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Quelqu'un m'a dit...

Nabil le conquérant

Ni Ahiram, ni Achille, ni Dionysos, ni Osorkon n’auraient pu faire de l’ombre à Nabil Nahas au Musée national de Beyrouth où, au nom du chef de l’État Michel Sleiman, le ministre sortant de la Culture Gaby Layoun lui a remis  les insignes de grand chevalier de l’ordre national du Cèdre. Un honneur largement mérité pour cet immense peintre libano-américan qui, ces dernières années, a fait de cet arbre-emblème sa principale source d’inspiration.
« Un cèdre qui a accompagné l’histoire du Liban depuis l’époque biblique. Un cèdre brûlé par la colère, décimé par la cupidité, mais un cèdre dont la majesté et la longévité en ont fait un symbole d’éternité, d’espoir et de liberté », a dit N.N., ajoutant, très ému, que son lien à cette terre, à son peuple et à son histoire a fait de lui ce qu’il est (devenu) aujourd’hui.
Très à l’aise dans ce bâtiment conçu par son oncle, feu l’architecte Antoine Nahas, the artist, très gravure de mode dans son costume bleu marine et sa cravate rouge, était entouré de ses frères Kamal (avec Frida), Naji venu spécialement du Brésil, son neveu Anthony (et Raya), sa nièce Mishka (et son époux Joseph Sarkis), ainsi que d’un grand nombre d’amis, dont le président Amine Gemayel, Mouna Hraoui, Didi Takla, May Arida, Michèle de Freige et Nabil de Freige, Sara Salem, Mona Issa el-Khoury, Tania Arab, Leila Badr, Anne-Marie Affeiche, Mitsou et Laura Tabet, Marc Audi, Dr Riad Sarkis, Rima Shéhadé, Gaby Bustros, Saleh Barakat, Robert Sursock, Omar et Hala Gharzeddine, Jacqueline Nassif, Vivianne Ghanem, Marcel Ghanem, Ricardo Karam, Tony Salamé, Marie Munier, Janine Maamari, Serge Brounst, Hareth Boustany, Micheline Abi Samra, et beaucoup d’autres...
Les discours ont été suivis d’un vin d’honneur où, dans un concert de félicitations et de baisers qui claquent, les art-lovers égrenaient les succès de Nabil depuis les cimaises du Queens Museum et The Museum Guild Hall de New York, jusqu’à la Biennale du Brésil et celle de Venise, sans oublier le Basel Art Fair en Suisse, San Francisco, Washington D.C., Paris, Munich, Bruxelles, Museo d’Arte della Citta di Ravenna, jusqu’à la conquête des Libanais... Et 2014 parlera encore de Nabil Nahas !
Le lendemain soir, Raya et Anthony Nahas, qui autrefois en culottes courtes s’enorgueillissait haut et fort d’être l’héritier de son rich & famous uncle, célébraient l’événement au cours d’un dîner branchissime qui a rassemblé parents et amis, dont Mario Saradar, Robert et Hala Fadel, Karim Abillama, Azmi Mikati, Bachir Malas, Alex et Anne Demerdjian, Saleh et Hala Barakat, et encore et encore...
P.S. Dans ce pays où l’on pratique les promotions posthumes à tout va, se voir remettre une décoration de son vivant est chose rare. Aussi, quand il s’agit d’un artiste au talent incroyable, on applaudit vivement l’évènement. Des deux mains.

Victoire pour Antoine

Zaatar w Zeit avec son four et sa main-d’œuvre installés en plein Fontainebleau : c’est le brunch with attitude organisé par Dany Megarbané au lendemain du mariage d’Antoine (le fils de Jean-Marie Megarbané et de Martine Froger) avec Victoire d’Ormesson (la fille de François d’Ormesson et de Diane, épouse du comte Olivier de Bampierre). Temps forts de la cérémonie : la somptueuse chorale de Radio France menée par le R.P. Naoum Khoury ; l’arrivée en calèche des nouveaux mariés aux portes d’un des plus beaux jardins classés de France, celui de grand-papa Claude-Pierre Brossolette qui donnait un cocktail en l’honneur des mariés.
Le soir, de l’autre côté du même jardin, mais cette fois dans la propriété de maman Diane, un lâcher de lanternes volantes a illuminé un dîner qui a regroupé 200 invités, et pas des moindres, côté français. Pour ne citer qu’eux : Olympia et David de Rothschild ; Ina et Henri Giscard d’Estaing, le PDG du Club Méditerranée ; le célébrissime créateur de tissus de décoration Manuel Canovas ; le décorateur Denis Laroche; les princes Axel et Stanislas Poniatowski ; François et Conrada de la Brosse... Le tonton flingueur Jean d’Ormesson était toutefois absent – et c’est dommage ! Car Jean-Marie qui manie la prose avec maestria a excellé dans son discours de père du marié. Sa fille Stéphanie et Dany (vêtue d’un magnifique manteau en brocart made by Rabih Kayrouz) étaient très fières de lui ; ses amis aussi, notamment Razek et Maya Maamarbachi ; Marwan Sehnaoui ; Rafi et Joumana Debbané ; Pierre Chidiac ; Marilène Ghostine ; Jean-Pierre et Névine Megarbané accompagnés de leurs deux fils Chérif et Karim ; Biquette Aoun et ses enfants Jean-Pierre et Marie-Noëlle (avec son époux Sami Rabbat) ; Émile et Samia Issa ; Sami et Michèle Gemayel et Nadim Makarem. Présents également : Edgar et Danièle Picciotto ; Tony et Liliane Bridi venus du Nigeria ; Antoine et Denise Abella du Canada ; Élie Khalil de Londres, etc.

La lionne du mois

La presse aurait dû lui attribuer le surnom de « lionne » quand elle résidait en First Lady à Baabda. Parce que Mouna Hraoui sait faire rugir cette lionne qui est en elle. Les lions ! Voilà un signe tenace qui ne supporte pas l’échec ; un signe fort qui sait s’imposer avec panache et rester leader. Un être qui aime mettre son grain de sel, laisser sa trace sur tout ce qu’il entreprend, et même donner des ordres. Parce que ces lions-là ont le goût du pouvoir !
La lionne du mois a soufflé ses bougies d’anniversaire au cours d’un déjeuner donné dimanche par Jean et Amal Bustros dans leur villa du Bois de Boulogne. Un tonitruant « Happy birthday Mouna » a été entonné par une soixantaine d’amis, parmi lesquels Amine et Joyce Gemayel, Nicolas et Antoinette Nahas, Gaby et Nada Bocti, Gaby et Mimi Tamer, Khattar et Salwa Hadathi, Raja et Nada Salameh, Atef et Gladys Majdalani, Jihad et Rola Azour, Wafa Saab, Samira Raphaël, India Abdeni, Nina Tabourian, Laure Doumet, Khalil et Nada Hraoui, Rafi et Nadine Boutros, Michel de Bustros, André Aour, Guitta Andraos, Ibrahim et Marie-Rose Najjar, Marwan et Hoda Salha, etc.

ditavonbliss@hotmail.com
Nabil le conquérant Ni Ahiram, ni Achille, ni Dionysos, ni Osorkon n’auraient pu faire de l’ombre à Nabil Nahas au Musée national de Beyrouth où, au nom du chef de l’État Michel Sleiman, le ministre sortant de la Culture Gaby Layoun lui a remis  les insignes de grand chevalier de l’ordre national du Cèdre. Un honneur largement mérité pour cet immense peintre...

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