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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Économiser l’eau à Basbina

Gebran Bassil, qui semble vouloir collectionner les vieilles bâtisses de Batroun, a dû (gentiment) s’autoflageller lorsqu’il a compris que ces pierres vieilles de 380 ans ont échappé à son tableau de chasse ! Implantée dans le cadre magnifique de Basbina, abritant les caves sublimissimes d’Ixir réalisées haute-couture par Raëd Abillamaa et élues par CNN parmi les constructions les plus écologiques du monde, cette maison follement accueillante voit défiler régulièrement un aréopage de personnalités socio-économico-politiques et diplomatiques conviées par la dream team Étienne Debbané-Carlos Ghosn.
Samedi dernier, sous les flashs des photographes, messieurs D&G se sont pliés à une série de pauses Kodak très sympathiques avec un bon nombre d’invités avant que le dieu El, père de tous les dieux et grand ami de Bacchus, ne leur vole la vedette : la nouvelle icône d’Ixir, qui a dévoilé très impudiquement sa robe grenat brillante, a été largement vainqueur à l’applaudimètre à la fin d’un savoureux déjeuner mitonné par Nicolas Audi et copieusement arrosé par ce vin 100 % de nos terres et pour lequel les critiques internationaux tombent en amour les uns après les autres. Buvant bon, les amateurs ont ce jour-là grandement économisé l’eau ! Hubert de Boüard de Laforet , propriétaire du Château Angelus, 1er grand cru classe A, à St-Émilion ; Jean-Guillaume Prats , PDG du Château Cos d’Estournel, 2e grand cru à St-Estephe en Médoc ; Jean-Pierre et Brigitte Fayard, propriétaires du Château Sainte Marguerite ; Jean-Marc Quarin, critique de vins à Bordeaux et éditeur du Guide des vins de Bordeaux portant son nom, accompagné de son épouse Catherine ; Emmanuelle Ponsan Dantin, directrice de la commanderie du Bontemps Médoc et Graves , Sauternes et Barsac ; Domique Renard, directeur général de la Maison de négoce Duclot à Bordeaux ; Philippe Genet, rédacteur à la Revue des vins de France (principal magazine du vin en Europe), avaient le sourire jusqu’aux oreilles. Le ministre Sélim Jreissati, suivi comme une ombre par son garde du corps, semblait radieux. Quant à la sémillante rédactrice en chef adjoint de la revue Point de vue, Beatrice Brasseur, accompagnée du photographe Thierry Orban, elle a promis de réserver un triple A au soleil d’octobre, et aussi et surtout à l’optimisme et à la bonne humeur des Libanais qui résistent fermement à la contagion des âpres conflits régionaux. Que demander de plus, à part, vite, un nouvel Ixir...

We Are the World for CCCL...

C’était la déferlante samedi soir au BIEL où s’était tenu le dîner de gala destiné à lever les fonds pour le Children’s Cancer Center of Lebanon (CCCL) et qui, malgré la grogne des invités et le trépignement de Nicolas Cattan qui souhaitait servir son dîner à l’heure, a débuté avec pas mal de retard parce que le ministre Walid Daouk, représentant le chef de l’État, avait oublié ce soir-là, pour une raison que l’on ignore, que la ponctualité est la politesse des rois ! Mais il n’en reste pas moins que la soirée, dit-on, était carrément géniale. La salle, somptueusement décorée par Stree et Masahat (qui ont gracieusement offert leurs services), a été investie par plus de 800 personnes ralliées à la cause des enfants nécessiteux atteints par cet horrible crabe. Et visiblement, de nombreux donateurs ont discrètement mis le paquet, pour ne citer que Raymond et May Audi, Maher Mikati, Hala Tawil, Rose Choueiri, Hind Nabih Berry, mais aussi Nicolas et Michèle Garzouzi qui avaient réuni à leur table Nader Hariri, Ahmad et Shirine Tayeb, Samir Boubès et Loubna Mansour. Quant à Fouad Fawaz, il avait comme invité d’honneur le directeur de la SG, le général Abbas Ibrahim, entouré d’une armada de bodyguards qui ne savaient plus où donner des yeux quand le charivari de la fête a éclaté avec le groupe des Gold Singers venus tout droit de Monaco et la chorale des enfants de La Sagesse qui a entonné We Are the World. À juste titre. Splendide !
Ensuite, la vente aux enchères menée avec maestria par Christie’s-Londres a permis à Jamal Sannane de s’offrir une voiture Juke-Nissan à 50 000 dollars et une Vespa à 30 000. La Koweïtienne Nawal Fayçal Moutawah a décroché la sculpture d’Alfred Basbous estimée à 30 000 dollars, et une photographie signée Pierre Zoghzoghi et publiée dans le National Geographic a atteint les 9 000... Les bonnes actions qui se sont multipliées au cours de cette soirée, la dernière du mandat du président Paul Eddé (il passe les rênes à Salwa Salman dès la fin de cette année), ont permis de récolter la somme de 400 000 dollars. Jamais assez pour ces traitements longs et coûteux. Jamais de trop pour les enfants.

