L'Allemagne a décidé samedi de se joindre à l'appel à une réaction internationale "forte" après les attaques chimiques en Syrie, qui avait été signé par onze pays, dont les Etats-Unis, au sommet du G20, a annoncé son ministre des Affaires étrangères Guido Westerwelle.
L'annonce faite par M. Westerwelle en marge d'une réunion européenne à Vilnius a été saluée par son homologue français, Laurent Fabius, qui a déclaré que "le fait que l'Europe est ensemble est une bonne chose".
M. Westerwelle a expliqué que son pays "n'avait formulé aucune objection notable" lorsque le texte avait été présenté vendredi en marge du G20. "Mais nous voulions donner l'opportunité d'une consultation au niveau européen", a-t-il ajouté.
"L'Allemagne se veut l'avocat des petits pays de l'UE qui ne siègent pas à la table du G20", a précisé M. Westerwelle.
Il a par ailleurs souligné que la déclaration faite vendredi par le président français François Hollande, qui s'est engagé à attendre le rapport des inspecteur de l'ONU sur les attaques à l'arme chimique avant d'éventuelles frappes, avait "été une contribution réellement décisive" aux débats à Vilnius.
L'Australie, le Canada, la France, l'Italie, le Japon, la Corée du Sud, l'Arabie Saoudite, l'Espagne (qui n'est pas formellement membre mais invité permanent du G20), la Turquie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis avaient été les premiers signataires de l'appel diffusé par la Maison Blanche au terme du sommet de Saint-Pétersbourg (Russie).
"Nous condamnons dans les termes les plus fermes l'horrible attaque par des armes chimiques dans les faubourgs de Damas le 21 août, qui a coûté la vie à tant d'hommes, de femmes et d'enfants", écrivent ces pays.
"Les preuves mettent clairement en évidence la responsabilité du gouvernement syrien dans cette attaque", déclarent les signataires.
"Nous appelons à une réponse internationale forte à cette grave violation des règles et des valeurs en vigueur dans le monde, afin d'envoyer un message clair pour que ce genre d'atrocité ne se répète pas. Ceux qui ont commis ces crimes doivent en porter la responsabilité", poursuit le texte, sans préciser quelle devrait être la nature de la "réponse" souhaitée ni mentionner l'éeventualité d'une action militaire.
"Les signataires ont depuis toujours demandé une résolution forte du Conseil de sécurité des Nations-unies", mais ce dernier "est paralysé, comme il l'a toujours été depuis deux ans et demi", et "le monde ne peut attendre le résultat d'interminables processus voués à l'échec", lit-on encore dans le document.
L'annonce faite par M. Westerwelle en marge d'une réunion européenne à Vilnius a été saluée par son homologue français, Laurent Fabius, qui a déclaré que "le fait que l'Europe est ensemble est une bonne chose".
M. Westerwelle a expliqué que son pays "n'avait formulé aucune objection notable" lorsque le texte avait été présenté vendredi en marge du G20. "Mais nous voulions donner l'opportunité d'une consultation au niveau européen", a-t-il ajouté.
"L'Allemagne se veut l'avocat des petits pays de l'UE qui ne siègent pas à la table du G20", a précisé M. Westerwelle.
Il a par ailleurs souligné que la déclaration faite vendredi par le président français François Hollande, qui s'est engagé à attendre le rapport des inspecteur de l'ONU sur les attaques à l'arme chimique avant d'éventuelles frappes, avait "été une contribution réellement décisive" aux débats à Vilnius.
L'Australie, le Canada, la France, l'Italie, le Japon, la Corée du Sud, l'Arabie Saoudite, l'Espagne (qui n'est pas formellement membre mais invité permanent du G20), la Turquie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis avaient été les premiers signataires de l'appel diffusé par la Maison Blanche au terme du sommet de Saint-Pétersbourg (Russie).
"Nous condamnons dans les termes les plus fermes l'horrible attaque par des armes chimiques dans les faubourgs de Damas le 21 août, qui a coûté la vie à tant d'hommes, de femmes et d'enfants", écrivent ces pays.
"Les preuves mettent clairement en évidence la responsabilité du gouvernement syrien dans cette attaque", déclarent les signataires.
"Nous appelons à une réponse internationale forte à cette grave violation des règles et des valeurs en vigueur dans le monde, afin d'envoyer un message clair pour que ce genre d'atrocité ne se répète pas. Ceux qui ont commis ces crimes doivent en porter la responsabilité", poursuit le texte, sans préciser quelle devrait être la nature de la "réponse" souhaitée ni mentionner l'éeventualité d'une action militaire.
"Les signataires ont depuis toujours demandé une résolution forte du Conseil de sécurité des Nations-unies", mais ce dernier "est paralysé, comme il l'a toujours été depuis deux ans et demi", et "le monde ne peut attendre le résultat d'interminables processus voués à l'échec", lit-on encore dans le document.
L'Allemagne a décidé samedi de se joindre à l'appel à une réaction internationale "forte" après les attaques chimiques en Syrie, qui avait été signé par onze pays, dont les Etats-Unis, au sommet du G20, a annoncé son ministre des Affaires étrangères Guido Westerwelle.L'annonce faite par M. Westerwelle en marge d'une réunion européenne à Vilnius a été saluée par son homologue...
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