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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Karim out of the ghetto

Zabad a rejoint la série des restaurants de Zaitunay Bay, et le froid polaire n’a pas découragé les 500 invités à venir déguster les dernières créations du chef cuisinier Karim Haïdar qui recevait en tablier blanc et Converse rouges. Dans une atmosphère follement accueillante, Nouhad Dammous et Walid Tabet, et leurs épouses, Saada Sehnaoui, Rosy Abourrousse, Rita Lamaa, Carole Chammas Kareh, Émile Khoury, Ghida Younès, Pierre Rabbat et Roula Rubeiz tenaient absolument, en fans de red, à goûter à toute la gamme de cocktails, et surtout le beetroot Mojito, à base, comme son nom l’indique, de betterave, avec feuille de thym et sucre brun, et à l’arak avec fenouil et concombre. Christiane et Georges Tawil, Michel, Lina et Camille Tarazi étaient épatés par l’installation en verre soufflé qui couvrait le plafond, une œuvre exécutée par les artisans de Tripoli. Présents aussi, Bilal al-Arabi, Regina Kantara, la designer Rouba Mourtada (alias Chou à la Crème), Maya Mukhi, Roula Kassem, Dina Bizri, Halim Sawaya, Jean-Claude Ghosn, Paul Awad, Élie Bekhazi, Rosy Fayad, Caroline Abdel Nour et Dima Saïdi qui commentaient les particularités de la friké au poisson, de la kebbé de crevettes, la kafta de dinde, le taboulé au coriandre, sans oublier la poire flambée à l’arak et trempée dans de la mélasse. Entre-temps, c’était presque la foire au vin avec les représentants des 25 producteurs libanais qui compulsaient la liste des sélections (85 bouteilles) et inondaient les amateurs en buvant bon ! Ce soir-là, on a sûrement économisé l’eau !

Saké out, Ixsir in

Étienne Debbané (avec Corinne), Hadi Kahalé et Nagi Saïkali sont allés à la conquête de l’Empire du Soleil, où ils ont été vite rejoints par Carlos Ghosn. Objectif : lancement du vin Ixsir dans 51 magasins au Japon, sans compter les 20 autres éparpillés en Asie. Après trois jours de dégustations dans 12 établissements de Tokyo, deux dîners au Roof du Grand Hyatt et un troisième chez Pierre Gagnaire (trois étoiles Michelin) qui ont réuni un plateau de personnalités socio-économiques, dont les CEO d’Airbus (Sufuku Shuia) et de Michelin (les pneus), les magnats de la presse et de l’audiovisuel, les propriétaires des grands hôtels et restaurants, le célèbre designer japonais d’éclairage Motoko Ishii, le golfeur Ryo Ishikawa, le grand architecte Yoshio Tanigushi (du MoMA , NY), l’ambassadeur de France Christian Masset et même Miss Japon, les nippons ont décidé de ranger leurs bouteilles de saké pour se shooter à l’Ixsir.
Chaque rencontre était illustrée par une projection de film sur la propriété viticole de 66 hectares installée au cœur de la vallée de la Bekaa et ses caves à Basbina, sélectionnées en 2011 pour le Green Good Award de Chicago et choisies par CNN parmi les 12 bâtiments les plus écolos au monde. Les Nippons étaient, chose rare, vivement impressionnés...

Mayassa folle de Takashi

La Qatar Museums Authority (présidée par la fille de l’émir, l’über-art dealer cheikha al-Mayassa) surprend encore une fois. À son initiative, et après l’exposition de Louise Bourgeois, la coqueluche des collectionneurs, Takashi Murakami investit le Musée d’art islamique de Doha jusqu’au 24 mai prochain, proposant, à travers 64 sculptures et peintures, une rencontre sacrément fantasque avec ses étranges bouddhas en bronze doré à la feuille et hauts de plus de cinq mètres, ses figurines mangas, ses drôles de petits monstres impertinents et ses compositions de fleurs aux couleurs acidulées. Et c’est une société libanaise, Lumatron (propriétaire : Talal Wehbé), qui a assuré le lighting de l’ensemble ! Wehbé en est encore ébloui. Par l’œuvre ? Ou par le coût de l’exposition qui se chiffre, dit-on, à six millions d’euros ? Une peccadille pour cheikha al-Mayassa qui vient d’acquérir Les joueurs de cartes de Cézanne à 191 millions d’euros...

Lady qui ?

Mais qui c’est cette Lady D’Arbanville que Yusuf Cat Stevens n’a pas osé chanter samedi soir sur la scène du BIEL, déclarant timidement : « My wife will kill me » ? En 1970, le chanteur entretient une relation avec une actrice américaine nommée Patti D’Arbanville (qui a joué dans Morning Glory, Dangerous Seduction, World Trade Center, Celebrity, et Graffiti Party), et c’est pour elle qu’il écrit cette chanson, devenue par la suite un de ses plus gros succès. Après leur rupture, il enregistre un autre succès, Wild World. La jalousie féminine a parfois de ces détours : des spectateurs se sont uniquement déplacés pour écouter cette Lady ! C’est rageant...

L’air et l’ère pour Karen

Le studio Karen Chekerdjian a été choisi par Antonio Vincenti, CEO des affichages Pikasso au Liban et au Moyen-Orient, pour revisiter son trophée Pikasso qui fête cette année ses 25 ans.
« L’idée essentielle, explique K.C, était de conserver l’image de l’afficheur en mouvement, ce petit bonhomme qui est l’élément principal de son logo. Il nous fallait marquer le passage à l’air du XXIe siècle c’est-à-dire à l’ère de l’image digitale et de la vitesse. Nous avons donc tenté d’y transposer l’afficheur, et c’est pour cela que l’on a donné au trophée une impression de mouvement saccadé qui ressemble à une image digitale décomposée. » Fabriqué à la main, le trophée est en laiton trempé dans l’or ou dans l’argent pour les Pikasso d’or et d’argent, et il est oxydé pour la version en bronze. Karen Chekerdjian a étudié le design industriel à la Domus Academy de Milan sous la supervision de Massimo Morozzi (ex-Archizoom). Il est pas beau, le résultat ?
Karim out of the ghettoZabad a rejoint la série des restaurants de Zaitunay Bay, et le froid polaire n’a pas découragé les 500 invités à venir déguster les dernières créations du chef cuisinier Karim Haïdar qui recevait en tablier blanc et Converse rouges. Dans une atmosphère follement accueillante, Nouhad Dammous et Walid Tabet, et leurs épouses, Saada Sehnaoui, Rosy...

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