M. Sayyed, qui a rappelé que la loi libanaise interdit le cumul entre les intérêts privés et la fonction publique, s’en est pris au Premier ministre qui, a-t-il dit, a réuni le Conseil des ministres « pour prendre une décision contraire à l’éthique politique et à la loi ». Il a également dénoncé le fait que ce contrat – qui porte notamment sur la commercialisation des cartes de téléphone prépayées – « coûtera à l’État et au citoyen huit fois le coût initial qui était fixé par Ogero », avant de rappeler que ceux qui achètent les cartes prépayées appartiennent généralement aux classes pauvres et moyennes.
« M. Mikati a-t-il donc besoin de quelques millions de dollars supplémentaires qu’il va puiser dans les poches des pauvres et du Trésor public qui est au bord de la faillite ? » s’est demandé l’officier.
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Réforme et Changement, que de dessous de table l'on commet en ton nom.
Saleh Issal
06 h 47, le 23 février 2012