Le tout début du chemin
Quelque 400 invités, dont le vice-président du Conseil Samir Mokbel, le ministre de la Justice Chakib Cortbaoui, les anciens ministres Ziyad Baroud et Raymond Audi et leurs épouses respectives, sans oublier les ambassadeurs de France, d’Italie et d’Espagne, Mazen et Bouchra Salha, Baha’ Basatni, Adèle Samir Hanna, Émile et Denise Safa, mais aussi des banquiers, des hommes d’affaires et un grand nombre d’amis ont fait preuve de solidarité et de générosité en participant à la soirée caritative organisée au Music Hall par « Himaya, pour l’innocence en danger ». Toutefois, avant que les frères Shéhadé et le groupe cubain ne fassent flamber la baraque, des extraits de l’émission Ligne rouge (Ahmar bel khat el-arid) de Malek Maktabi ont été projetés et ont littéralement fait trembler de colère, de rage et d’horreur les convives à l’écoute des témoignages d’une mère racontant l’agression sexuelle subie à l’école par son enfant de quatre ans par trois garçons de 15 ans ; une adolescente de 16 ans abusée par son père et qui élève aujourd’hui un bébé qui est aussi bien son fils que son frère, et une petite fille de quatre ans violentée par un grand-père... Des cas à la pelle sur lesquels se penche l’association présidée par Viviane Debbas qui, à cette occasion, a rendu un bel hommage à Pierre Issa, fondateur et président d’arcenciel, mais néanmoins partenaire incontournable de Himaya. Grâce aux dons généreux, cette association poursuit son chemin pour sensibiliser et mobiliser la population contre la violence faite aux enfants et renforcer ses programmes en leur faveur. Mais le travail est encore long, très long...
Les dames de grâce et le vœu de chasteté de Jean-Louis...
Drapées d’une cape que Stanley Kubrick aurait adorée et coiffées d’une mantille noire, Maro Khazen, India Abdini, Coralie Zacar, Lina Frangié Wagner, Tania Arwachane, Lélia Khazen et Dominique Sehnaoui ont été admises en tant que « dames de grâce », dans l’ordre de Malte. Parallèlement, Pierre Chidiac, Chadi Haddad, Walid Mouzannar, Rainier Nohra et le père Khalil Rahmé ont été adoubés, et l’architecte-
décorateur Jean-Louis Mainguy a fait ses vœux de pauvreté et de chasteté et est devenu Fra’. La cérémonie s’est déroulée en la cathédrale Saint-Jean-Marc de Jbeil, où la messe, émaillée de chants grégoriens interprétés par une chorale française, a été célébrée par le patriarche Nasrallah Sfeir, aidé d’un cardinal venu du Vatican. Étaient présents, entre autres, Mgr Paul Dahdah, des personnalités ecclésiastiques, des Fra’ de France, de République tchèque et d’Irlande et, arborant cette impressionnante coule noire, le plastron orné de la croix à huit pointes dite « de Malte », la grande famille libanaise des chevaliers de Malte, emmenée par le président de l’association Marwan Sehnaoui, sans oublier la princesse de Bourbon Lobkowicz, des élus des Français de l’étranger, dont Marie Françoise de Tassigny, Christiane Kammermann et la Franco-Brésilienne Françoise Lindemann, la mécène France Majoie-Le-Lous (« Pro Merito Melite Nsi » pour son action charitable en faveur des œuvres de l’ordre), l’homme d’affaires suisse Claude Bassou, et l’épouse de l’ancien ambassadeur de France au Liban Catherine Lecourtier...
À l’issue de la cérémonie, un déjeuner a été donné par J-L Mainguy au Locanda avant que les dîners organisés en l’honneur des nouveaux chevaliers ne se succèdent : chez Jean-Marie Megarbané, Marwan Sehnaoui, Walid Mouzannar, Raymond Audi, India Abdini, ainsi que chez Raphaël et Joumana Debbané au « palais Debbané », dans la vieille ville de Saïda, où les convives ont dégusté des plats médiévaux concoctés par Hussein Hadid. Entre-temps, un déjeuner donné par Janine Maamari au Mandaloun-sur-Mer a réuni autour de Catherine Lecourtier (visiblement aux anges de se retrouver au Liban) Nora Joumblatt, Leila Ziadé et Michèle de Freige...
Notons que derrière l’Ordre de Malte, il y a un idéal de service auprès des plus fragiles, que partagent aujourd’hui près de 13 000 membres, menant à travers le monde (plus de 120 pays) des actions humanitaires et médico-sociales. Fondé en 1113 en Palestine par le frère Gérard Tenque, l’ordre a précédé toutes les organisations humanitaires et a survécu aux guerres et aux révolutions en restant fidèle à sa vocation : porter secours aux malades sans distinction de race ou de religion.
Avocats ou architectes, les Libanais awardisés...
