Garnier et Sinclar pour Dea et Fathi
Fathi, le fils de Georges et Myriam Antaki, et Dea Bitar se sont dit « oui » à l’église Saint-Thomas d’Aquin à Saint-Germain, dans ce cœur parisien que Juliette Gréco continue de faire battre d’amour... La cérémonie religieuse a été suivie d’un dîner qui a réuni, sous les ors du somptueux grand foyer de l’Opéra Garnier, une assemblée de 400 invités venus de Syrie, du Liban, d’Arabie saoudite et d’Europe, dont leurs Altesses Sérénissimes les princes Sixte-Henri de Bourbon-Parme (chef de file de la Communion carliste traditionaliste et prétendant au trône d’Espagne) et Michel de Grèce, ainsi que les princesses Ira Von Fürstenberg et Alexandra de Chimay. Aux sons des vibratos des violonistes postés de part et d’autre de l’éblouissant escalier, les oncles du marié, Zafer, Nagi et Nabil Chaoui, la sœur, Chirine Antaki, superbe dans sa robe rouge au bras de son fiancé Serge Ibrahim Najjar, partageaient le bonheur de cette fête avec les Karaoglan au grand complet (Maurice, Thérèse, Serge, Édith et Cyril), Viviane Debbas, Farid et Elham Raphael, leur fils Walid accompagné de sa fiancée Yasmina Khoury, Andrée Audi, Serge Brounst, Nagi Asfar, Ricardo et Youmna Karam, Laure Doumit, Mona Jabre, Nayla Kuning, Nabil et Nayla Kettaneh, Lady Yvonne Cochrane, Wafic el-Saïd (et Rose-Mary), Razek et Maya Maamarbachi, l’ancien ambassadeur de France en Syrie Jean-Claude Cousseran, Taymour et Fayza Ali Reda, Joe Achkar, Michel Charrière et Julien Wiess, sans oublier Paul et Jacqueline Jeanbart, the Islamic art dealer David Sulzberger et l’épouse de l’homme d’affaires chypriote-turc Asil Nadir, aujourd’hui PDG du Groupe Kibris Media. Le spectacle n’était pas seulement dans la profusion des sculptures, des dorures, des peintures, des lustres, du jeu des miroirs et des ténors qui chantaient les grands airs d’opéra, il était aussi dans l’assiette de la Maison Lenôtre arrosée de grands crus de Ksara (Khalil Sara s’est délecté)... Puis dans l’électroparty endiablée menée par rien moins que le gargantuesque DJ et remixeur Bob Sinclar, qui a fait péter la soirée en invitant every body to dance dans la Rotonde dite des Abonnés.
Pour célébrer le début d’une vie commune, il fallait bien un rayon de soleil dans les événements tragiques de Syrie.
5:55 ? Non. 6:05 ! ! !
Jeudi dernier, le tout-Beyrouth branché était au rendez-vous pour le lancement du « 6:05 at dépèchemode » qui, à l’instar de la boutique Colette, rue Saint-Honoré à Paris, se veut le concept store emblématique du centre-ville. Accueillis par les propriétaires, Hania et Wissam Yafawi, Marie-Michelle Garzouzi, Hala Mouzannar, Rana Salam, Nada Debs, Karine Abboud, Amine Jreissati, Lina Cortas, Tania Salem, Maria Ziadeh, Mira Tabet, Mona Sakr, Sarah Beydoun, Medea Azouri, Carla Henoud – on se serait cru à une fashion night
out ! – exploraient les nouveaux lieux conçus comme un espace industriel et découvraient la sélection de marques et produits qui vont combler les envies des grandes fashionistas. Et des fashionistos aussi – au diable le sexisme ! Aperçus également dans la foule très hype qui a défilé jusqu’à 22 heures, Hana Khalaf, Paul Gebeily, Rhea Riachi, Maria Vincenti, Jemmy Saab, Lorraine Oueiss, Karine Saghbini, Gida Khalaf, Fadi Chabo, Roy Haddad, Rami Debbas, Lama Nasrallah, Lynn Anhoury, Marc Audi, Karine Lteif, Rana Jaroudi, Lina Sidani, Diala Rayess, Assaad Raphael et Dory Hitti dégustant les surprenants mini-éclairs au chèvre, les frites sucrées et le cocktail d’arak aux mûres, préparés par Nicolas Catan, et admirant la parade des mannequins masqués par une tête de coucou en peluche qui se déhanchaient sur la musique de Caline Chidiac et de Djette. Tous les soirs à 6:05, comme l’enseigne le promet, un événement se déroulera au sein de ce lieu insolite. Une happy hour nouveau genre ? Yesss !
