« Tout s'est arrêté à peu près parce que les positions sont éloignées » entre les deux pays, a ajouté M. Geagea dans une déclaration à l'AFP. « Les Syriens sont hostiles au tribunal alors que les Saoudiens le soutiennent, et la question du TSL ne supporte aucune interprétation », a-t-il dit.
Selon lui, « les Saoudiens proposent de nous apprêter à amortir le choc de l'acte d'accusation et de ses répercussions, pendant que les Syriens insistent à obtenir la suspension ou l'ajournement de la parution de cet acte d'accusation ».
Le leader des FL a par ailleurs annoncé qu'il comptait demander cette semaine au président de la République, Michel Sleiman, et au Premier ministre, Saad Hariri, de convoquer le Conseil des ministres « afin d'assurer la marche du travail et la gestion des questions intéressant les gens ». « Si le camp du Hezbollah décide de boycotter la réunion, il devra alors assumer la responsabilité de la paralysie du pays », a-t-il ajouté.
commentaires (0)
Commenter