La Banque du Liban vise également à promouvoir les crédits accordés au secteur privé. En mai 2010, et pour la première fois de l’histoire du Liban, les prêts accordés au secteur privé ont dépassé les prêts au secteur public. Aujourd’hui, des prêts bancaires de près de 40 milliards de dollars sont alloués au secteur privé, contre 28 milliards de dollars pour le secteur public, toujours selon le magazine. « Nous avons pu créer des catalyseurs qui ont contribué à la réduction des taux d’intérêt à moyen et long terme, augmentant ainsi la demande sur les prêts immobiliers », a récemment déclaré Riad Salamé. Selon lui, cette démarche a permis à plus de 100 000 Libanais d’acquérir une maison. De même, le gouverneur de la BDL a mis en application de nouvelles lois interdisant aux banques d’investir à l’étranger dans des projets de créances immobilières à haut risque. Rappelons que le magazine américain Global Finance avait déjà choisi Riad Salamé parmi les 6 meilleurs gouverneurs de banque centrale au monde, dans son dernier classement pour 2011.
Économie - Liban - Récompense
Riad Salamé élu meilleur gouverneur de la région pour l’année 2012
OLJ / le 04 janvier 2012 à 00h40
La Banque du Liban vise également à promouvoir les crédits accordés au secteur privé. En mai 2010, et pour la première fois de l’histoire du Liban, les prêts accordés au secteur privé ont dépassé les prêts au secteur public. Aujourd’hui, des prêts bancaires de près de 40 milliards de dollars sont alloués au secteur privé, contre 28 milliards de dollars pour le secteur public, toujours selon le magazine. « Nous avons pu créer des catalyseurs qui ont contribué à la réduction des taux d’intérêt à moyen et long terme, augmentant ainsi la demande sur les prêts immobiliers », a récemment déclaré Riad Salamé. Selon lui, cette démarche a permis à plus de 100 000 Libanais d’acquérir une maison. De même, le gouverneur de la BDL a mis en application de nouvelles lois interdisant aux banques d’investir à l’étranger dans des projets de créances immobilières à haut risque. Rappelons que le magazine américain Global Finance avait déjà choisi Riad Salamé parmi les 6 meilleurs gouverneurs de banque centrale au monde, dans son dernier classement pour 2011.
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