Rechercher
Rechercher

Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

MIM au Soleils...

Pour remercier les épouses des diplomates au Liban de lui avoir attribué leur prix – la Spouse Diplomatic Association of Lebanon, qui va permettre de soigner cinq de leurs petits protégés –, l’association Petits Soleils a organisé un déjeuner dans la galerie du MIM, le Musée des minéraux, qui a exceptionnellement ouvert ses portes pour l’occasion. Attention, n’allez pas déjà faire la queue car ce lieu beyrouthin bientôt extrahype n’est pas encore fonctionnel, mais, accueillis par le président d’honneur et la présidente de l’association, Sélim Eddé et Noha Baz, quelques privilégiés ont pu le découvrir en avant-première. À commencer par un aréopage de diplomates : Ruth Flint ; Ravi et Sharmila Thapar ; Hilary Child Adams ; Patrice Paoli ; Claudia et Jorge Alvarez ; Inan Ozyildiz ; Tomasz Niegodwzisz, tout droit sorti de chez le patriarche Raï dont il prépare la visite en Pologne ; Danielle Kebbon, ainsi que les ambassadeurs du Chili et des Pays-Bas. La visite a été guidée par l’architecte des lieux et l’équipe du musée, Fadlallah Dagher, Suzy Hakimian et Carole Atallah, qu’écoutaient religieusement, entre autres, India Abdini, Régina Kantara, Nada Chaoul, Nabil Nahas, Jawad et Randa Boulos, Aurélien Lechevallier, Fouad et Noha Hatem, Roula Douglas, Lara et Tony Aboujaoudeh, Peggy Dabar, etc.

Neemat danse !

Pas de break pour le ministre (sortant) de l’Information. En mission ce soir-là à Sydney, Walid Daouk a raté le dîner donné à l’Eau de Vie du Phoenicia pour les 80 printemps de sa maman. Neemat Anis Daouk a quand même savouré sa joie entourée de Fadi, Amer, Dima, Roula, ses huit petites-filles et son petit-fils Malek ; de ses sœurs, Samia Jamjigell, venue d’Istanbul, et Nadia Sabra de Rome ; de la grande famille composée des Salam, des Kassar, des Kadri et à laquelle se sont joint(e)s les amis(es) : Didi Takla, Micheline Boulos, Mitsou et Laura Tabet, Mohammad Youssef Beydoun et Najla, Renée Korban, Farida Ghandour, Haïfa et Shérine Arab, Hana Alami, Nina Idriss, Jano Massabki, Renée Debbané, Élie et Monette Chaaya, Rafic et Wadad Hobeiter, Mohammad et Bassima Doueidi, Fadi et Nada Fawaz, Mohammad et Suzy Daher, Férial Takieddine... 260 invités qui ont pris leur apéritif devant le panneau mural dessiné par un artiste italien qui a représenté dans ses moindres détails la maison d’enfance de Neemat ; qui ont ensuite partagé un copieux dîner ponctué par le délicieux trou normand au parfum d’amandes et d’abricot made by Anis Daouk ; et qui ont chanté en chœur un tonitruant happy birthday en portant moult toasts ! Puis, aux accents d’une musique très 60’s et de vieux tubes, et dans une ambiance géniale, les seniors ont retrouvé avec la même énergie et la même gaieté leurs jambes de jadis pour faire tournoyer les dames et chauffer la piste de danse. Dans tous les cas, ils étaient sacrément plus hardis que la jeunesse présente. À la fin de la soirée, Neemat a sorti de sa hotte des chocolats pour les messieurs, et pour toutes les mamans, ces êtres d’exception, des stylos à bille roses perlés de cristaux Swarovski. Rendez-vous pour les 100 ans. Inchallah !

