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À La Une - Vidéo

Beyrouth, paroles d'anciens : On payait quelques piastres pour aller regarder la télé chez un voisin

Myriam Mohammad Cherkiye raconte l'ancien temps à Bourj el-Barajneh. Et comment son père l'a convaincue de se marier avec une histoire de télé...

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent un maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.

Quelques semaines durant, nous allons vous proposer une rencontre, en images, avec un ancien de Beyrouth. Une remontée dans le temps et ses souvenirs, comme une parenthèse.

Myriam Mohammad Cherkiye habite le camps de réfugiés palestiniens de Bourj el-Barajneh depuis 1948. Elle raconte la vie d'avant, dure et simple.

 

(Remarque : une coquille s'est glissée dans la traduction de la vidéo : il ne faut pas lire un quart de piastre, mais 25 piastres)

 

Dans la même série Beyrouth, paroles d'anciens :

"Je pêchais 5kg de poisson par jour, aujourd'hui, à peine un demi kilo". Mohammad, Yahya, Hassan et Ibrahim à Aïn el-Mreisseh.

"Si une voisine cuisinait, elle partageait avec tout le monde" Abou Wafik, Abou Ahmad et Ali Haidar à Basta.

"On sortait jusqu'à minuit, Centrale, Sevan, Karmani, Court Royal..." Georgette et Samira à Bourj Hammoud.

"Le restaurant Faisal, en face de l'AUB, est maintenant un McDonald's", Edmond Tohmé, à Hamra.

"On payait cinq piastres pour aller au centre-ville," Edward Khatchérian, à Gemmayzé

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent un maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.
Quelques semaines durant, nous allons vous proposer une rencontre, en images, avec un...

commentaires (1)

La refugiee parle d'un quart, roube3. Un roube3 c'est un quart de livre c'est à dire 25 piastres et non un quart de piastre! Le traducteur n'a jamais connu les piastres et n'a pas pris la peine de demander à ses parents...Une correction s'impose. Merci

Georges BEKHAZI

15 h 47, le 28 avril 2016

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Commentaires (1)

  • La refugiee parle d'un quart, roube3. Un roube3 c'est un quart de livre c'est à dire 25 piastres et non un quart de piastre! Le traducteur n'a jamais connu les piastres et n'a pas pris la peine de demander à ses parents...Une correction s'impose. Merci

    Georges BEKHAZI

    15 h 47, le 28 avril 2016

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