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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Mariage pluvieux, mariage heureux

L’orage d’été qui s’est abattu sur Faqra, chamboulant le décor planté par Matis et Art Flowers, n’a pas gâché le mariage de Mario Sarkis et de Sirine Bassam Tuéni, toute gracieuse dans sa robe Azzi & Osta. Bien au contraire. Surtout qu’il faisait nettement moins chaud et que les organisateurs, restés très zen, avaient plus d’un tour dans leur sac ! La cérémonie religieuse, prévue en plein air sous un nuage d’hortensias blancs, s’est finalement déroulée dans la petite église en présence des témoins (pour elle, sa cousine Nour Nagi Tuéni, et pour lui, Jad Lahoud), de leurs familles, amis, et de deux craquantes demoiselles d’honneur, Nadia et Gabriella Tuéni, les filles de Gebran Tuéni, accompagnées de leur maman Siham.
Entre-temps, au Panorama du Faqra Club, les tentes blanches avaient été dressées et les tables (re)décorées pour accueillir à dîner les 700 convives, parmi lesquels Eddy et Jessika Cherfane, Carla et John Jabra (récemment mariés), Dima Haddad (qui a attrapé le bouquet de la mariée) et Jacques Saadi (la jarretière !), Mansour el-Bone, Marlène Harb, le ministre du Travail Sélim Jreissati, Suzy Lebbos, Maguy Farah, autour de laquelle s’étaient agglutinés les fans des douze signes du zodiaque, les députés Edgar Maalouf et Atef Majdalani, Denise Matta, l’ancien bâtonnier Samir Abillama, Fadi Comair, les sœurs-soleil Tilda et Nada Abou Rizk, Bassam Daher et beaucoup d’autres venus du Canada, de Dubaï et de New York... Personne n’a résisté (qui aurait pu ?...) aux cocktails d’Yves et Élie (nos barmen fétiches), aux délices concoctés par La Mie Dorée et à l’agneau d’Élias (demain, régime !), aux prestations de la chanteuse Joy Fayad et de la DJette Leila Sarkis qui a animé la soirée avec brio, jusqu’à faire du club de Faqra un Sky Bar géant...
Le lendemain, tout le monde était, naturellement, au Montagnou. Les rituels ont été joliment respectés...

Triple A pour l’ABC

Coiffé d’une coupole identique à celle qui couronne la branche d’Achrafieh, le toit de l’ABC de Dbayé, illuminé a giorno, annonçait au monde la réouverture du flagship store du littoral après de gros travaux de rénovation. Ce soir-là, malgré les centaines de pneus brûlés qui crachaient leurs insupportables fumées toxiques, tous étaient venus, à commencer par Michel Sleiman himself, qui ne voulait manquer sous aucun prétexte le coup d’envoi de l’éclairage de la nouvelle façade designed by le cabinet américain n Architects, et qui tenait à applaudir ces sociétés privées dédiées à la promotion de l’économie libanaise.
Le vice-président de l’Assemblée Farid Makari, le vice-président du Conseil Samir Mokbel et son épouse Joyce, Mgr Élias Audi, Mohammad Shoucair, Jacques Sarraf, Michel Abchee, Talal et Maha Chaer, Saïd et Christine Daher, Nicolas et Mia Tamari, Raya Dernaika (en Philip Lim), Anne Demerdjian, Marielle Moawad, Raya Nahas, l’exquise blonde Médéa Azouri, sans oublier évidemment Tania Ezzedine, superbe en Hervé Léger, et Hala Fadel (en Azzedine Alaïa) étaient également là... L’émouvant discours de Robert Fadel, qui a rendu un hommage à son père défunt Maurice et remercié sa mère Diana pour son soutien, a été suivi d’un drum show spectaculaire mené tambour battant par un groupe allemand suspendu à une grue, d’un feu d’artifice royal lancé sur les beats féroces et fameux des Daft Punk, et d’un cocktail dînatoire rythmé par les platines de Câline Chidiac. Les invités sont ressortis les yeux plein d’étoiles et les bras chargés de cadeaux signés Clarins.

Paysages Liban : ça flambe !

À Paris, Londres et Berlin, les ventes aux enchères flambent, dopées par la passion des collectionneurs qui s’arrachent les aquarelles orientalistes, surtout celles figurant un paysage libanais. Zahlé (20 x 30 cm), daté de 1860 et réalisé par un anonyme, a rapporté 5 000 euros. Beyrouth, de Friedrich Perlberg, a été adjugé 34 850 pounds, tandis qu’une vue du temple de Baalbek (1785) de Louis-François Cassas, estimé à 15 000 euros, a recueilli 51 000 euros. Les mêmes ruines peintes par le Britannique Richard René Spiers (1838-1916), artiste peu connu, récoltaient, elles, 13 000 pounds.
Et cela ne s’arrête pas là : Omar Ounsi et Saliba Doueihy font aussi recette. Une huile (32,5 x 40,5 cm) du premier s’est vendue 21 500 euros à Drouot. Et un acrylique de Douaihy, estimé entre 80 000 et 120 000 dollars, a atteint 278 500 dollars.
Le marteau est tombé à 302 500 dollars sur le port de Beyrouth peint en 1954 par l’Égyptien Mahmoud Saïd. Et à 87 500 euros sur le portrait d’Assaad Khayat, une miniature (huile sur ivoire de 10 x 12 cm) signée Maria Louisa Selwyn (1786-1847). L’autoportrait d’Abraham Salamé (début XIXe) a trouvé acquéreur à 56 250 euros. Dans une ambiance survoltée, certaines pièces qualifiées parfois de très moyennes par le spécialiste Gaby Daher atteignent des prix ahurissants.

ditavonbliss@hotmail.com
Mariage pluvieux, mariage heureux L’orage d’été qui s’est abattu sur Faqra, chamboulant le décor planté par Matis et Art Flowers, n’a pas gâché le mariage de Mario Sarkis et de Sirine Bassam Tuéni, toute gracieuse dans sa robe Azzi & Osta. Bien au contraire. Surtout qu’il faisait nettement moins chaud et que les organisateurs, restés très zen, avaient plus d’un...

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