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Liban

À Baabda, Sleiman continue de consulter...

Avec Fouad Siniora...

Le chef de l’État Michel Sleiman a poursuivi ses consultations entamées dimanche avec Amine Gemayel, après l’assassinat du général Wissam el-Hassan, en recevant hier tour à tour l’ancien Premier ministre et chef du bloc parlementaire du courant du Futur Fouad Siniora, le ministre de la Défense Fayez Ghosn, représentant le chef des Marada Sleimane Frangié, ainsi que le ministre de la Santé Ali Hassan Khalil, délégué par le président de la Chambre Nabih Berry.
« Ce que l’armée fait pour préserver la paix civile, la sécurité et la stabilité prouve une nouvelle fois que seules les institutions légales de l’État sont à même de s’occuper des citoyens... Dialoguons, ouvrons-nous les uns aux autres, évitons que ce qui se passe autour de nous ne se répercute sur le Liban ! » a martelé le chef de l’État.
Michel Sleiman s’est également entretenu avec le ministre de l’Environnement, Nazem el-Khoury.

 

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Le chef de l’État Michel Sleiman a poursuivi ses consultations entamées dimanche avec Amine Gemayel, après l’assassinat du général Wissam el-Hassan, en recevant hier tour à tour l’ancien Premier ministre et chef du bloc parlementaire du courant du Futur Fouad Siniora, le ministre de la Défense Fayez Ghosn, représentant le chef des Marada Sleimane Frangié, ainsi que le ministre de...

commentaires (4)

Il consulte en effet, mais à l'ombre du désert.

Antoine-Serge KARAMAOUN

07 h 15, le 24 octobre 2012

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Commentaires (4)

  • Il consulte en effet, mais à l'ombre du désert.

    Antoine-Serge KARAMAOUN

    07 h 15, le 24 octobre 2012

  • Personne ne voudrait être à sa place. C'est comme un homme logique qui est obligé de consulter des désdéquilibrés...

    SAKR LEBNAN

    05 h 22, le 24 octobre 2012

  • A quoi sert-il, en réalité ?

    Antoine-Serge KARAMAOUN

    04 h 26, le 24 octobre 2012

  • Il perd son temps. Tant qu'il ne peut arreter les assassins de Hariri et des autres martyrs il perd son temps et le notre dans de sampiternelle apel au dialogue qui n'a en fait jamais lieu que pour faire passer le temps et justifier leur salaires.

    Pierre Hadjigeorgiou

    03 h 27, le 24 octobre 2012

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