Back to Black
Depuis le cocktail dinatoire offert par Nael Farid Chéhab et Alissar Abdel Halim Caracalla pour leur mariage, les robes noires, de la plus banale à l’hyperglam, ainsi que les Louboutin et autres Jimmy Choo, noires, sont en rupture de stock à Beyrouth. Le dresscode total black a été religieusement respecté par tous les invités, même par les hommes, qui étaient en cravates et chemises noires. Même les murs du The Venue ont été badigeonnés en black. Petite concession : la palette de petits plaisirs raffinés de Nicolas Audi et les photos du couple (format poster) ornant les parois de la salle de fête, en black & white. La mariée seule était en blanc (Zuhair Murad). Nael et elle ont fait leur entrée à bicyclette sur une piste de danse surélevée et illuminée de mille feux, sous les applaudissements de quelque 400 convives, dont Jean et Nayla de Freige, Wajdi et Dominique Diab, Béchara et Lamita Asmar, Peter Mouraccadé et Tatiana Fayad, Gaby et Nada Copti, Imad et Hiba Alameddine, Jean-Lou et Denise Eddé, Georges et Colette Masabni, Ramzi Halabi, Valérie Lahoud, Joe Assouad, Naji Asfar, Siham Tuéni (carrément sublime dans son overall pailleté), et Rana Andraos, la témoin du marié, affichant un dos nu ravageur, qui était la plus belle ce soir-là...
Et puis, Liliana est arrivée...
« Avec Raoul, ça ne finissait pas. Un jour il en voulait, un jour il n’en voulait pas. Elles venaient et partaient et ça ne marchait pas. On restait tous plantés là ! Un jour où on n’y croyait plus, Liliana lui est tombée dessus ». Sur l’air de Avec les filles il ne sait pas, Mariam Moukheiber, Joseph Freiha, Youmna Gemayel, Marc Sallon, Anne Marie Chalouhi, Soraya Samaha, Samia Bakhos, Sandra Abillama, Tilda Chahine, Hala Nassif, Paul Kessner, Andreas Kinan et une vingtaine d’autres cousins-cousines et ami(e)s ont entonné la chanson avec un enthousiasme féroce. C’était à l’issue de la cérémonie religieuse à l’église Saint-Antoine-de-Padoue, à Sin el-Fil, où Raoul Jules Iskandar et Liliana Nagi Adem ont prononcé leur « I do » entourés de leurs témoins (son frère Amine pour lui, sa mégacopine Patricia Pierre Gemayel pour elle), de leurs familles et amis venus de Washington, de Dubaï, de Londres, de Paris, Istanbul, Kuwait et Buenos Aires (la mariée est moitié argentine). Puis tout ce joli monde a festoyé autour d’un déjeuner au restaurant Le Maillon où la musique techno, se disputant au tango argentin, a transformé la dance floor en une véritable tornade. Sûr que ce midi-là, l’ambiance était superjoyeuse ! Le couple s’est envolé le soir même pour son voyage de noces en Argentine.
Simone & Co.
Il n’y a pas que Frank O. Gehry qui signe des bijoux. L’architecte zenissime (et überhype) Simone Kosremelli surfe aussi sur le dessin des bagues, colliers et autres bracelets. La collection hyperstylée, entre hier, aujourd’hui et demain, est exposée à la galerie Dehab, située dans un cul-de-sac près de la rue Pasteur. Derrière l’idée de ce nouvel espace, qui donnera à voir tout au long de l’année les créations des designers, un trio de dames : Simone, évidemment, portant la casquette de directrice artistique, Sallama Bou Haydar el-Sayegh (relations publiques), et Youmna Creidi (manager générale). Un autre trio, mais cette fois de guitaristes, a animé la soirée du vernissage où s’étaient pressés un grand nombre d’amis, parmi lesquels Nayla Moawad, Rabih Keyrouz, Nadine Labaki, Vassiliki Salam, Janine Maamari, Ziad et Christiane Akl, Salwa et Sami Salman, Kamal Mozawak, Roland Hraoui, l’ancien ambassadeur américain Vincent Battle, Maurizio Ragnini, Emmanuel Guiragossian, Lama Tyan, Khalil et Nayla Arab, Andrée Haddad, Lola et Angus Gavin, et l’ex-professeur à Parsons School of Design, Caroline Simonelli...
