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Liban

L’affaire des Estoniens : les ravisseurs croyaient que les otages étaient détenteurs d’une autre nationalité européenne

L'enquête sur l'affaire des sept otages estoniens enlevés récemment dans la Békaa et dont on est toujours sans nouvelles a permis de conclure que les otages sont sous l'emprise de quatre ravisseurs, dont trois Libanais, Wael Abbass, Kanan Yassine et Mounir Jalloul, et un Syrien Mohammad Ahmad, connu sous le nom de Hammoudi Zarifé. C'est ce qu'indiquent des sources judiciaires, citées par le journal koweïtien al-Anba' al-Koweitiya, qui ont révélé un lien entre les ravisseurs et Darwiche Khanjar, tué dans une rixe avec une unité des renseignements des Forces de sécurité intérieure, il y a quelques jours à Majdel Anjar.
Le Libanais Abbass et le Syrien Zarifé se seraient trouvés avec Khanjar au cours de la rixe et auraient pu fuir après qu'il eut été tué. La propriétaire de la voiture volée dont ils disposaient a reconnu leurs photos.
Il convient d'indiquer dans ce cadre que, selon des sources judiciaires, les ravisseurs s'attendaient à ce que les otages soient de nationalité européenne autre qu'estonienne.
En outre, le juge d'instruction près le tribunal militaire, Fadi Souwan, a interrogé hier dans cette affaire sept détenus, parmi lesquels un Syrien, et a émis des mandats d'arrêt à leur encontre. Il a par ailleurs émis des mandats d'arrêt par contumace contre cinq autres, pour participation au rapt et transfert des Estoniens vers un lieu qui demeure inconnu.

L'enquête sur l'affaire des sept otages estoniens enlevés récemment dans la Békaa et dont on est toujours sans nouvelles a permis de conclure que les otages sont sous l'emprise de quatre ravisseurs, dont trois Libanais, Wael Abbass, Kanan Yassine et Mounir Jalloul, et un Syrien Mohammad Ahmad, connu sous le nom de Hammoudi Zarifé. C'est ce qu'indiquent des sources judiciaires,...

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