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Culture - Concert

Mosaïque pour une musique arménienne

Pour le cinquième concert du festival des Chants de Beyrouth, en un panaché coloré, place à la musique arménienne.

Robert Bedrossian et Magar Yegmalian. Photo Nasser Trabulsi

De Sayat Nova à Khatchadour Avedissian, en passant par Komitas, Robert Bedrossian et Magar Yegmalian, un patchwork de lignes mélodiques faisant vivre avec sensibilité la richesse du patrimoine musical du pays de Vartan
Mamikonian.
À l’église Saint-Louis des capucins, près du Grand Sérail, Kamilia Keshishian à l’orgue et au clavier et Zakar Keshishian au «duduk» et «shvi» (instruments à vent proches des flûtes, des pipeaux et des «nays») ont officié devant un public nombreux et recueilli.
Au menu, une mosaïque d’œuvres musicales incluant des partitions aussi bien du folklore du pays du lac Sevan que des opus sacrés et modernes. Sens du religieux, frémissement des cordes patriotiques, élans de la spiritualité, piété des refrains des fêtes, airs traditionnels de la terre du mont Ararat, voilà en teintes graves, douces, mélancoliques, nostalgiques, bondissantes ou joyeuses toutes les nuances musicales du pays de Grégoire
l’Illuminateur.
Un joli bouquet de notes aux couleurs grenat, aux fragrances profondément arméniennes. Ravi et captivé, le public, à travers applaudissements et émotion, a réservé un accueil chaleureux et enthousiaste aux deux musiciens.

 

 E.D.

De Sayat Nova à Khatchadour Avedissian, en passant par Komitas, Robert Bedrossian et Magar Yegmalian, un patchwork de lignes mélodiques faisant vivre avec sensibilité la richesse du patrimoine musical du pays de Vartan Mamikonian. À l’église Saint-Louis des capucins, près du Grand Sérail, Kamilia Keshishian à l’orgue et au clavier et Zakar Keshishian au «duduk» et «shvi»...
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