Le Maillon fort
Les amis de Georges et Nohad Ayoub – Jean Christophe et Coralie Aguettant, Jérôme et Sophie Leplâtre – ont découvert la Lebanese vision of life lors d’un dîner au Maillon, regroupant une soixantaine d’invités parmi lesquelles Salah et Astrid Honein, Armand et Liliane Tyan, Adonis et Aline Nehme , Sleiman et Leila Haroun, Georges et Lola Beyrouthi , Simon et Carole Tawileh, et Joe Kanaan, etc. Les papilles, toutes les papilles, étaient aux anges, entre saveurs de rêve et sypnases titillées au champagne. Quant aux tympans, ils étaient tout aussi servis : chansons d’Oum Koulsoum et d’Asmahan, des airs d’opéra, les grands tubes de Piaf, et puis ce pop et ce rock qui ont fait s’envoler sur la piste Hala Chahine, Liliane Daher, Jinane et Toufik Sioufi, Nadim et Liliane Tabet, et beaucoup d’autres qui ont dansé jusque tard dans la nuit. Ils n’ont repris leur souffle qu’avec le Happy Birthday qui a retenti dans la salle pour célébrer un double anniversaire, celui du propriétaire des lieux, le Dr Joseph Azouri, et de l’hôte himself, Georges Ayoub, dont le gendre Jihad Moubarak a crooné un My Way à faire rougir Sinatra ! Carole était toute fière de son époux.
Tournée générale
Ambiance endiablée pour Nayla Takieddine et Malek Fawaz qui fêtaient leur anniversaire (ils sont nés le même jour) au Mandaloun Lounge, en présence de leurs conjoint(e)s, Fouad et Lina, ainsi qu’un groupe d’amis notamment Dana Saab, Fouad et Maya Daouk, Mazen et Roula Abedel Baki, Karim et Diana Alameddine, etc. Tellement rock’n’hot qu’un des invités succombant à la fièvre de la salsa et aux nombreuses vodkas ingurgitées a fait voler le contenu de son verre au-dessus d’une table voisine, soulevant les cris de terreur d’une dame un peu arrosée... Heureusement, la scène ne s’est pas transformée en ring de catch. Pour faire oublier sa « performance », implorant le pardon à genoux, le bad boy a commandé une tournée générale... Maladroit, oui, mais généreux !
ditavonbliss@hotmail.com
Depuis le cocktail dinatoire offert par Nael Farid Chéhab et Alissar Abdel Halim Caracalla pour leur mariage, les robes noires, de la plus banale à l’hyperglam, ainsi que les Louboutin et autres Jimmy Choo, noires, sont en rupture de stock à Beyrouth. Le dresscode total black a été religieusement respecté par tous les invités, même par les hommes, qui étaient en cravates et chemises noires. Même les murs du The Venue ont été badigeonnés en black. Petite concession : la palette de petits plaisirs raffinés de Nicolas Audi et les photos du couple (format poster) ornant les parois de la salle de fête, en black & white. La mariée seule était en blanc (Zuhair Murad). Nael et elle ont fait leur entrée à bicyclette sur une piste de danse surélevée et illuminée de mille feux, sous les applaudissements de quelque 400 convives, dont Jean et Nayla de Freige, Wajdi et Dominique Diab, Béchara et Lamita Asmar, Peter Mouraccadé et Tatiana Fayad, Gaby et Nada Copti, Imad et Hiba Alameddine, Jean-Lou et Denise Eddé, Georges et Colette Masabni, Ramzi Halabi, Valérie Lahoud, Joe Assouad, Naji Asfar, Siham Tuéni (carrément sublime dans son overall pailleté), et Rana Andraos, la témoin du marié, affichant un dos nu ravageur, qui était la plus belle ce soir-là...
Et puis, Liliana est arrivée...
« Avec Raoul, ça ne finissait pas. Un jour il en voulait, un jour il n’en voulait pas. Elles venaient et partaient et ça ne marchait pas. On restait tous plantés là ! Un jour où on n’y croyait plus, Liliana lui est tombée dessus ». Sur l’air de Avec les filles il ne sait pas, Mariam Moukheiber, Joseph Freiha, Youmna Gemayel, Marc Sallon, Anne Marie Chalouhi, Soraya Samaha, Samia Bakhos, Sandra Abillama, Tilda Chahine, Hala Nassif, Paul Kessner, Andreas Kinan et une vingtaine d’autres cousins-cousines et ami(e)s ont entonné la chanson avec un enthousiasme féroce. C’était à l’issue de la cérémonie religieuse à l’église Saint-Antoine-de-Padoue, à Sin el-Fil, où Raoul Jules Iskandar et Liliana Nagi Adem ont prononcé leur « I do » entourés de leurs témoins (son frère Amine pour lui, sa mégacopine Patricia Pierre Gemayel pour elle), de leurs familles et amis venus de Washington, de Dubaï, de Londres, de Paris, Istanbul, Kuwait et Buenos Aires (la mariée est moitié argentine). Puis tout ce joli monde a festoyé autour d’un déjeuner au restaurant Le Maillon où la musique techno, se disputant au tango argentin, a transformé la dance floor en une véritable tornade. Sûr que ce midi-là, l’ambiance était superjoyeuse ! Le couple s’est envolé le soir même pour son voyage de noces en Argentine.