Sous la dent de Zouzou
Il y a des coutumes auxquelles on ne peut ni ne veut échapper, et la tradition exige que l’on tire les rois à l’Épiphanie. Et les reines. Aussi, à la soirée organisée par Isabelle Doumet Skaff, Patrick et Noha Baz, Nabil et Michèle Nahas, Andrée Asseily, Sophie Skaff, Rodrigue et Mary Cochrane, Tony et Carole Kareh, Charles et Marie-Thérèse Najjar et d’autres ont fiévreusement cherché la fève dans leur morceau de galette frangipanée religieusement par Nicolas Audi. Vainement. Elle était coincée entre les dents de Zouzou Sehnaoui qui, déchaîné comme d’habitude (source de blagues ininterrompues mais toujours bienvenues), a été intronisé roi et a arboré le reste de la soirée sa couronne de fantaisie. Même Leo, le chien mascotte de la maison, a salué le nouvel élu par des jappements joyeux.
La saga Hanifé (et la turquerie de Lama)...
Les murs du Kitchen et le chef des lieux Hussein Hadid ont frémi sous le tonitruant Happy birthday entonné par la famille et les amis de Hanifé Salam qui célébrait son anniversaire dans un décor de ballons blancs et de clichés relatant les différentes étapes de sa vie : bébé, avec papa et maman, avec ses frères Amine et Omar Daouk, à l’école, à cheval, à Venise, Hanifé en mariée, puis avec ses enfants et ses petits-enfants, en bref, Hanifé sous toutes les coutures mise en scène par ses filles Rolla Salam et Tima Kassir, et décortiquée à la loupe par Oussama et Michèle Bibi, Yldiz Diab, Raya et Kay Daouk, Rima Dandachi, Othman et Ghina Arakji, Rafic et Magida Zantout, Nawal Fawaz, Ali et Anbra Dabbous, Tamam Salam et Lama, qui expliquait son retard par un épisode d’une série turque qu’elle suit passionnément à la télé et qu’elle ne pouvait en aucun cas rater... Il faut ressusciter les enregistrements vidéo – ou s’abonner à YouTube !
ditavonbliss@hotmail.com
Fathi, le fils de Georges et Myriam Antaki, et Dea Bitar se sont dit « oui » à l’église Saint-Thomas d’Aquin à Saint-Germain, dans ce cœur parisien que Juliette Gréco continue de faire battre d’amour... La cérémonie religieuse a été suivie d’un dîner qui a réuni, sous les ors du somptueux grand foyer de l’Opéra Garnier, une assemblée de 400 invités venus de Syrie, du Liban, d’Arabie saoudite et d’Europe, dont leurs Altesses Sérénissimes les princes Sixte-Henri de Bourbon-Parme (chef de file de la Communion carliste traditionaliste et prétendant au trône d’Espagne) et Michel de Grèce, ainsi que les princesses Ira Von Fürstenberg et Alexandra de Chimay. Aux sons des vibratos des violonistes postés de part et d’autre de l’éblouissant escalier, les oncles du marié, Zafer, Nagi et Nabil Chaoui, la sœur, Chirine Antaki, superbe dans sa robe rouge au bras de son fiancé Serge Ibrahim Najjar, partageaient le bonheur de cette fête avec les Karaoglan au grand complet (Maurice, Thérèse, Serge, Édith et Cyril), Viviane Debbas, Farid et Elham Raphael, leur fils Walid accompagné de sa fiancée Yasmina Khoury, Andrée Audi, Serge Brounst, Nagi Asfar, Ricardo et Youmna Karam, Laure Doumit, Mona Jabre, Nayla Kuning, Nabil et Nayla Kettaneh, Lady Yvonne Cochrane, Wafic el-Saïd (et Rose-Mary), Razek et Maya Maamarbachi, l’ancien ambassadeur de France en Syrie Jean-Claude Cousseran, Taymour et Fayza Ali Reda, Joe Achkar, Michel Charrière et Julien Wiess, sans oublier Paul et Jacqueline Jeanbart, the Islamic art dealer David Sulzberger et l’épouse de l’homme d’affaires chypriote-turc Asil Nadir, aujourd’hui PDG du Groupe Kibris Media. Le spectacle n’était pas seulement dans la profusion des sculptures, des dorures, des peintures, des lustres, du jeu des miroirs et des ténors qui chantaient les grands airs d’opéra, il était aussi dans l’assiette de la Maison Lenôtre arrosée de grands crus de Ksara (Khalil Sara s’est délecté)... Puis dans l’électroparty endiablée menée par rien moins que le gargantuesque DJ et remixeur Bob Sinclar, qui a fait péter la soirée en invitant every body to dance dans la Rotonde dite des Abonnés.
