AUX BOITES QUI SE VIDENT...

LA LIBRE EXPRESSION

09 h 52, le 24 août 2016

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Commentaires (2)

  • LA DECADENCE NE SE LIMITE PAS A LA POLITIQUE ET AU SUIVISME MAIS AUSSI... ET HELAS... AUX BOITES QUI SE VIDENT...

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 52, le 24 août 2016

  • Oh!comme c vrai

    Marie-Jo Abou Jaoude

    09 h 05, le 24 août 2016

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