SKeyes dénonce les contraintes contre les journalistes à Bourj-Hammoud
OLJ / le 11 novembre 2011 à 02h00
Le centre SKeyes a dénoncé hier « l’augmentation des contraintes de travail que subissent les journalistes dans diverses régions libanaises, ce qui les empêche de remplir leur mission professionnelle ». « Ces mesures ont englobé, depuis quelques jours, la région de Bourj-Hammoud, alors qu’elles étaient d’abord confinées à la zone de Wadi Khaled, ainsi qu’évidemment dans les zones connues sous le nom des “périmètres de sécurité” dans certaines régions, où l’interdiction est définitive », note SKeyes dans un communiqué. « Le journaliste Omar Harkouss a indiqué dans un entretien à SKeyes que l’accès à la région de Wadi Khaled et le filmage dans cette zone ne sont permis que sur autorisation émanant de la direction de l’orientation de l’armée. » « Les contraintes imposées aux journalistes ont augmenté de façon significative, notamment après l’augmentation du nombre de réfugiés syriens dans la région, comme si l’objectif était que les médias n’exposent pas l’énorme souffrance de ces réfugiés », a poursuivi M. Harkouss, cité par SKeyes. « D’autre part, note SKeyes, un certain nombre de journalistes se sont plaints de contraintes qui leur ont été imposées dans la région de Bourj-Hammoud. Tous ceux qui portent une caméra sont susceptibles d’être poursuivis par des membres de la police municipale pour les empêcher de filmer sous prétexte qu’ils doivent obtenir un permis et une autorisation préalable de la municipalité de Bour-Hammoud. »
Le centre SKeyes a dénoncé hier « l’augmentation des contraintes de travail que subissent les journalistes dans diverses régions libanaises, ce qui les empêche de remplir leur mission professionnelle ». « Ces mesures ont englobé, depuis quelques jours, la région de Bourj-Hammoud, alors qu’elles étaient d’abord confinées à la zone de Wadi Khaled, ainsi qu’évidemment dans...
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A Bourj Hammoud, ce sont les années cinquante et soixante. On peut trébucher sur John Wayne, Garry Cooper, Mickey Rooney et tous les héros des Western de ces temps-là. Non, c'est bien, on avance quand même dans le temps, mais en sens inverse...
Anastase Tsiris
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Anastase Tsiris
Anastase Tsiris
04 h 54, le 12 novembre 2011
Sur un plateau de tournage d'un film on dit : Silence, on tourne. À Borj Hammoud on dit : Silence, on tue.
Saleh Issal
04 h 22, le 11 novembre 2011
- - Bravo la municipalité de Bourj Hammoud , qui ne se laissera pas intimider par des on dit , qui émanent d'adversaires politiques qui ne supportent plus d'être éloigné du pouvoir comme des malfrats ! SK ou pas SK , eyes ou sans eyes , NO PASARAN .
commentaires (3)
A Bourj Hammoud, ce sont les années cinquante et soixante. On peut trébucher sur John Wayne, Garry Cooper, Mickey Rooney et tous les héros des Western de ces temps-là. Non, c'est bien, on avance quand même dans le temps, mais en sens inverse... Anastase Tsiris
Anastase Tsiris
04 h 54, le 12 novembre 2011