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À La Une - Liban

Une manifestation contre Bachir Gemayel dégénère devant l'AUB

Le bureau estudiantin des Kataëb assure qu'il "ne permettra pas que prévale la logique d'exclusion et d'intolérance".

Une rixe a éclaté lundi en soirée entre des étudiants partisans du Parti syrien national social (PSNS) et d'autres partisans des Kataëb devant l'Université américaine de Beyrouth (AUB). Photo d'archives.

Une rixe a éclaté lundi en soirée entre des étudiants partisans du Parti syrien national social (PSNS) et d'autres partisans des Kataëb devant l'Université américaine de Beyrouth (AUB).

La rixe a éclaté dans le cadre d'une manifestation organisée par les étudiants pro-PSNS contre une rencontre organisée par le club social de l'AUB portant sur l'ancien président libanais Bachir Gemayel. Selon des faits rapportés par l'Agence nationale d'information, la rixe a éclaté lorsque les étudiants pro-PSNS ont lancé des propos portant atteinte à Bachir Gemayel. Ils ont également brûlé une photo de l'ancien président et exhibé des photos de ce dernier en compagnie d’Israéliens.

"A l'arrivée des étudiants Kataëb à l'entrée de l'AUB, les étudiants pro-PSNS ont lancé des insultes envers le président martyr Bachir Gemayel ainsi que des menaces au président Amine Gemayel", peut-on lire dans un communiqué du bureau estudiantin des Kataëb. "Les étudiants Kataëb ont répondu par : +Bachir est vivant en nous+. Une rixe a aussitôt suivi entre les deux parties et s'est terminée par l'intervention des FSI". Le communiqué précise qu'il n'y a pas eu de blessés parmi les étudiants partisans des Kataëb.  

Le bureau estudiantin assure en outre qu'il "ne permettra pas que prévale la logique d'exclusion et d'intolérance, ni qu'il soit porté atteinte aux symboles de la résistance libanaise d'une manière générale ni aux symboles des Kataëb en particulier". 

Dans un communiqué publié par le bureau de presse du député Nadim Gemayel, il est précisé que la direction de l'AUB a demandé l'intervention des FSI pour ramener le calme à l'entrée du campus. Le bureau note que la rencontre, à laquelle était présent M. Gemayel et qui a été organisée entre le club estudiantin de l'AUB et les étudiants partisans des Forces libanaises, a pu avoir lieu "malgré les tentatives des étudiants du PSNS de semer le chaos à l'entrée de l'université".

 

 

Une rixe a éclaté lundi en soirée entre des étudiants partisans du Parti syrien national social (PSNS) et d'autres partisans des Kataëb devant l'Université américaine de Beyrouth (AUB).
La rixe a éclaté dans le cadre d'une manifestation organisée par les étudiants pro-PSNS contre une rencontre organisée par le club social de l'AUB portant sur l'ancien président libanais Bachir...

commentaires (7)

ILS ONT PEUR MEME DES FANTOMES...

LA LIBRE EXPRESSION

21 h 02, le 27 avril 2016

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Commentaires (7)

  • ILS ONT PEUR MEME DES FANTOMES...

    LA LIBRE EXPRESSION

    21 h 02, le 27 avril 2016

  • C'est inadmissible qu'un parti Syrienne puisse être légal au Liban... C'est le moment Chers Libanaises et Libanais de remplacer certains de nos politiciens qui n'ont pas le courage et la dignité de défendre leur pays et prendre position claire et nette en sa faveur.. Que la voie du peuple et pour la paix prenne le dessus.

    Alex. K.L.

    12 h 28, le 26 avril 2016

  • Le parti national social syrien déteste l'Etat du Liban et particulièrement Bachir Gemayel, l'homme fort qu'il a tué le 14 septembre 1982. Et l'on se demande comment un tel parti qui ne reconnaît pas le Liban comme patrie définitive a t-il pu être autorisé?

    Dounia Mansour Abdelnour

    10 h 20, le 26 avril 2016

  • Le mystère,pour moi,est: comment un parti SYRIEN National (sic!) Social, peut-il avoir une existence légale au Liban?

    Yves Prevost

    07 h 06, le 26 avril 2016

  • REGRETTABLE !

    LA LIBRE EXPRESSION

    22 h 29, le 25 avril 2016

  • Saletés de traitres libanais. Ils n'ont qu'à aller vivre en Syrie.

    Achkar Carlos

    22 h 17, le 25 avril 2016

  • Encore une preuve que la Haine triomphe toujours et il suffit d'un rien pour allumer la guerre civile de nouveau .

    Sabbagha Antoine

    22 h 09, le 25 avril 2016

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