À l’initiative de l’ambassade d’Italie et en collaboration avec la faculté des langues et l’Institut des études scéniques et audiovisuelles, le groupe Sule présente ce soir, à 20 heures, un spectacle de pizzica à l’amphithéâtre Pierre Aboukhater (USJ).
Composé de musiciens qui veulent faire revivre avec le public l’atmosphère d’autrefois, le groupe Sule est formé de Claudio Prima (orgue et voix), Enza Pagliara (voix et tambourin), Antonio Castrignano (voix et percussions), Massimiliano de Marco à la guitare, Giuseppe Spedicato à la basse et la danseuse Stefania Mariano.
La pizzica est une danse populaire folklorique italienne originaire de la péninsule du Salento, propagée ensuite dans les régions des Pouilles, de la Calabre et de la Basilicate orientale. Cette danse, qui signifie pinçon ou piqûre, était essentiellement ludique, exécutée aux occasions festives, mais aussi durant des rituels thérapeutiques pour guérir du poison des tarentules et des scorpions.
En effet, le Salento est la terre des tarentules qui, dans l’imaginaire populaire, mordaient les agriculteurs. Selon certains contes, la morsure causait une douleur si intense et des mouvements irréguliers de tout le corps que la seule façon d’en guérir était de danser au rythme de la «pizzica
pizzica».
Les orchestres qui jouent la « pizzica » sont composés de divers instruments, entre autres le tambourin et le violon. Elle est pratiquée en étreignant son partenaire, et une des principales caractéristiques de cette danse est le «foulard», qui sert à inviter le partenaire choisi.
Composé de musiciens qui veulent faire revivre avec le public l’atmosphère d’autrefois, le groupe Sule est formé de Claudio Prima (orgue et voix), Enza Pagliara (voix et tambourin), Antonio Castrignano (voix et percussions), Massimiliano de Marco à la guitare, Giuseppe Spedicato à la basse et la danseuse Stefania Mariano.
La pizzica est une danse populaire folklorique italienne originaire de la péninsule du Salento, propagée ensuite dans les régions des Pouilles, de la Calabre et de la Basilicate orientale. Cette danse, qui signifie pinçon ou piqûre, était essentiellement ludique, exécutée aux occasions festives, mais aussi durant des rituels thérapeutiques pour guérir du poison des tarentules et des scorpions.
En effet, le Salento est la terre des tarentules qui, dans l’imaginaire populaire, mordaient les agriculteurs. Selon certains contes, la morsure causait une douleur si intense et des mouvements irréguliers de tout le corps que la seule façon d’en guérir était de danser au rythme de la «pizzica
pizzica».
Les orchestres qui jouent la « pizzica » sont composés de divers instruments, entre autres le tambourin et le violon. Elle est pratiquée en étreignant son partenaire, et une des principales caractéristiques de cette danse est le «foulard», qui sert à inviter le partenaire choisi.
À l’initiative de l’ambassade d’Italie et en collaboration avec la faculté des langues et l’Institut des études scéniques et audiovisuelles, le groupe Sule présente ce soir, à 20 heures, un spectacle de pizzica à l’amphithéâtre Pierre Aboukhater (USJ). Composé de musiciens qui veulent faire revivre avec le public l’atmosphère d’autrefois, le groupe Sule est...
commentaires (0)
Commenter