Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a exprimé ses inquiétudes quant à un possible transfert d’armes « sophistiquées » de la Syrie au Hezbollah et au Liban, en général, en cas de chute du régime de Bachar el-Assad.
« Il faut être très attentif au fait qu’en cas de chute du régime (d’Assad) il n’y ait pas de transfert d’armes sophistiquées syriennes au Hezbollah et au Liban », a affirmé M. Barak à la radio militaire, cité par l’AFP dans une dépêche datée de Jérusalem.
« Nous suivons cette affaire en permanence avec la plus grande attention », a ajouté le ministre de la Défense sans donner d’autres détails.
Il a par ailleurs réaffirmé que « le sort du régime de Bachar el-Assad est scellé, sa situation ne fait qu’empirer de semaine en semaine ».
Le 17 janvier, le chef de l’aviation israélienne, le général Amir Eshel, s’était également déclaré inquiet de ce qui pourrait advenir des « énormes stocks d’armes chimiques et biologiques » de la Syrie en cas de chute du régime actuel à Damas.
Israël et les États-Unis soupçonnent Damas de s’être doté d’un arsenal d’armes chimiques et biologiques, ainsi que de missiles capables d’atteindre n’importe quel point du territoire israélien.
En 2007, l’aviation israélienne avait détruit un réacteur nucléaire construit par la Syrie avec l’aide de la Corée du Nord.
Signalons par ailleurs dans ce cadre que le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a exprimé jeudi sa préoccupation à propos de « récentes déclarations au Liban appelant le Hezbollah à provoquer Israël pour détourner l’attention des événements en Syrie ». Il a espéré que de telles provocations n’auraient pas lieu mais « a dit clairement qu’Israël (était) prêt à faire face à tous les scénarios », souligne un communiqué de la délégation israélienne à l’ONU. M. Lieberman a tenu ces propos au cours d’une rencontre à New York avec les ambassadeurs des 15 pays membres du Conseil de sécurité. Le ministre israélien a notamment évoqué à cette occasion l’accord de réconciliation conclu à Doha par le président palestinien Mahmoud Abbas et le dirigeant du Hamas Khaled Mechaal.
Il convient d’indiquer sur un autre plan que dans un communiqué de presse, le commandement de l’armée a indiqué que les forces israéliennes ont installé dans la nuit du 8 février des fils barbelés sur une longueur de 74 mètres en face de la localité de Adayssé, « ce qui constitue une atteinte à la souveraineté nationale », souligne le communiqué. Le porte-parole de la Finul a précisé à ce sujet que la force onusienne avait été avertie par Israël que ces fils barbelés allaient être installés. « Les Casques bleus se sont alors déployés dans le secteur afin de garantir que la ligne bleue (le long de la frontière entre le Liban et Israël) ne serait pas violée », a précisé le porte-parole de la Finul.
« Il faut être très attentif au fait qu’en cas de chute du régime (d’Assad) il n’y ait pas de transfert d’armes sophistiquées syriennes au Hezbollah et au Liban », a affirmé M. Barak à la radio militaire, cité par l’AFP dans une dépêche datée de Jérusalem.
« Nous suivons cette affaire en permanence avec la plus grande attention », a ajouté le ministre de la Défense sans donner d’autres détails.
Il a par ailleurs réaffirmé que « le sort du régime de Bachar el-Assad est scellé, sa situation ne fait qu’empirer de semaine en semaine ».
Le 17 janvier, le chef de l’aviation israélienne, le général Amir Eshel, s’était également déclaré inquiet de ce qui pourrait advenir des « énormes stocks d’armes chimiques et biologiques » de la Syrie en cas de chute du régime actuel à Damas.
Israël et les États-Unis soupçonnent Damas de s’être doté d’un arsenal d’armes chimiques et biologiques, ainsi que de missiles capables d’atteindre n’importe quel point du territoire israélien.
En 2007, l’aviation israélienne avait détruit un réacteur nucléaire construit par la Syrie avec l’aide de la Corée du Nord.
Signalons par ailleurs dans ce cadre que le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a exprimé jeudi sa préoccupation à propos de « récentes déclarations au Liban appelant le Hezbollah à provoquer Israël pour détourner l’attention des événements en Syrie ». Il a espéré que de telles provocations n’auraient pas lieu mais « a dit clairement qu’Israël (était) prêt à faire face à tous les scénarios », souligne un communiqué de la délégation israélienne à l’ONU. M. Lieberman a tenu ces propos au cours d’une rencontre à New York avec les ambassadeurs des 15 pays membres du Conseil de sécurité. Le ministre israélien a notamment évoqué à cette occasion l’accord de réconciliation conclu à Doha par le président palestinien Mahmoud Abbas et le dirigeant du Hamas Khaled Mechaal.
Il convient d’indiquer sur un autre plan que dans un communiqué de presse, le commandement de l’armée a indiqué que les forces israéliennes ont installé dans la nuit du 8 février des fils barbelés sur une longueur de 74 mètres en face de la localité de Adayssé, « ce qui constitue une atteinte à la souveraineté nationale », souligne le communiqué. Le porte-parole de la Finul a précisé à ce sujet que la force onusienne avait été avertie par Israël que ces fils barbelés allaient être installés. « Les Casques bleus se sont alors déployés dans le secteur afin de garantir que la ligne bleue (le long de la frontière entre le Liban et Israël) ne serait pas violée », a précisé le porte-parole de la Finul.
Le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a exprimé ses inquiétudes quant à un possible transfert d’armes « sophistiquées » de la Syrie au Hezbollah et au Liban, en général, en cas de chute du régime de Bachar el-Assad.« Il faut être très attentif au fait qu’en cas de chute du régime (d’Assad) il n’y ait pas de transfert d’armes sophistiquées...