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À La Une - vidéo

Ils racontent les piastres, le Court Royal et le tramway... Beyrouth, paroles d'anciens : notre série vidéo

Les souvenirs d'Edward Khatchérian, Edmond Tohmé, Georgette et Samira, Abou Wafik, Abou Ahmad et Ali Haidar, Mohammad, Yahya, Hassan et Ibrahim, Myriam Mohammad Cherkiye et d'Ibrahim Tabet...

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent l'un des petits maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.

Quelques semaines durant, nous avons rencontré ces anciens de Beyrouth. Nous leur avons demandé de nous raconter leur quartier, du temps de leur jeunesse. Un voyage dans le temps, comme une parenthèse.

 

Episode 1 : "On payait cinq piastres pour aller au centre-ville", les souvenirs d'Edward Khatchérian, vendeur de climatiseurs à Gemmayzé depuis 1966.

 

 

Episode 2 : "Le restaurant Faisal, en face de l'AUB, est maintenant un McDonald's", les souvenirs d'Edmond Tohmé, professeur de sciences humaines à l'AUB.

 

 

Episode 3 : "On sortait jusqu'à minuit, Centrale, Sevan, Karmani, Court Royal..." Les souvenirs de Georgette et Samira à Bourj Hammoud.

 

 

Episode 4 : "Si une voisine cuisinait, elle partageait avec tout le monde", les souvenirs de Abou Wafik, Abou Ahmad et Ali Haidar à Basta.

 

 

Episode 5 : "Je pêchais 5 kilos de poisson par jour, aujourd'hui, à peine un demi kilo", les souvenirs de Mohammad, Yahya, Hassan et Ibrahim à Aïn el-Mreisseh.

 

 

Episode 6 : "On payait quelques piastres pour aller regarder la télé chez un voisin", Myriam Mohammad Cherkiye raconte l'ancien temps à Bourj el-Barajneh. Et comment son père l'a convaincue de se marier avec une histoire de télé...

 

 

Episode 7 : "Les Jésuites nous interdisaient de voir certains films...", Ibrahim Tabet raconte le centre-ville de Beyrouth, au temps des glaces maison, des cinémas Empire et Métropole.

 

 

 

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent l'un des petits maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.
Quelques semaines durant, nous avons rencontré ces anciens de Beyrouth....

commentaires (3)

Rézzâllâh ! Yâ hârâââm !

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

08 h 52, le 27 mai 2016

Tous les commentaires

Commentaires (3)

  • Rézzâllâh ! Yâ hârâââm !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    08 h 52, le 27 mai 2016

  • POURQUOI RESSUSCITER DANS LES COEURS MEURTRIS D,AUJOURD,HUI LES SOUVENIRS DES BEAUX JOURS REVOLUS ? QUI EN SONT RESPONSABLES DE LA DECADENCE ? TOUS LES DOIGTS Y POINTENT...

    ARABOS-SIONISTES, L,ARTICLE DISPARAIT DES ECRANS

    20 h 59, le 26 mai 2016

  • Surtout qu'on voit sur ses doigts meurtris qu'il a creusé la terre pour couvrir cette œuvre d'or et de lumière ..

    FRIK-A-FRAK

    16 h 25, le 26 mai 2016

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