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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Fastueux et sérénissime

Quand on est gavé de milliards, on sait se faire plaisir. On doit se faire plaisir. Cela tombe bien : le richissime businessman saoudien Walid Jaffali, 64 ans aux prunes, a mis le gros paquet pour épouser la très canon twenty something Loujayn Adada, ex-présentatrice à la MTV. Une foule d’amis, dont Quincy Jones et Caroline Scheufele, présidente de la joaillerie suisse Chopard, ont assisté à la fête grandiose donnée à Venise dans une vieille église, transformée en une magique salle de bal ornée de fontaines et de montagnes de fleurs, et éclairée de centaines de chandelles. Et sur la longue table du banquet qui croulait sous les mets les plus raffinés, l’homard était le plat le plus pauvre. La mariée, qui a reçu comme cadeau de noces un appartement en plein cœur de la Platinum Tower, était habillée par la maison Chanel (la robe dont la traîne est faite de plumes d’autruche aurait coûté, dit-on, 400 000 euros), et parée pour 15 millions par Chopard.... Quand on n’aime, n’est-ce pas, on ne compte pas.
Cerise sur le wedding cake : la veille du mariage, un bal masqué a regroupé les invités de l’apéritif à l’aube dans l’atmosphère magique du palais vénitien de Jaffali. Tammam et Lama Salam, Khaled et Amal Saab, Youssef et Nadine Tohmé, Talal Meerabi, Siham Tuéni, Samer et Nada Hatab, Michel et Pussy Murr, et l’architecte syrien Mootaz Sawaf faisaient partie de la liste d’amis. Vivement (pour notre économie) un mariage pareil à Beyrouth... Gardons le moral : en ces temps d’übercrise, ce ne sont pas les multimilliardaires en mal d’amour qui manquent...

Patrice et Angelina, jolis !

Superambiance au ball room de l’hôtel Phoenicia où l’association libanaise de lutte contre la maladie d’Alzeheimer, présidée par Diane Mansour, a donné son dîner de gala. La DJette Leila Nahas a mis le turbo sur le plancher, entraînant aux rythmes de ses platines l’ambassadrice de l’Union européenne Angelina Eichhorst, flamboyante en diable dans un fourreau de satin pourpre. Ce soir-là aussi, l’ambassadeur de France Patrice Paoli, toujours très rock’n soul, a fait des étincelles : on le sait excellent musicien, on le découvre superdanseur swinguant entre twist et rock, coupant le souffle à sa partenaire Noha Baz qui semblait subjuguée, ne sachant plus si elle tournoyait avec Travolta ou un des kings of the fox-trot. Un pur bonheur – en tous cas, pour la doctoresse. Patrick (Baz, son époux) a applaudi la performance. Présents également, le ministre Walid Daouk et Roula, Jawad et Randa Boulos, Nabil et Michèle Nahas, Philippe Skaff, Georges Andraos, Khalil et Zizette Mekkaoui, l’ambassadeur du Danemark Jan Top Christensen, Mitsou et Laura Tabet, Maha Chalabi, Fayez Jabado et beaucoup d’autres. Et tout cela, sans Ferrero Rocher...

De la rue Copernic au palais de Baabda...

Avant de rejoindre l’avion présidentiel de François Hollande qui décollait à deux heures du matin pour Beyrouth, l’ancien ambassadeur de France au Liban et directeur du département Moyen-Orient Afrique du Nord au Quai d’Orsay, Denis Pietton himself, dînait en compagnie de son épouse libanaise Najwa Bassil à la table de l’ambassadeur du Liban Boutros Assaker et Najla qui offraient ce soir-là un festin en son honneur. Parmi les invités, Amin et Andrée Maalouf, Mohammad el-Hout, patron de la MEA, Taymour et Diana Joumblatt, le conseiller du président Hollande pour les affaires du Moyen-Orient Emmanuel Bonne et l’ancien conseiller de Sarkozy, l’ambassadeur Jean-David Levitte, et Marie-Cécile. De nombreux ambassadeurs arabes étaient également présents, parmi eux Dina Kawar (Jordanie) et Nassif Hitti (Ligue arabe), accompagné de sa femme Latifa.
Au cours de cette visite éclair à Beyrouth, Denis Pietton n’aura finalement (re)vu que le palais de Baabda ! Et la route qui y mène, par la vitre de la voiture. Mais promis, le gendre des Bassil y reviendra : il a trouvé là son second pays....

Écrire à Santa et faire sourire Himaya

Malgré cette crise économique mondiale rabâchée à longueur de journaux télévisés et de titres de presse, on ne peut pas dire aux plus démunis qu’il n’y a pas de solution à leur précarité ou à la pauvreté en général. On ne peut pas leur dire que s’ils sont nés dans la pauvreté, ils mourront dans la pauvreté et qu’on ne peut rien faire. On peut toujours faire. Chacun à sa manière. Chacun selon ses moyens.
Ainsi, avec l’approche des fêtes, le staff du département « women’s wear » de l’ABC a décidé cette année de ne pas échanger de cadeaux, mais de faire une collecte d’argent qui permettra à l’Association Himaya pour l’innocence en danger (fondée par Vivianne Debbas) d’organiser un vrai Noël pour les jeunes résidents du centre de Damour.
Avant-hier, dimanche, la championne Pia Nehmé a couru le marathon de Beyrouth au profit de Himaya. À Gemmayzeh, le pub-resto Pop-Up appartenant à la boîte Brainstorm (Falamanki, Sushi Bar, etc) a concocté un cocktail de fruits dont les bénéfices reviendront à l’association. Et à la porte, le client puise dans un punchball rempli de candy bags portant le logo de l’ONG et débourse la somme qui lui convient. Récemment, lors d’un anniversaire en famille, Della Tamari, habitant Genève, a demandé de remplacer les cadeaux par des dons en faveur de Himaya.
Et ce n’est pas tout. À un mois de Noël, LibanPost se met aussi de la partie et lance un appel à toutes les écoles du Liban, et notamment aux parents d’élèves, pour qu’ils incitent leur progéniture à écrire leur lettre au père Noël : il suffit d’acheter la carte, l’enveloppe et le timbre à l’effigie de l’homme en rouge ( le tout à 5 000 LL au profit de Himaya), d’y inscrire ses souhaits ou de faire un beau dessin, et d’envoyer le tout au nom du père Noël en prenant bien soin de ne pas oublier de joindre son nom et ses coordonnées complètes ! L’aide de LibanPost est double : soutenir directement l’association et ressusciter ces délicieuses correspondances. Les plus belles lettres seront sélectionnées, exposées dans tous les bureaux de poste et publiées sur les pages Face Book de LibanPost et de Himaya.
À vos plumes, les enfants, les petits et les grands, le secrétariat de Santa Claus est prêt à accueillir des milliers de lettres. C’est tellement plus sympa que toutes ces décorations de Noël qui affluent déjà dans les magasins libanais : une précocité décidément un peu (trop) écœurante... À vos plumes, vite !

ditavonbliss@hotmail.com
Fastueux et sérénissime Quand on est gavé de milliards, on sait se faire plaisir. On doit se faire plaisir. Cela tombe bien : le richissime businessman saoudien Walid Jaffali, 64 ans aux prunes, a mis le gros paquet pour épouser la très canon twenty something Loujayn Adada, ex-présentatrice à la MTV. Une foule d’amis, dont Quincy Jones et Caroline Scheufele, présidente de la...

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