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Liban - La situation

Présidentielle libanaise : des concertations, encore timides, pour éviter le blocage

OLJ / Par Sandra NOUJEIM, le 26 avril 2014 à 01h48

A Kantari, des affiches électorales réclamant Fouad Chéhab pour président ont fait leur apparition sur les murs. Photo Sami Ayad

L'attente actuelle gravite autour de l'équation confirmée depuis la convocation des journalistes Ibrahim el-Amine et Karma Khayat par le TSL. « Le TSL aurait dû poursuivre les accusés et non les journalistes », a-t-il déclaré à la New TV. Mais cette « prise de position spontanée » aurait vite été réglée par des contacts « de haut niveau » entre les Kataëb et le Futur.


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commentaires (3)

ENTRE TIMIDES ? TERME INADÉQUAT ! ENTRE ABRUTIS... CELA IRAIT MIEUX...

LA LIBRE EXPRESSION

21 h 10, le 26 avril 2014

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Commentaires (3)

  • ENTRE TIMIDES ? TERME INADÉQUAT ! ENTRE ABRUTIS... CELA IRAIT MIEUX...

    LA LIBRE EXPRESSION

    21 h 10, le 26 avril 2014

  • Ca manque de serieux tout ca , c'est le moins qu'on puisse dire . Un candidat certes qui s'excuse pour son passé de criminels massacreurs , qui s'octroie le pardon du seul fait pour lui de l'avoir demande et qui voit ressurgir dans les bulletins de vote le nom de ses victimes postees par les descendants de ses victimes , ca pese lourd quand meme sur un candidat . Il a raison de dire , Selim Sayegh que c'etait pas un jeu d'enfants . Je verrai plus un repenti dans un monastere a ecrire des livres de regrets addresses a ses victimes ou a leurs descendants que pretendre a la magistrature supreme ! L'idee , strategique que le phare AOUN au pouvoir pouvait mieux "accompagner" un eventuel retour et une garantie sur la suite a donner a notre resistance et a notre armee nationale est la plus judicieuse qui soit , ils m'ont bien plu ces chiites dissidents avec cette proposition . Et je ne parierai pas que Saad Hariri n'y souscrirai pas !! hummmmmm !!!!

    FRIK-A-FRAK

    16 h 20, le 26 avril 2014

  • Le plus pathétique, c’est de voir boSSfééér-Amééér agrippé à ce "divin"-fakkîh. Agrippé ? Oui, cramponné et même scotché à ses kroumirs. Et marchant vite vers la sortie, vers une grosse crevasse politique ! Mais, comment dire, il n’est pas à l’échelle de ce qui l’entoure. Il serait comme rapetissé. Derrière lui, des "résistanciels musculeux, tatoués et enturbannés mais en éveil car on ne sait jamais ce qui peut lui arriver. L’étrangeté émane de la disproportion qui existe entre le pays et cette personne. Entre la sorte d’élan irrésistible du Grand-Liban qui se hâte vers l’air libre, et la dimension médiocre du caporalisé ! Le paradoxe est que bigaradier ne ressent avec ce torchon de papier "d’entente hygiénique", que la jubilation d’être sorti du mauvais pas dans lequel il s’était mis d’une façon puérile en 90 ; et qu’on ne voit que son rapetissement. A l’évidence, il s’amoindrit, et a perdu de ce qu’il était prétendument supposé avoir comme envergure ! Clopine et peine à suivre. En fait, il se traîne et respecte tant bien que mal le tempo du fakkîhdiot : cette allure de teigneux qu’on lui impose. Décidément, oui, il s’agrippe le "grimpion". On devine une main tavelée et l’on pressent, quand il va débouler sur la passerelle du "phénix" à sigle cédraie qui va le rejeter en exil ses yeux brouillés, qu’il va bien grimacer en fin de compte, l'épigone pâmé.

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    09 h 23, le 26 avril 2014

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