Pour célébrer le début d’une vie commune, il fallait bien un rayon de soleil dans les événements tragiques de Syrie.
5:55 ? Non. 6:05 ! ! !
Jeudi dernier, le tout-Beyrouth branché était au rendez-vous pour le lancement du « 6:05 at dépèchemode » qui, à l’instar de la boutique Colette, rue Saint-Honoré à Paris, se veut le concept store emblématique du centre-ville. Accueillis par les propriétaires, Hania et Wissam Yafawi, Marie-Michelle Garzouzi, Hala Mouzannar, Rana Salam, Nada Debs, Karine Abboud, Amine Jreissati, Lina Cortas, Tania Salem, Maria Ziadeh, Mira Tabet, Mona Sakr, Sarah Beydoun, Medea Azouri, Carla Henoud – on se serait cru à une fashion night
out ! – exploraient les nouveaux lieux conçus comme un espace industriel et découvraient la sélection de marques et produits qui vont combler les envies des grandes fashionistas. Et des fashionistos aussi – au diable le sexisme ! Aperçus également dans la foule très hype qui a défilé jusqu’à 22 heures, Hana Khalaf, Paul Gebeily, Rhea Riachi, Maria Vincenti, Jemmy Saab, Lorraine Oueiss, Karine Saghbini, Gida Khalaf, Fadi Chabo, Roy Haddad, Rami Debbas, Lama Nasrallah, Lynn Anhoury, Marc Audi, Karine Lteif, Rana Jaroudi, Lina Sidani, Diala Rayess, Assaad Raphael et Dory Hitti dégustant les surprenants mini-éclairs au chèvre, les frites sucrées et le cocktail d’arak aux mûres, préparés par Nicolas Catan, et admirant la parade des mannequins masqués par une tête de coucou en peluche qui se déhanchaient sur la musique de Caline Chidiac et de Djette. Tous les soirs à 6:05, comme l’enseigne le promet, un événement se déroulera au sein de ce lieu insolite. Une happy hour nouveau genre ? Yesss !
Sous la dent de Zouzou
Il y a des coutumes auxquelles on ne peut ni ne veut échapper, et la tradition exige que l’on tire les rois à l’Épiphanie. Et les reines. Aussi, à la soirée organisée par Isabelle Doumet Skaff, Patrick et Noha Baz, Nabil et Michèle Nahas, Andrée Asseily, Sophie Skaff, Rodrigue et Mary Cochrane, Tony et Carole Kareh, Charles et Marie-Thérèse Najjar et d’autres ont fiévreusement cherché la fève dans leur morceau de galette frangipanée religieusement par Nicolas Audi. Vainement. Elle était coincée entre les dents de Zouzou Sehnaoui qui, déchaîné comme d’habitude (source de blagues ininterrompues mais toujours bienvenues), a été intronisé roi et a arboré le reste de la soirée sa couronne de fantaisie. Même Leo, le chien mascotte de la maison, a salué le nouvel élu par des jappements joyeux.
La saga Hanifé (et la turquerie de Lama)...
Les murs du Kitchen et le chef des lieux Hussein Hadid ont frémi sous le tonitruant Happy birthday entonné par la famille et les amis de Hanifé Salam qui célébrait son anniversaire dans un décor de ballons blancs et de clichés relatant les différentes étapes de sa vie : bébé, avec papa et maman, avec ses frères Amine et Omar Daouk, à l’école, à cheval, à Venise, Hanifé en mariée, puis avec ses enfants et ses petits-enfants, en bref, Hanifé sous toutes les coutures mise en scène par ses filles Rolla Salam et Tima Kassir, et décortiquée à la loupe par Oussama et Michèle Bibi, Yldiz Diab, Raya et Kay Daouk, Rima Dandachi, Othman et Ghina Arakji, Rafic et Magida Zantout, Nawal Fawaz, Ali et Anbra Dabbous, Tamam Salam et Lama, qui expliquait son retard par un épisode d’une série turque qu’elle suit passionnément à la télé et qu’elle ne pouvait en aucun cas rater... Il faut ressusciter les enregistrements vidéo – ou s’abonner à YouTube !
ditavonbliss@hotmail.com
Garnier et Sinclar pour Dea et Fathi Fathi, le fils de Georges et Myriam Antaki, et Dea Bitar se sont dit « oui » à l’église Saint-Thomas d’Aquin à Saint-Germain, dans ce cœur parisien que Juliette Gréco continue de faire battre d’amour... La cérémonie religieuse a été suivie d’un dîner qui a réuni, sous les ors du somptueux grand foyer de l’Opéra Garnier, une...
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