Simone & Co.
Il n’y a pas que Frank O. Gehry qui signe des bijoux. L’architecte zenissime (et überhype) Simone Kosremelli surfe aussi sur le dessin des bagues, colliers et autres bracelets. La collection hyperstylée, entre hier, aujourd’hui et demain, est exposée à la galerie Dehab, située dans un cul-de-sac près de la rue Pasteur. Derrière l’idée de ce nouvel espace, qui donnera à voir tout au long de l’année les créations des designers, un trio de dames : Simone, évidemment, portant la casquette de directrice artistique, Sallama Bou Haydar el-Sayegh (relations publiques), et Youmna Creidi (manager générale). Un autre trio, mais cette fois de guitaristes, a animé la soirée du vernissage où s’étaient pressés un grand nombre d’amis, parmi lesquels Nayla Moawad, Rabih Keyrouz, Nadine Labaki, Vassiliki Salam, Janine Maamari, Ziad et Christiane Akl, Salwa et Sami Salman, Kamal Mozawak, Roland Hraoui, l’ancien ambassadeur américain Vincent Battle, Maurizio Ragnini, Emmanuel Guiragossian, Lama Tyan, Khalil et Nayla Arab, Andrée Haddad, Lola et Angus Gavin, et l’ex-professeur à Parsons School of Design, Caroline Simonelli...
Le Maillon fort
Les amis de Georges et Nohad Ayoub – Jean Christophe et Coralie Aguettant, Jérôme et Sophie Leplâtre – ont découvert la Lebanese vision of life lors d’un dîner au Maillon, regroupant une soixantaine d’invités parmi lesquelles Salah et Astrid Honein, Armand et Liliane Tyan, Adonis et Aline Nehme , Sleiman et Leila Haroun, Georges et Lola Beyrouthi , Simon et Carole Tawileh, et Joe Kanaan, etc. Les papilles, toutes les papilles, étaient aux anges, entre saveurs de rêve et sypnases titillées au champagne. Quant aux tympans, ils étaient tout aussi servis : chansons d’Oum Koulsoum et d’Asmahan, des airs d’opéra, les grands tubes de Piaf, et puis ce pop et ce rock qui ont fait s’envoler sur la piste Hala Chahine, Liliane Daher, Jinane et Toufik Sioufi, Nadim et Liliane Tabet, et beaucoup d’autres qui ont dansé jusque tard dans la nuit. Ils n’ont repris leur souffle qu’avec le Happy Birthday qui a retenti dans la salle pour célébrer un double anniversaire, celui du propriétaire des lieux, le Dr Joseph Azouri, et de l’hôte himself, Georges Ayoub, dont le gendre Jihad Moubarak a crooné un My Way à faire rougir Sinatra ! Carole était toute fière de son époux.
Tournée générale
Ambiance endiablée pour Nayla Takieddine et Malek Fawaz qui fêtaient leur anniversaire (ils sont nés le même jour) au Mandaloun Lounge, en présence de leurs conjoint(e)s, Fouad et Lina, ainsi qu’un groupe d’amis notamment Dana Saab, Fouad et Maya Daouk, Mazen et Roula Abedel Baki, Karim et Diana Alameddine, etc. Tellement rock’n’hot qu’un des invités succombant à la fièvre de la salsa et aux nombreuses vodkas ingurgitées a fait voler le contenu de son verre au-dessus d’une table voisine, soulevant les cris de terreur d’une dame un peu arrosée... Heureusement, la scène ne s’est pas transformée en ring de catch. Pour faire oublier sa « performance », implorant le pardon à genoux, le bad boy a commandé une tournée générale... Maladroit, oui, mais généreux !
ditavonbliss@hotmail.com
Back to BlackDepuis le cocktail dinatoire offert par Nael Farid Chéhab et Alissar Abdel Halim Caracalla pour leur mariage, les robes noires, de la plus banale à l’hyperglam, ainsi que les Louboutin et autres Jimmy Choo, noires, sont en rupture de stock à Beyrouth. Le dresscode total black a été religieusement respecté par tous les invités, même par les hommes, qui étaient en cravates...
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