Alors que le bureau d’avocats Badri et Salim Meouchi décrochait le « Best Law Firm of the Year 2011 Award for Lebanon » décerné par IFLR Euromoney (International Financial Law Review) et que Me Salim Méouchi, accompagné de sa fille Samia, des juristes Lilya Sabbagh, Walid Honein et Jihad Rizcallah, s’était rendu à Dubaï pour recevoir ce prix prestigieux, à Paris et en présence de Gabriel de Broglie, chancelier de l’Institut de France, la médaille d’honneur de la fondation Prince Louis de Polignac a été remise à Joseph Achkar et Michel Charrière, architectes et décorateurs qui se sont investis dans la préservation du patrimoine architectural français : ils ont restauré et décoré l’hôtel de Gesvres à Paris. Et c’est dans cette demeure exceptionnelle, bâtie au XVIIe siècle par l’architecte du roi Antoine Lepautre pour le gouverneur de Paris le duc de Gesvres, que Charrière et Achkar ont célébré l’événement, au cours d’un grand dîner qui a réuni 80 personnes, dont une assemblée de nobles français et belges, comprenant des princes, des ducs, des comtes, vicomtes, marquis et autres barons, mais aussi Joe et Mona Issa el-Khoury, Nagi Asfar, Salwa Ghunaim, Hassana Mansour et le richissime homme d’affaires palestinien, Mounib al-Masri.
Merveilles et vermeille pour Karoline Lang
Bravant les embouteillages, amis, journalistes, amateurs et professionnels étaient venus en grand nombre pour assister au défilé de la deuxième collection Sur-Lignée de Karoline Lang par la créatrice Karine Tawil Abboud, en plein People by Aïshti au centre-ville de Beyrouth. Jonglant entre daim, cuir, peaux et mousseline, la styliste a fait exploser blanc virginal, rouge, bleu Klein et vert forêt qui viendront dynamiter le froid de l’hiver. La collection, élégante et ultraféminine, a été vivement applaudie par Milia et Hoda Maroun, Elham Salamé, Elsa Marcha, Waddad Meraabi, Joumana Zard, Hania Hussami, May Abou Adal, etc., et même le grand Élie (Saab, bien sûr) a aimé ! Au tableau final, Karine, venue saluer ses invités avec sa mannequin vedette Jennifer, était chaussée de délicats escarpins rouges dont les brides – une branche en vermeil évoquant le logo de la marque – ont été exécutées dans les ateliers Sélim Mouzannar.
ditavonbliss@hotmail.com
Quelque 400 invités, dont le vice-président du Conseil Samir Mokbel, le ministre de la Justice Chakib Cortbaoui, les anciens ministres Ziyad Baroud et Raymond Audi et leurs épouses respectives, sans oublier les ambassadeurs de France, d’Italie et d’Espagne, Mazen et Bouchra Salha, Baha’ Basatni, Adèle Samir Hanna, Émile et Denise Safa, mais aussi des banquiers, des hommes d’affaires et un grand nombre d’amis ont fait preuve de solidarité et de générosité en participant à la soirée caritative organisée au Music Hall par « Himaya, pour l’innocence en danger ». Toutefois, avant que les frères Shéhadé et le groupe cubain ne fassent flamber la baraque, des extraits de l’émission Ligne rouge (Ahmar bel khat el-arid) de Malek Maktabi ont été projetés et ont littéralement fait trembler de colère, de rage et d’horreur les convives à l’écoute des témoignages d’une mère racontant l’agression sexuelle subie à l’école par son enfant de quatre ans par trois garçons de 15 ans ; une adolescente de 16 ans abusée par son père et qui élève aujourd’hui un bébé qui est aussi bien son fils que son frère, et une petite fille de quatre ans violentée par un grand-père... Des cas à la pelle sur lesquels se penche l’association présidée par Viviane Debbas qui, à cette occasion, a rendu un bel hommage à Pierre Issa, fondateur et président d’arcenciel, mais néanmoins partenaire incontournable de Himaya. Grâce aux dons généreux, cette association poursuit son chemin pour sensibiliser et mobiliser la population contre la violence faite aux enfants et renforcer ses programmes en leur faveur. Mais le travail est encore long, très long...
Les dames de grâce et le vœu de chasteté de Jean-Louis...
Drapées d’une cape que Stanley Kubrick aurait adorée et coiffées d’une mantille noire, Maro Khazen, India Abdini, Coralie Zacar, Lina Frangié Wagner, Tania Arwachane, Lélia Khazen et Dominique Sehnaoui ont été admises en tant que « dames de grâce », dans l’ordre de Malte. Parallèlement, Pierre Chidiac, Chadi Haddad, Walid Mouzannar, Rainier Nohra et le père Khalil Rahmé ont été adoubés, et l’architecte-
décorateur Jean-Louis Mainguy a fait ses vœux de pauvreté et de chasteté et est devenu Fra’. La cérémonie s’est déroulée en la cathédrale Saint-Jean-Marc de Jbeil, où la messe, émaillée de chants grégoriens interprétés par une chorale française, a été célébrée par le patriarche Nasrallah Sfeir, aidé d’un cardinal venu du Vatican. Étaient présents, entre autres, Mgr Paul Dahdah, des personnalités ecclésiastiques, des Fra’ de France, de République tchèque et d’Irlande et, arborant cette impressionnante coule noire, le plastron orné de la croix à huit pointes dite « de Malte », la grande famille libanaise des chevaliers de Malte, emmenée par le président de l’association Marwan Sehnaoui, sans oublier la princesse de Bourbon Lobkowicz, des élus des Français de l’étranger, dont Marie Françoise de Tassigny, Christiane Kammermann et la Franco-Brésilienne Françoise Lindemann, la mécène France Majoie-Le-Lous (« Pro Merito Melite Nsi » pour son action charitable en faveur des œuvres de l’ordre), l’homme d’affaires suisse Claude Bassou, et l’épouse de l’ancien ambassadeur de France au Liban Catherine Lecourtier...
À l’issue de la cérémonie, un déjeuner a été donné par J-L Mainguy au Locanda avant que les dîners organisés en l’honneur des nouveaux chevaliers ne se succèdent : chez Jean-Marie Megarbané, Marwan Sehnaoui, Walid Mouzannar, Raymond Audi, India Abdini, ainsi que chez Raphaël et Joumana Debbané au « palais Debbané », dans la vieille ville de Saïda, où les convives ont dégusté des plats médiévaux concoctés par Hussein Hadid. Entre-temps, un déjeuner donné par Janine Maamari au Mandaloun-sur-Mer a réuni autour de Catherine Lecourtier (visiblement aux anges de se retrouver au Liban) Nora Joumblatt, Leila Ziadé et Michèle de Freige...
Notons que derrière l’Ordre de Malte, il y a un idéal de service auprès des plus fragiles, que partagent aujourd’hui près de 13 000 membres, menant à travers le monde (plus de 120 pays) des actions humanitaires et médico-sociales. Fondé en 1113 en Palestine par le frère Gérard Tenque, l’ordre a précédé toutes les organisations humanitaires et a survécu aux guerres et aux révolutions en restant fidèle à sa vocation : porter secours aux malades sans distinction de race ou de religion.
Avocats ou architectes, les Libanais awardisés...
Alors que le bureau d’avocats Badri et Salim Meouchi décrochait le « Best Law Firm of the Year 2011 Award for Lebanon » décerné par IFLR Euromoney (International Financial Law Review) et que Me Salim Méouchi, accompagné de sa fille Samia, des juristes Lilya Sabbagh, Walid Honein et Jihad Rizcallah, s’était rendu à Dubaï pour recevoir ce prix prestigieux, à Paris et en présence de Gabriel de Broglie, chancelier de l’Institut de France, la médaille d’honneur de la fondation Prince Louis de Polignac a été remise à Joseph Achkar et Michel Charrière, architectes et décorateurs qui se sont investis dans la préservation du patrimoine architectural français : ils ont restauré et décoré l’hôtel de Gesvres à Paris. Et c’est dans cette demeure exceptionnelle, bâtie au XVIIe siècle par l’architecte du roi Antoine Lepautre pour le gouverneur de Paris le duc de Gesvres, que Charrière et Achkar ont célébré l’événement, au cours d’un grand dîner qui a réuni 80 personnes, dont une assemblée de nobles français et belges, comprenant des princes, des ducs, des comtes, vicomtes, marquis et autres barons, mais aussi Joe et Mona Issa el-Khoury, Nagi Asfar, Salwa Ghunaim, Hassana Mansour et le richissime homme d’affaires palestinien, Mounib al-Masri.
Merveilles et vermeille pour Karoline Lang
Bravant les embouteillages, amis, journalistes, amateurs et professionnels étaient venus en grand nombre pour assister au défilé de la deuxième collection Sur-Lignée de Karoline Lang par la créatrice Karine Tawil Abboud, en plein People by Aïshti au centre-ville de Beyrouth. Jonglant entre daim, cuir, peaux et mousseline, la styliste a fait exploser blanc virginal, rouge, bleu Klein et vert forêt qui viendront dynamiter le froid de l’hiver. La collection, élégante et ultraféminine, a été vivement applaudie par Milia et Hoda Maroun, Elham Salamé, Elsa Marcha, Waddad Meraabi, Joumana Zard, Hania Hussami, May Abou Adal, etc., et même le grand Élie (Saab, bien sûr) a aimé ! Au tableau final, Karine, venue saluer ses invités avec sa mannequin vedette Jennifer, était chaussée de délicats escarpins rouges dont les brides – une branche en vermeil évoquant le logo de la marque – ont été exécutées dans les ateliers Sélim Mouzannar.
ditavonbliss@hotmail.com
Le tout début du cheminQuelque 400 invités, dont le vice-président du Conseil Samir Mokbel, le ministre de la Justice Chakib Cortbaoui, les anciens ministres Ziyad Baroud et Raymond Audi et leurs épouses respectives, sans oublier les ambassadeurs de France, d’Italie et d’Espagne, Mazen et Bouchra Salha, Baha’ Basatni, Adèle Samir Hanna, Émile et Denise Safa, mais aussi des banquiers,...
