Des informations non confirmées circulent sur une possible initiative, planifiée par la diplomatie française, de convoquer les parties libanaises à une rencontre similaire à la conférence de La Celle-Saint-Cloud, qui avait été organisée les 14 et 15 juillet 2007 à l’initiative de l’ancien chef de la diplomatie française Bernard Kouchner. L’idée de cette initiative présumée serait toujours en cours de maturation, selon le quotidien an-Nahar, qui a fait état de contacts en cours entre le Quai d’Orsay et des pôles régionaux. La réunion entre le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius et le prince d’Arabie Saoud al-Fayçal s’inscrirait dans ce cadre, toujours selon le même quotidien qui a publié l’information.
Mais des sources du 14 Mars, contactées par L’Orient-Le Jour, ont démenti l’existence d’une initiative dans ce sens. Le Quai d’Orsay ne l’a d’ailleurs toujours pas confirmée, préférant réitérer le traditionnel appel au dialogue pour sauvegarder la stabilité du Liban (voir par ailleurs).
Il est important de s’interroger en outre sur la possible corrélation entre l’idée de cette initiative et la soi-disant ouverture de la France sur le Hezbollah, défendue exclusivement par des sources du 8 Mars. Celles-ci invoquent dans ce sens la récente visite du député du Hezbollah Ali Fayad à Paris, sur l’invitation du Quai d’Orsay. Le député a d’ailleurs été cité hier par le quotidien al-Akhbar, dans le cadre d’un article qui défend une possible « inflexion » de la France par rapport au Hezbollah, quelques mois après la condamnation de son aile militaire par l’Union européenne.
De ces informations, un seul fait est à retenir pour l’instant : le député en question a été invité avec deux autres parlementaires, Ghassan Moukheiber et Mohammad al-Jisr, ainsi que certains activistes, dont Antoinette Chahine, pour prendre part à un débat à l’Assemblée nationale sur l’abolition de la peine de mort. Une autre réunion s’en est suivie entre le député Fayad et des experts et diplomates français concernés par le Moyen-Orient, au Quai d’Orsay. Côté français, ces discussions avec Fayad ont été confirmées tout en minimisant leur portée.
Un autre fait certain, que rappelle d’ailleurs le député Ali Fayad, est que la France n’a jamais coupé ses liens avec le Hezbollah, en l’occurrence son « aile politique ». En résumé, et pour l’instant en tout cas, aucun indice d’un rapport nouveau, approfondi ou renforcé, entre la France et le Hezbollah ne se dégage des informations sur la visite du parlementaire libanais à Paris.
Mais des sources du 14 Mars, contactées par L’Orient-Le Jour, ont démenti l’existence d’une initiative dans ce sens. Le Quai d’Orsay ne l’a d’ailleurs toujours pas confirmée, préférant réitérer le traditionnel appel au dialogue pour sauvegarder la stabilité du Liban (voir par ailleurs).
Il est important de s’interroger en outre sur la possible corrélation entre l’idée de cette initiative et la soi-disant ouverture de la France sur le Hezbollah, défendue exclusivement par des sources du 8 Mars. Celles-ci invoquent dans ce sens la récente visite du député du Hezbollah Ali Fayad à Paris, sur l’invitation du Quai d’Orsay. Le député a d’ailleurs été cité hier par le quotidien al-Akhbar, dans le cadre d’un article qui défend une possible « inflexion » de la France par rapport au Hezbollah, quelques mois après la condamnation de son aile militaire par l’Union européenne.
De ces informations, un seul fait est à retenir pour l’instant : le député en question a été invité avec deux autres parlementaires, Ghassan Moukheiber et Mohammad al-Jisr, ainsi que certains activistes, dont Antoinette Chahine, pour prendre part à un débat à l’Assemblée nationale sur l’abolition de la peine de mort. Une autre réunion s’en est suivie entre le député Fayad et des experts et diplomates français concernés par le Moyen-Orient, au Quai d’Orsay. Côté français, ces discussions avec Fayad ont été confirmées tout en minimisant leur portée.
Un autre fait certain, que rappelle d’ailleurs le député Ali Fayad, est que la France n’a jamais coupé ses liens avec le Hezbollah, en l’occurrence son « aile politique ». En résumé, et pour l’instant en tout cas, aucun indice d’un rapport nouveau, approfondi ou renforcé, entre la France et le Hezbollah ne se dégage des informations sur la visite du parlementaire libanais à Paris.
Des informations non confirmées circulent sur une possible initiative, planifiée par la diplomatie française, de convoquer les parties libanaises à une rencontre similaire à la conférence de La Celle-Saint-Cloud, qui avait été organisée les 14 et 15 juillet 2007 à l’initiative de l’ancien chef de la diplomatie française Bernard Kouchner. L’idée de cette initiative présumée...
commentaires (4)
Qu'est ce qu'on se marre aujourd'hui ! On disait a l'epoque la Syrie et Israel sont allies " objectifs " a cause d'un calme trompeur au Golan , on a dit ensuite le wazwaz de saida est un agent double du hezb resistant , bien que l'armee ait perdu nos fils et filles au combat contre ce criminel , recemment on ajoute que les alnosraalqaida sont les allies de Bashar , parce qu'ils n'attaquent que les mercenaires "mignons et gentils ", on dit meme que Israel et l'iran des mollahs sont amis de longue date et que la raclee de 2006 etait programmee par les sionsites , je n'ai rien invente je l'ai lu ici dans ces colonnes par des internautes encore vivants et presents Dieu merci . Je retiens mon souffle parce que je vois venir certains obtus nous dire , la France et le hezb sont de connivence de longue date et que Ali Fayad arrive en france rencontrer hollandouille pour decrocher une medaille de la legion d'honneur, mais arretez de vous torturer l'esprit les gars, les victoires se font a la force du poignee et pas autrement .
Jaber Kamel
15 h 35, le 19 octobre 2013