Les artisans, dont les bijoutiers, n’étaient pas en reste, tant au niveau des contacts avec le public que par le truchement de réunions bilatérales entre des professionnels français et libanais. Plus de 200 rencontres se sont tenues les 27 et 28 octobre. 35 entreprises françaises ont ainsi participé aux 43 programmes de rendez-vous demandés par les entreprises libanaises, en particulier dans le secteur de l’agroalimentaire (Carrefour Auteuil, Galeries Lafayette Courmet, Monoprix, Casino, entre autres), de la bijouterie, de la cosmétique, du vêtement, du papier et du matériel électrique.
D’ores et déjà, trois grandes tendances se dégagent concernant les secteurs où les Français ou Franco-Libanais souhaitent investir au Liban : l’immobilier, l’ameublement et l’architecture d’intérieur, l’informatique et les télécommunications, et enfin, l’industrie alimentaire.
Succès également pour l’Association libanaise de la franchise, lien économique entre les franchiseurs libanais et les futurs franchisés en France : plus de 50 contacts et opportunités sont désormais à valoriser.
L’art et la culture étaient également présents au Salon avec le « Théâtre de Gisèle », producteur de spectacles pour enfants qui seront en spectacle à Paris en mai 2012 à l’invitation de l’Institut de monde arabe, les sculptures de Randa Nehmé, les peintures de Fadia Haddad et Nadia Saïkali, les œuvres photographiques proposées par Raymond Yazbek ainsi qu’une originalité venue de Tripoli : les figurines en bois réalisées par Bassam Cheikh el-Najjarine dans son entreprise familiale reflétant les images du folklore et de l’identité libanais.
Les stands du secteur agroalimentaire et en particulier ceux des produits du terroir – dont les célèbres vins de chez nous – ont battu tous les records d’affluence. Dans ce domaine, une démarche innovante est à retenir, celle de « Rural Delights », un groupement de coopératives essentiellement féminines, soutenu par le PNUD, le YMCA et l’USaid qui produisent des...
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