Nour is in the house

Elle adore dessiner et a décidé d’essayer de mettre son talent au service de la création. Nour Élie Najem, qui se préparait à faire carrière en médecine, laisse ainsi tomber un BS en biologie à l’AUB et file se réfugier à Esmod-Beyrouth dans des orgies de couleurs, de tissus et de matières. Elle sort de sa promotion avec le premier prix de stylisme, effectue des stages chez nos grands Rabih Keyrouz et Elie Saab, puis embauche ses couturières entre Achrafieh et Nabaa parmi les femmes dans le besoin. Aujourd’hui résolue à conquérir les podiums, Nour a lancé sa première collection de vêtements de luxe féminins le 27 mars à Bokja, à Saifi Village, en présence de plus de 150 personnes, notamment le duo de stylistes très recherchés Georges Azzi et Assaad Osta, Maher Bsaibès, Hussein Bazaza, Tamara Arab, Randa Makhlouf, Gabriel et Alexandra Wardé, Rola et Rowan Najem, Shafa Ghaddar, Sara Daniel, Michael Skaff, Nathalie Habr, Nour Sassine, Vasso et Diala Salam, Maria Badran, Suzy Lebbos, Carole Babikian Cocony, Vivianne Abourrouss, Maroun et Noha Massoud, Sylvia Daccak, sans oublier toute l’équipe pédagogique et administrative d’Esmod... Qui ont vivement applaudi la nouvelle recrue du monde de la mode.

Walaw Yass !

Durant quatre soirées au théâtre Monnot, Yass et sa dream team, les Doff du rire, ont fait salle comble. Et tout le monde était heureux, les spectateurs autant que les organisateurs, «Un cœur pour Philippe, et leurs grands sponsors, Nissan et le Ramada Hotel. Chacun y a trouvé son compte : mille billets vendus sont allés alimenter la caisse de l’association, et le public a pu se désaltérer dans un puits d’humour... où il faisait bon de se jeter. Parce que Yass avec son féroce appétit de s’amuser épinglait tout ce qui bougeait, et il y en a eu des victimes, ne serait-ce que le père Bruno Sion, recteur du Collège Notre-Dame de Jamhour, ou Fadi Yarak, le directeur général du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, sans oublier deux dames qui tentaient de s’éclipser en plein spectacle et qui n’ont pas été épargnées non plus... Quant au beau Donnell Jacksman, il a fait se pâmer Marie-Michèle Nasrallah dont c’était l’anniversaire en lui offrant un bouquet de fleurs à la fin du spectacle et en entonnant un joyeux anniversaire repris par toute la salle au moment où les lumières s’éteignaient... Ce n’était pas une mise en scène, mais une réelle panne d’électricité qui a donné matière à un sacré sketch inédit : le Liban restera une constante source d’inspiration... Au terme des quatre spectacles, Yass a invité bénévoles et organisateurs à dîner, et pour eux, l’humoriste n’était plus simplement Yass, mais Walaw Yass, en référence à l’un de ses sketches les plus drôles.

Baby massages

Qui a dit qu’Alice Eddé se la coule douce, les doigts de pied en éventail, attendant l’été pour se cramer au soleil ? Elle ne chôme pas ! D’abord, elle expose chez Feuillantine, rue Monot, ses sacs Bradley Byblos, dessinés par Yasmine Farah et conçus par des artisans locaux ! Ensuite, elle prépare l’arrivée de Julia Edgely, l’homéopathe irlandaise qui va prendre soin des mamans et de leurs bébés. Oui, des bébés ! Il semble que le massage des bambins, développé pendant des milliers d’années, a gagné en popularité ces dernières décennies, et le monde occidental ne tarit pas déloges sur ses bienfaits : il aide à la croissance du nourrisson, lui permet de mieux dormir, de réduire les périodes de pleurs, de soulager les coliques, etc. Une thérapie à portée de main ! À découvrir sur rendez-vous entre le 5 et le 11 avril à Eddé Sands. Attention, la liste d‘attente est déjà longue !

ditavonbliss@hotmail.com
MIM au Soleils...Pour remercier les épouses des diplomates au Liban de lui avoir attribué leur prix – la Spouse Diplomatic Association of Lebanon, qui va permettre de soigner cinq de leurs petits protégés –, l’association Petits Soleils a organisé un déjeuner dans la galerie du MIM, le Musée des minéraux, qui a exceptionnellement ouvert ses portes pour l’occasion....

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut