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Liban

Pour sa 4e édition, « Takreem » récompense, à Paris, des talents arabes d’exception

Sur la scène de l’auditorium de l’IMA, magnifiquement décorée pour la circonstance, les lauréats de « Takreem » 2013 entourés par Ricardo Karam (à gauche) et, à droite, la présentatrice d’al-Jazeera Laila al-Shaikhli qui a animé la soirée.

Pour la 4e édition de « Takreem » qui a eu lieu jeudi soir dans l’auditorium de l’Institut du monde arabe à Paris, neuf lauréats de divers pays arabes ont été récompensés pour leurs actions dans les domaines culturel, scientifique, économique et social. Ce prix, lancé en 2010 par notre confrère Ricardo Karam, est en passe de devenir une institution.
« Il grandit comme un bébé », nous a déclaré l’heureux papa au lendemain de la soirée où les lauréats rencontraient la presse lors d’un petit déjeuner au George V.
L’ambitieux projet identifie et met sur le devant de la scène des personnes qui deviennent des exemples à suivre pour entraîner le monde arabe vers le développement et le progrès. À un moment où, du Golfe à l’Atlantique, le monde arabe cherche ses repères et ses orientations.
Le 30 mai dernier, le jury de « Takreem » – composé de personnalité d’horizons divers dont il suffit de citer Carlos Ghosn, Lakhdar Brahimi, André Azoulay, May al-Khalifa, Noha al-Hojeilan, Paula as-Sabbah, Hanane Achraoui, Leila Charaf, Alain Carpentier, Raja Sidawi, Mohammad Mansour, Vincent Battle et Marc Lévy – avait sélectionné pour cette année 9 personnalités et institutions. Aussi diverses que l’Irakienne Nadwa Qaragholi pour la philanthropie, le Libanais... d’Amérique George Altirs pour le leadership d’entreprise, le Syrien Amine Kassis pour le progrès scientifique et techique, l’Égyptien Sameh Seif Ghali pour le développement durable et l’environnement, le Palestinien Khaled as-Sabaawi pour les jeunes entrepreneurs.
Autant de « success stories » aux quatre coins du monde avec un ingrédient : le talent et le génie de Libanais, Syriens, Irakiens, Palestiniens, Égyptiens qui prouvent que le développement n’est pas une affaire de gouvernements, mais de personnes, et que l’ambition ne connaît ni frontière ni nationalité.
Un émouvant hommage à titre posthume dépassant les catégories de « Takreem » a été rendu à Alia Solh, et le trophée a été reçu par sa fille.
Pour la 4e édition de « Takreem » qui a eu lieu jeudi soir dans l’auditorium de l’Institut du monde arabe à Paris, neuf lauréats de divers pays arabes ont été récompensés pour leurs actions dans les domaines culturel, scientifique, économique et social. Ce prix, lancé en 2010 par notre confrère Ricardo Karam, est en passe de devenir une institution.« Il grandit...

commentaires (3)

LE PLUS RIGOLO C'EST LE PROGRAMME : ARABS GOT TALENTS !

SAKR LOUBNAN

16 h 10, le 16 novembre 2013

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Commentaires (3)

  • LE PLUS RIGOLO C'EST LE PROGRAMME : ARABS GOT TALENTS !

    SAKR LOUBNAN

    16 h 10, le 16 novembre 2013

  • A PARIS, CAR PARTOUT DANS LES "CAPITALES" ARABES......... C'EST LA FOIRE !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    15 h 58, le 16 novembre 2013

  • Sont y pas mignons....entre gens du même monde...à se congratuler en couronne...donc les talents ...arabes....à Paris,dis donc....pourquoi pas à Beyrouth ou Djeddah ou au Caire? Paris, capitale des talents arabes! Comique, non? Je me demande bien ce que Carlos Ghosn, ex chamois sur le roc, est allé faire dans cette galère...

    GEDEON Christian

    13 h 11, le 16 novembre 2013

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