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Liban

Machnouk : Toute faction qui tente d’hypothéquer la décision beyrouthine finit par en payer le prix et être vaincue

Le ministre de l'Intérieur, Nouhad Machnouk, a affirmé que « Beyrouth a apporté la preuve, à travers le temps, et plus particulièrement au cours des dernières années, qu'il est peut-être possible de lui porter atteinte temporairement, mais il n'est pas possible d'hypothéquer la décision beyrouthine ». « Ceux qui ont tenté d'hypothéquer la décision beyrouthine, a affirmé M. Machnouk, ou ceux qui tentent encore de le faire, finissent par en payer le prix et sortent vaincus de cette épreuve, de même qu'ils finissent par perdre leur dignité. »
M. Machnouk a tenu des propos en ce sens au cours d'un dîner offert en son honneur à Zeidanieh (Beyrouth-Ouest) par le président du centre islamique el-Farouk, cheikh Ahmad el-Baba, et par l'homme d'affaires Omar Mousalli. Évoquant le contexte politique présent sur la scène locale, M. Machnouk a notamment souligné qu'il serait « erroné de penser que le gouvernement actuel est le fruit d'un accord politique ou d'une entente politique ». « Il s'agit, ni plus ni moins, d'un gouvernement de transition qui permet de geler le différend (interne) dans l'attente que le pays soit sauvé du danger du vide politique ou de tout danger d'ordre sécuritaire auquel il pourrait être confronté. »
« De nombreux points de divergence nous séparent encore, a souligné dans ce cadre le ministre de l'Intérieur. Parmi ces points de divergence, figurent le problème de l'implication dans les combats en Syrie, la question des armes utilisées en dehors du contexte de la résistance face à Israël et toute autre attitude qui s'oppose à la logique de l'État. Ce gouvernement n'a pas pour but de débattre de ces problèmes ou de les résoudre. Sa mission est de protéger tout citoyen qui est soumis à l'oppression ou à l'injustice. »
En conclusion, M. Machnouk a rendu hommage « au courage du président Saad Hariri », précisant que celui-ci, en le désignant pour prendre en charge le portefeuille de l'Intérieur, « a vengé en quelque sorte Beyrouth et ses habitants ».

 

Le ministre de l'Intérieur, Nouhad Machnouk, a affirmé que « Beyrouth a apporté la preuve, à travers le temps, et plus particulièrement au cours des dernières années, qu'il est peut-être possible de lui porter atteinte temporairement, mais il n'est pas possible d'hypothéquer la décision beyrouthine ». « Ceux qui ont tenté d'hypothéquer la décision beyrouthine, a...

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