Irish douceurs

Patrick et Noha Baz ont célébré à leur manière le prix Nobel de la paix, décerné à l’Union européenne, en réunissant quelques amis autour d’une table portant les « saveurs d’automne » où figues, cèpes et raisins accompagnaient les langoustines en ravioles et autres ananas rôtis. De quoi ouvrir l’appétit de Patrick Davies qui a voulu tout savoir sur la nouvelle cuisine anglaise, l’approche fort peu conventionnelle de Heston Blumenthal et les recettes de Jamie Oliver. Un véritable épisode de Masterchef ! Moins intéressé par les nourritures terrestres, l’ambassadeur de Grande-Bretagne Tom Fletcher programmait un trekking avec Pierre Doumet, membre fondateur de l’ Association pour la protection de Jabal Moussa, alors qu’Ibrahim Muhanna et l’ambassadeur de Suède Niklas Kebbon et son épouse Danièle discutaient art avec Nada Sehnaoui, notamment de sa dernière installation « Light at the End of the Tunnel », à Starco. Et comme Noha n’avait pas oublié l’anniversaire de Hillary Child-Adams, ambassadrice du Canada, tout le monde s’est joint à Nadim Ghantous et Patrick Baz pour entonner haut et fort non pas le traditionnel Happy Birthday, mais cet hymne à la joie qui est l’emblème de l’Europe (nos amis canadiens ont tous en eux un petit quelque chose d’européen...), avant que Louise Fletcher, accompagnée à la guitare par Pierre Doumet, ne prenne le relais par une série de ballades irlandaises qui ont bercé les convives jusque tard dans la nuit. Si tard que les bodyguards s’étaient assoupis et qu’il a fallu gentiment les réveiller en partant...

Money, money...

Il reste un petit effort à fournir pour assurer le succès de l’exposition Fascination du Liban, qui se tiendra du 30 novembre prochain au 31 mars 2013 au musée Rath à Genève. Pour toute personne souhaitant soutenir la manifestation, le compte postal en Suisse est le : 12-852513-6 CHF
IBAN : CH76 0900 0000 1285 2513 6
BIC/SWIFT : POFICHBEXXX
Détenteur du compte/bénéficiaire : Association Fascination du Liban
Compte postal (NB : la poste en CH a le statut de banque)
Banque : Postfinance.

ditavonbliss@hotmail.com
Économiser l’eau à Basbina Gebran Bassil, qui semble vouloir collectionner les vieilles bâtisses de Batroun, a dû (gentiment) s’autoflageller lorsqu’il a compris que ces pierres vieilles de 380 ans ont échappé à son tableau de chasse ! Implantée dans le cadre magnifique de Basbina, abritant les caves sublimissimes d’Ixir réalisées haute-couture par Raëd Abillamaa et...

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