La réponse du courant du Futur à l’appel lancé par le président de la Chambre, Nabih Berry, à son chef, Saad Hariri, pour qu’il retourne au Liban et préside le nouveau gouvernement, n’a pas tardé et se résume en deux mots : non, merci.
C’est ce que le député Ahmad Fatfat a précisé hier, et c’est ce qui ressort aussi des réunions de M. Hariri en Arabie saoudite avec une délégation de son parti. Non seulement Saad Hariri n’a pas l’intention de rentrer de sitôt à Beyrouth, mais il appuie à fond les efforts de Tammam Salam pour former un nouveau gouvernement, assure-t-on dans son entourage.
Selon une source proche des personnes réunies à Djeddah, et citées par le site d’information Nowlebanon, celles-ci ont été très claires à ce sujet et se sont entendues sur le fait que le courant du Futur « appuiera tout ce que le président Michel Sleiman et le Premier ministre désigné décideront au sujet de la mise en place d’une nouvelle équipe ministérielle, d’une éventuelle prolongation du mandat du commandant de l’armée ou de la nomination d’un nouvau chef de l’armée ».
Le député Ahmad Fatfat a été plus direct en situant l’appel du président de la Chambre à Saad Hariri dans le cadre « des manœuvres politiques », en insistant, dans une déclaration à l’agence al-Markaziya, sur le fait que le chef du courant du Futur « n’est pas candidat à la présidence du gouvernement dans les circonstances actuelles ». M. Fatfat a ensuite invité M. Berry à « réduire ses manœuvres et à œuvrer pour faciliter le succès de la mission de Tammam Salam ».
M. Fatfat a souligné ensuite l’attachement du courant du Futur à la présence de M. Salam à la tête de la nouvelle équipe ministérielle ainsi que son refus d’être représenté en son sein, rappelant ainsi indirectement son appui à un gouvernement apolitique et neutre.
Il a situé dans le cadre des « consultations de routine », la réunion de Djeddah, avant d’affirmer que les médias libanais l’ont trop gonflée et que les débats ont porté sur trois sujets principaux : la prolongation du mandat des chefs des services de sécurité et l’appel au dialogue, en plus du dossier gouvernemental.
Pour ce qui est des deux premiers thèmes, M. Fatfat a expliqué que le courant du Futur est en concertations continues à ce sujet avec le chef de l’État, précisant que la visite du chef du bloc parlementaire du Futur Fouad Siniora à Baabda s’inscrit dans ce cadre.
C’est ce que le député Ahmad Fatfat a précisé hier, et c’est ce qui ressort aussi des réunions de M. Hariri en Arabie saoudite avec une délégation de son parti. Non seulement Saad Hariri n’a pas l’intention de rentrer de sitôt à Beyrouth, mais il appuie à fond les efforts de Tammam Salam pour former un nouveau gouvernement, assure-t-on dans son entourage.
Selon une source proche des personnes réunies à Djeddah, et citées par le site d’information Nowlebanon, celles-ci ont été très claires à ce sujet et se sont entendues sur le fait que le courant du Futur « appuiera tout ce que le président Michel Sleiman et le Premier ministre désigné décideront au sujet de la mise en place d’une nouvelle équipe ministérielle, d’une éventuelle prolongation du mandat du commandant de l’armée ou de la nomination d’un nouvau chef de l’armée ».
Le député Ahmad Fatfat a été plus direct en situant l’appel du président de la Chambre à Saad Hariri dans le cadre « des manœuvres politiques », en insistant, dans une déclaration à l’agence al-Markaziya, sur le fait que le chef du courant du Futur « n’est pas candidat à la présidence du gouvernement dans les circonstances actuelles ». M. Fatfat a ensuite invité M. Berry à « réduire ses manœuvres et à œuvrer pour faciliter le succès de la mission de Tammam Salam ».
M. Fatfat a souligné ensuite l’attachement du courant du Futur à la présence de M. Salam à la tête de la nouvelle équipe ministérielle ainsi que son refus d’être représenté en son sein, rappelant ainsi indirectement son appui à un gouvernement apolitique et neutre.
Il a situé dans le cadre des « consultations de routine », la réunion de Djeddah, avant d’affirmer que les médias libanais l’ont trop gonflée et que les débats ont porté sur trois sujets principaux : la prolongation du mandat des chefs des services de sécurité et l’appel au dialogue, en plus du dossier gouvernemental.
Pour ce qui est des deux premiers thèmes, M. Fatfat a expliqué que le courant du Futur est en concertations continues à ce sujet avec le chef de l’État, précisant que la visite du chef du bloc parlementaire du Futur Fouad Siniora à Baabda s’inscrit dans ce cadre.
La réponse du courant du Futur à l’appel lancé par le président de la Chambre, Nabih Berry, à son chef, Saad Hariri, pour qu’il retourne au Liban et préside le nouveau gouvernement, n’a pas tardé et se résume en deux mots : non, merci.C’est ce que le député Ahmad Fatfat a précisé hier, et c’est ce qui ressort aussi des réunions de M. Hariri en Arabie saoudite avec une...
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