Installé dans un hôtel luxueux de Vienne pour une rencontre littéraire, Rafik Schami se trouve aux antipodes des troubles qui agitent la Syrie, mais se sent profondément inquiet pour le pays qu’il a quitté il y a 41 ans. Dans le meilleur des cas, la création d’une Syrie démocratique et débarrassée de Bachar el-Assad prendra au minimum une décennie de « sueurs et de larmes », estime l’écrivain syrien âgé de 66 ans. « Je n’envie pas le nouveau gouvernement. Personne ne lui apportera des fleurs », craint le lauréat des prix littéraires Hermann Hesse (1994) et Chamisso (1993). Il n’a pas l’intention de rentrer en Syrie une fois le régime tombé, mais il espère s’y rendre pour des lectures de ses œuvres.
Installé dans un hôtel luxueux de Vienne pour une rencontre littéraire, Rafik Schami se trouve aux antipodes des troubles qui agitent la Syrie, mais se sent profondément inquiet pour le pays qu’il a quitté il y a 41 ans. Dans le meilleur des cas, la création d’une Syrie démocratique et débarrassée de Bachar el-Assad prendra au minimum une décennie de « sueurs et de larmes »,...
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Triste constat pour un régime "à venir" qui est dores et déjà adoubé par un partix, tout petix dans la potion magix, bien de chez nouix.
05 h 57, le 25 novembre 2012