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À La Une - Sécurité

Un navire soupçonné d'acheminer des armes en Syrie intercepté au Liban

Le "Lutfallah II" a été détourné par la marine libanaise vers un port situé à proximité de Batroun.

Un porte-parole de l'armée a indiqué que des fouilles étaient menées dans un navire, sans préciser si des armes avaient été trouvées.

L'armée libanaise a arraisonné vendredi un navire soupçonné de transporter des armes destinées aux dissidents syriens, a annoncé une source sécuritaire.


Le "Lutfallah II" a été intercepté par la marine libanaise au large de la côte nord du pays et a été détourné vers un port situé à proximité de la ville de Batroun, à environ 50 km de Beyrouth, a précisé cette source sous couvert de l'anonymat.


Un porte-parole de l'armée libanaise a simplement indiqué que des fouilles étaient menées dans un navire, sans préciser si des armes avaient été trouvées. Un photographe de l'AFP présent sur les lieux a vu des dizaines de militaires aux abords du bateau.


Selon des médias locaux, le navire était parti du port égyptien d'Alexandrie et se dirigeait vers la ville côtière de Tripoli, dans le nord du Liban.


Les autorités syriennes ont à plusieurs reprises affirmé que des armes étaient acheminées clandestinement depuis le Liban pour venir en aide aux dissidents syriens qui cherchent à renverser le régime du président Bachar el-Assad.


La Syrie est en proie depuis mars 2011 à une révolte populaire sans précédent qui s'est militarisée au fil des mois face à la répression meurtrière menée par le régime. En 13 mois, les violences ont fait plus de 11.100 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

L'armée libanaise a arraisonné vendredi un navire soupçonné de transporter des armes destinées aux dissidents syriens, a annoncé une source sécuritaire.
Le "Lutfallah II" a été intercepté par la marine libanaise au large de la côte nord du pays et a été détourné vers un port situé à proximité de la ville de Batroun, à environ 50 km de Beyrouth, a précisé cette source sous...
commentaires (3)

On accepte qu'un Peuple soit massacré, et, certains, lui dénie le droit de se défendre et de se protéger. On appelle ça de la complicité !

SAKR LEBNAN

04 h 58, le 28 avril 2012

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Commentaires (3)

  • On accepte qu'un Peuple soit massacré, et, certains, lui dénie le droit de se défendre et de se protéger. On appelle ça de la complicité !

    SAKR LEBNAN

    04 h 58, le 28 avril 2012

  • Et ce sont certainement ces "jouets et ces livres" qui sont distribués aux enfants syriens par les Chabihhas et les soldats de Bachar .

    Saleh Issal

    02 h 24, le 28 avril 2012

  • C'est de l'intox. Il n'y avait pas d'armes. C'était un navire qui amenait des jouets et des livres.

    Henoud Wassim

    14 h 23, le 27 avril 2012

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